Saint-Sylvestre 2014 (05/15)

En silence, Helen exulta à son tour. Avant de retourner nous asseoir, Dany demanda à la serveuse de venir prendre notre commande pour les apéritifs. Elle souhaitait nous l’offrir pour l’avoir invitée à notre table. Nouvelle qui fut accueillie avec plaisir par tous. Petit à petit, la salle se remplissait et un homme, d’une quarantaine d’années, vint s’assoir entre Corinne et Dany. Il se présenta simplement, David. Nous étions assises à notre place quand la serveuse vint noter ce que l’on souhaitait. Ma main avait repris sa place entre les cuisses de Dany et la jeune fille se plaça justement entre nous deux pour écouter les différents choix. Évidemment, elle n’a pas pu s’empêcher de voir ma main revenir sur mes cuisses. Je la vis rougir légèrement. Oserais-je en profiter? Bien sûr. Une pareille occasion. Je laissais ma main retomber et remonter doucement le long de ses jambes, gainées de nylon. Des collants, je pense. Pas un geste de recul. Juste un tendre sourire. Pourtant, je sentais ses jambes trembloter un peu. Peur que je remonte plus haut ? Ou bien peur que j’arrête là ? Je restais sage, ma main stoppa  juste au-dessus du genou. Quand elle revint avec les consommations, elle évita de se remettre près de moi. Peur de succomber, sans doute. Mais rarement son regard quitta le mien, comme pour me dire, « c’est moi qui choisis ». Sur son badge, son prénom : Selma.

Le brouhaha des conversations s’intensifiait. Puis, le ballet des serveuses commença, amenant plats et bouteilles sur les différentes tables. Tout le monde fit honneur au plateau de fruits de mer. Très vite, il n’en resta rien. Le vin aidant, les conversations se firent plus enjouées. Au final, on découvrit que David était un vrai boute-en-train. Il ne cessa de raconter des blagues qui tordaient de rire Corinne et Dany. Helen aussi riait très volontiers à ses blagues. Isabelle et Thierry étaient comme dans une bulle, le bonheur d’être ensemble. Il se leva d’ailleurs pour la faire danser. Beaucoup d’anciens dansaient déjà. Le début de soirée, la musique correspondait à leurs goûts. Marches, valses et tangos s’enchainaient. David se leva à son tour pour inviter Dany. Puis Francis invita sa femme. Jacky n’aimait ce type de danses et resta assis, trop occupé qu’il était avec Amélie. Vu la tête qu’elle faisait, il avait dû réussir à entrer sa main sous le boxer, dans le collant, et il la doigtait efficacement, semblait-il. Elle était prête à jouir sous ses caresses. Voulant épargner ce spectacle à Helen, je l’entrainais sur la piste dans une valse endiablée. Elle se laissa porter par la musique. La danse suivante, une marche, plus calme. J’en profitais pour la féliciter pour sa robe. Et je lui parlais de sa rencontre avec Olivia. Elle baissa les yeux en se remémorant son essayage. Mes mains se firent caressantes, mais discrètes. Au juste, au milieu de cette foule de danseurs, personne ne nous prêtait attention. Avant la fin de la danse, je l’entrainais vers les toilettes pour vérifier qu’elle était bien trempée.

Selma en sortait justement quand j’arrivais avec Helen. Elle eut l’air surprise, puis son regard se transforma en envie. Envie de me connaître plus, certainement. Nous avons la soirée, et toute la nuit, j’espère, pour faire plus ample connaissance. Je poussais Helen dans une cabine pour la doigter et la faire jouir. De retour à la table, je vis le regard mécontent d’Amélie. Je l’interrogeais du regard. Elle réussit à me faire comprendre que je n’étais pas en cause et me désigna une autre table. Autour de celle-ci, un garçon et une fille que je ne connaissais pas, mais qui, eux, semblaient bien connaître Amélie. Avant que la suite du repas n’arrive, je lui fis signe de me suivre aux toilettes. Tout près de moi, elle me souffla leurs prénoms, Delphine et Roger, le frère et la sœur. Passant près d’un tableau d’affichage, je fus distraite deux secondes par une affiche, tandis qu’Amélie allait entrer dans les toilettes. Le frère et la sœur nous avaient suivi, et déjà, l’entouraient et commençaient à la peloter. Roger, une main sur ses fesses et Delphine sur un sein qu’elle pinçait assez fort, me semble-t-il. Je les rejoins juste avant qu’ils n’entrent.

« Les toilettes homme, c’est la porte à côté.  » dis-je à Roger en le poussant en dehors. Par contre, Delphine se retrouvait poussée par Amélie. Je lui bloquais les mains dans le dos et dis à Amélie :

« À toi de lui pincer les seins. Et n’aies pas peur de lui faire mal. Elle va rester bien silencieuse, n’est-ce-pas ?  »

Je lançais ma main entre ses cuisses entrouvertes et je lui chopais la chatte, entièrement. Elle ouvrit la bouche pour protester mais, voyant que je serrais plus fort, elle se tut et elle acquiesça. Amélie s’en donnait à cœur joie sur les tétons turgescents. Je voyais des larmes de douleur perler autour de ses yeux. Nous étions seules dans les toilettes. Je dirigeais Delphine vers la cabine pour « handicapés », plus de place pour trois personnes. Je dézippais sa robe et la laissais tomber au sol, découvrant ses sous-vêtements affriolants. Je fis sauter l’attache du soutif qu’Amélie lui ôta immédiatement. Puis, c’est sa culotte qui tomba à ses chevilles. Ma main reprit sa place entre ses cuisses. Elle était trempée, signe que la douleur pouvait aussi lui apporter du plaisir. Les tétons étaient rouges et tous durs. Je commençais à la doigter, deux doigts, puis trois. J’allais et venais dans sa fente humide à souhait. Mon autre main sur son cul, joufflu comme celui d’Amélie. J’introduisis mon majeur dans son rectum. Elle se contracta un instant, puis se relâcha. Que pouvait-elle faire d’autre ? Amélie s’accroupit face à elle et commença à lui bouffer la chatte. Je lui laissais ce plaisir, celui d’humilier enfin celle qui s’était prétendue son amie, et qui l’avait trahie. Car c’est bel et bien un viol qu’elle avait subi ce jour-là, chez Delphine, quand Roger avait pénétré dans la chambre de sa sœur. Avant de la pénétrer, elle. Elle-même avait beau dire non, crier, hurler, rien n’arrêtait les deux complices, sûrs que personne n’entendait.

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