FANNY (06/09)

Pour me faire une surprise, et aux deux hommes aussi, elle avait convaincu Jacinta et Helena, les deux copines de toujours, de préparer un petit spectacle. Danse traditionnelle, ou pas, chant, elle leur avait laissé libre choix. Liliane, qui avait été mise au courant puisque les répétitions se  dérouleraient chez elle, décida de participer aussi et choisit de créer les costumes. Quand je dis créer, elle engagea une styliste qui créa les deux modèles sur mesure. Liliane serait également leur première spectatrice. Les filles étaient prêtes à offrir leur spectacle, seulement Sophie n’avait pas d’adresse à fournir au chauffeur de taxi. Je la lui donnais, précisant que je règlerais le taxi à son arrivée. Trente minutes plus tard, le taxi franchit le portail et les deux amies descendaient tandis que je payais la course. Je les fis entrer et elles purent ôter leurs manteaux qui cachaient leur costume. Magnifiques jeunes filles dont les costumes semblaient avoir été cousus sur elles.  Un ensemble soutif et string ficelle, bleu pour Jacinta et vert pour Helena, cachés par des couches de voiles transparents, jaune sur bleu, et rose sur vert. La styliste avait vraiment très bien travaillé. Avant de les faire entrer dans le salon, j’allais d’abord les annoncer. Les deux commerciaux avaient déjà éjaculé dans les chattes humides de leurs partenaires respectives. Désormais, c’est elles qui nettoyaient les queues qui les avaient si bien faites jouir. Je leur demandais de prendre place sur la banquette, ce qu’ils firent aussitôt, sans même prendre la peine de se revêtir.

Les deux filles continuaient de caresser les queues encore raides, tandis que je présentais la suite. Je leur dis que deux amies, voulant me faire une surprise, avaient préparé un spectacle exclusivement pour nous. Leur entrée dans la pièce fut accueillie par des applaudissements de tous. Un lecteur MP3 et une enceinte Bluetooth fournissaient le fond sonore. Elles commencèrent par une sirtaki, danse traditionnelle de Grèce. Puis, très vite, les gestes devinrent langoureux, caressants. Elles étaient vraiment très douées pour nous faire ressentir leurs propres émotions. Elles se caressaient amoureusement maintenant et les voiles tombaient un à un, dévoilant les corps somptueux des deux coquines. En soutif et culotte, les mains passaient régulièrement sous le tissu, déclenchant des soupirs équivoques. Les voilà enfin nues toutes les deux, se cajolant et s’embrassant comme des collégiennes. Obnubilés par le spectacle offert, les deux hommes ne s’occupaient plus des jeunes filles assises près d’eux. Pour se venger, elles aussi lâchèrent les queues qui restaient bien dressées. Ils se rapprochèrent des danseuses pour, eux aussi, entrer dans la danse.

Abandonnées, Fanny et Édith firent plus ample connaissance. Leurs doigts exploraient le corps de l’autre qui frémissait de plaisir. Pour imiter les danseuses, Fanny aida Édith à se dévêtir complètement. Les voilà nues elles aussi. Devant leurs yeux, les danseuses avaient posé leurs mains sur la table basse et, face à face, continuaient de s’embrasser. Les deux hommes prirent place derrière elles, frottant leur sexe sur les fesses offertes. Les chattes dégoulinantes furent très vite investies par les sexes durs comme du bois. Tandis que les hommes ramonaient tranquillement les deux jeunes grecques, Fanny glissa sur le canapé, attirant Édith au-dessus d’elle. Un ballet de langue commença alors entre les deux coquines et le salon se remplit de soupirs et murmures. La musique jouait toujours, ce qui donnait un air de fête à ces échanges de fluides. Je sus, bien plus tard, de la bouche des jeunes grecques que seule la danse était prévue. Mais, prises dans l’ambiance particulière, elles avaient eu envie de se caresser et, voyant les sexes érigés, n’avaient pu contrôler leurs envies, leurs besoins. Elles étaient vraiment heureuses avec Liliane et Nicole, heureuses d’être en France et de pouvoir y étudier, heureuses d’être réunies à nouveau. Mais, tout comme elles, je sais bien qu’un sex-toy ne remplacera pas un homme, un vrai mâle. Je préfère les femmes désormais, mais je comprends parfaitement le manque qu’elles pouvaient ressentir.

Je revenais dans le salon pour découvrir que les hommes avaient interverti leurs places. Mais continuaient à ramoner les deux jeunes filles. Pour jouer avec eux tous également, je prenais un petit vibro pour exciter le petit cul d’Édith. Un peu tendue au début, elle se laissa guider par le plaisir qui montait en elle. Très vite, elle explosa dans la bouche de Fanny. Fanny, justement, retourna la situation pour m’offrir son gros cul à son tour. J’aime bien la taquiner en lui disant qu’elle a un gros cul, mais ce n’est pas vrai, pas si gros que ça. Et moi, je l’aime comme il est, son gros cul. Hihihi. Juste pour elle, je choisissais un gode beaucoup plus gros que celui utilisé avec Édith. Il faut dire que Fanny, elle a l’habitude de se faire ramoner le derrière, et qu’elle adore ça. J’observais justement le regard des deux commerciaux sur la taille du gode que j’avais choisi. D’un air entendu, ils savaient qu’ils pourraient eux aussi utiliser cette petite porte. Les hommes, qui avaient déjà joui avec Fanny ou Édith, étaient beaucoup plus performants, pour le plus grand bonheur des deux jeunes filles qui n’avaient pas été à pareille fête depuis trop longtemps. Tous étaient entièrement nus maintenant, sauf moi, en conductrice de travaux. Lol. Fatiguées de les attendre, Fanny se rapprocha de Luc et, sans le prévenir, lui enfonça un doigt dans le cul. La réaction fut immédiate et il remplit à son tour sa capote. Édith, plus soft, se contenta de lécher les bourses remplies de Hafid pour que, aussitôt, lui aussi décharge dans sa partenaire.

Après un moment de récupération nécessaire, on passa tous à table, dans la même tenue. Édith, qui faisait le service, subissait de la part de tous, caresses et pincements de fesse. Et cela lui plaisait vraiment que tout le monde s’occupe d’elle. Elle se voyait comme le centre du monde. Et elle l’était un peu, elle était le centre de notre monde à cet instant précis. La mouille qui inondait ses cuisses était la preuve irréfutable de son plaisir. Le clou du repas, ce fut le dessert, quand elle apporta une grande coupelle remplie de grosses fraises délicieuses. C’est Hafid, le premier servi, qui eut l’idée de plonger le fruit, non pas dans la chantilly disponible, mais sur la fente dégoulinante de mouille de la serveuse. Tous en firent autant. Tous sauf moi. Je préférais prendre la coupelle de chantilly et badigeonner ses seins avec, avant de les nettoyer avec toute l’attention qu’il se doit.

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