Audrey (01/02)

Je me nomme Arnaud et je suis technicien informatique, dans un service qui s’occupe principalement du support auprès des utilisateurs de différentes administrations départementales. Dépannages des petits soucis au quotidien, connexion réseau et applicatives, ainsi que la préparation des postes pour les nouveaux arrivants. Au cours de mes missions, je suis amené à me déplacer dans tout le département et je rencontre donc énormément de personnes. Et c’est justement à la suite d’un ticket d’incident dans notre interface métier que j’ai rencontré Audrey pour la première fois. Elle travaillait en tant qu’assistante de sa cheffe d’unité. Après ce premier dépannage, je suis retourné quelquefois dans ce service et je la saluais, elle comme toutes ses collègues.

Je suis loin d’être un génie dans mon domaine mais lorsqu’un agent se retrouve confronté à un problème informatique et que le technicien arrive et réussit à le résoudre dans la minute, on passe très souvent pour des magiciens, des anges de la fée « Informatique ». Ce qui est loin de la vérité mais cela fait toujours plaisir à l’égo de chacun. Mes relations avec Audrey, tout comme avec ses collègues, n’étaient que purement amicales. Il est vrai qu’elles étaient toutes très sympathiques mais je ne savais absolument rien de leurs vies, ni elles de la mienne. Et ni elles, ni moi n’imaginions que cela pourrait changer un jour.

C’est pourtant ce qui est arrivé lorsque Audrey a décidé qu’il était temps pour elle d’évoluer vers un autre poste. Pour cela, elle devait changer de bâtiment, d’administration même. Et c’est donc moi, en tant que technicien, qui fut chargé de préparer son nouveau poste informatique, de lui installer dans son nouveau bureau et d’être présent à son arrivée pour lui expliquer les subtilités de la connexion à son nouvel environnement numérique. Avec toutes les nouvelles têtes qu’elle rencontra cette première semaine, elle fut très heureuse de retrouver un visage qu’elle connaissait bien. Puis, doucement, la vie reprit son rythme et, chaque fois que je passais devant son bureau, je lui faisais un petit coucou.

Son bureau n’était pas très éloigné du mien, nous étions au même étage et dans la même portion de ce bâtiment, mais nous ne nous voyions pas si souvent que cela. Un soir, je revenais tard d’une mission dans une autre ville et je passais devant son bureau que je trouvais éclairé. Un peu surpris qu’elle soit encore là si tard, je poussais la porte pour la trouver affalée sur son bureau, apparemment endormie. Je frappais doucement à la porte, sans effet. Je m’approchais d’elle et l’appelais par son prénom. Elle sembla émerger d’un profond cauchemar car elle fit des gestes désordonnés. Une pile de dossiers, posée sur le bureau près d’elle, tomba sur le sol.

En la regardant de plus près, elle avait le regard hagard. Et je compris quand elle essaya de parler. Elle disait des mots sans suite mais surtout, elle sentait l’alcool à plein nez. Dans son grand sac à main, posé sur le sol, près d’elle, j’ai pu apercevoir une bouteille de vodka presque vide. Jusqu’à présent, j’ignorais qu’elle était alcoolique. Ou bien le stress provoqué par ses nouvelles fonctions avait été si brutal qu’elle s’était réfugiée dans l’alcool. J’en ignorais la raison mais personne ne devait la voir dans cet état. Et surtout pas son responsable hiérarchique qui était toujours dans son bureau. Je l’avais entendu parlé en passant devant, l’étiquette « Visio en cours » collée sur sa porte.

J’aidais Audrey à se lever et je l’emmenais vers les toilettes, la cabine « handicapé » était la plus adaptée. Je l’appuyais contre le mur, près du lavabo, pour prendre du papier essuie-main, le mouiller et l’apposer sur son visage, sur ses tempes. Elle avait beaucoup de mal à rester debout et je dus la soutenir. Je passais ma main gauche sous son bras. Elle serra cette main amie qui se retrouva plaquée sur son sein. Je n’osais plus bouger, de peur de prendre une réflexion. J’essayais de dégager ma main de sa poitrine mais c’est elle qui, au contraire, posa sa main droite sur ma main et se caressa le sein avec.

J’étais en train de la peloter et elle semblait aimer ce que je lui faisais. Enfin, c’était bien elle qui avait initié cette caresse que je pouvais difficilement refuser. J’étais trop heureux de cette occasion. Je me rends compte que je ne vous ai pas présenté Audrey, je veux dire physiquement. C’est une belle femme, elle n’a sans doute pas encore quarante ans. Elle n’est pas très grande, 1 mètre 62 tout au plus mais elle est très bien proportionnée. Elle porte très souvent des jupes courtes, voire même des minijupes qui laissent entrevoir des cuisses sublimes. Ses fesses semblent encore fermes mais ce qui attire le regard des hommes, c’est sa somptueuse poitrine.

Non, pas très grosse, mais tout à fait en rapport avec ce corps et, pour tout dire, elle est toujours très bien mise en valeur par des décolletés, des tops avec transparence. Ce qui justement était le cas ce jour-là. Une jupe à fleurs, légère, qui semblait prête à s’envoler au moindre souffle d’air. Sous son top, on pouvait deviner une brassière avec de larges bretelles en dentelle, le tout de couleur bleu gris. Le haut de son top était transparent, fait de nylon noir très fin qui laissait deviner une douce vallée entre les deux seins biens ronds. 85 C, je dirais. Le reste du top, couleur bordeaux, couvrait son ventre et sa taille. Et c’était justement l’un de ses seins que je caressais tendrement. Je jouais avec le téton, déjà bien érigé.

L’avait-elle fait exprès ? Un faux mouvement et elle se retrouva devant moi, face au lavabo. Elle attrapa mon autre main pour la poser sur son autre sein. Elle voulait que je continue à la peloter. Et ce n’était pas moi qui allais m’en plaindre. Telle une chatte en chaleur, elle frottait ses fesses contre moi, avec l’effet que vous devinez. Je bandais très fort contre ses fesses et elle ne pouvait l’ignorer. Tout ceci était vraiment très agréable mais je n’étais pas homme à profiter d’une femme sous les effets de l’alcool. Je la laissais se frotter contre moi et je continuais à lui rafraichir le visage, le cou, la gorge.

Vu qu’elle se tenait au lavabo, je me retournais quelques instants pour jeter les essuie-tout mouillés pour en reprendre d’autres au distributeur. Le temps que je me retourne, elle avait glissé au sol, appuyée au mur tout proche. Elle était là, assise par terre, les bras ballants, la tête baissée, semblant prête à s’endormir. Mais surtout ce que je voyais, c’est qu’elle avait les genoux largement écartés, ce qui avait fait remonté sa jupe légère. Je voyais donc parfaitement sa culotte, un tanga si je ne me trompe, de couleur noire. D’autres que moi auraient sans doute profité de la situation, pas moi. Je l’aidais à se relever le long du mur, restant collé à elle pour ne pas qu’elle glisse encore une fois et je continuais à lui rafraichir le visage.

Elle commença à émerger de son état comateux et je décidais de l’emmener dehors, sur une petite terrasse toute proche, à l’abri des regards. Ni ses collègues, ni son chef de service ne devaient la voir dans cet état. L’air frais de ce début de soirée sembla la réveiller totalement. Elle me serra dans ses bras pour me remercier de ce que je venais de faire pour elle. Elle comprenait qu’elle aurait pu être mise à pied si on l’avait vue ainsi. Moi, j’avais sa délicieuse poitrine contre la mienne et cela me suffisait pour le moment présent.

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