Nouvelles rencontres (01/05)

Cet appartement que je partageais avec Amélie désormais. Justement, Amélie. Elle avait fini son verre et dansait langoureusement sur la piste. Aana la suivait du regard.

« Tu peux aller danser avec elle, si tu veux. En plus, elle a un peu trop bu, tu la soutiendras, si elle trébuche. »

Aana s’approcha d’elle mais je remarquais que son regard était fixé sur la jolie poitrine qui se trémoussait devant elle. Comme je m’y attendais, Amélie trébucha et tomba dans les bras d’Aana. Je les rejoignis à mon tour. Collée derrière Amélie, je dégrafais son corsage devant le visage médusé d’Aana. Le soutif apparut, puis disparut.

« Tu peux jouer avec sa poitrine, Aana. Elle adore ça. Et tu en meurs d’envie.  »

Corsage baissé, Amélie continuait à danser, seins nus. Aana commença à la caresser, timidement. Amélie la fixa dans les yeux et lui sourit. Encouragée à continuer, Aana ne se gênait plus maintenant. Elle la pelotait carrément.

« Tu vois comme elle aime ça ?  »

Toujours collée derrière Amélie, je remontais doucement sa jupe, devant, et, quand elle fut relevée presque en haut de ses cuisses, je prenais la main droite d’Aana pour lui faire découvrir …

… La nudité de la jeune fille. Elle me jeta un regard surpris en palpant l’intimité d’Amélie.

« Et oui, elle est nue sous sa jupe. Prête à être utilisée.  »

Aana se déchaîna. Elle poussa la jeune fille vers une table vide pour l’allonger dessus. Et souleva sa jupe pour voir de ses yeux. Et plonger sur sa proie. La scène était extraordinaire à voir. Amélie, jupe relevée à la taille, et tout le reste visible. Aana qui lui bouffait la chatte. Penchée en avant, son petit cul tendu vers moi. Je me collais à elle. Je la sentis frissonner de plaisir. Mes mains sur sa taille. Je remontais doucement sa minijupe élastique. Pour apercevoir son string. Je me frottais à elle. Puis, je m’accroupis pour saisir son string entre mes dents pour le descendre. Elle écarta les cuisses et le vêtement se retrouva au sol. Elle écarta encore plus pour me donner accès à toute son intimité. Quel plaisir de bouffer à nouveau cette petite chatte !!! Amélie jouit la première dans la bouche d’Aana, déclenchant son propre orgasme. Amélie resta allongée sur la table, Aana prit place sur une banquette, et moi sur l’autre. La poitrine exposée juste devant nos bouches gourmandes. Aana ne résista pas longtemps à l’appel des tétons qui se dressaient devant elle. Je m’occupais amoureusement du second téton. Aana titillait le clito d’Amélie qui jouit bruyamment. Éric entra à ce moment précis et apprécia la vue, Amélie pratiquement nue.

« Aana, tu peux monter? Il y a du monde.  »

Il quitta la pièce à regret. Aana se leva et rajusta sa minijupe qu’elle n’avait pas baissée. Sans son string que je gardais, elle regagna le bar. Je nettoyais la fente de la belle Amélie avant de rabaisser sa jupe. Puis, je lui réajustais son corsage. Je l’aidais à remonter l’escalier et j’allais régler les boissons. Éric n’avait d’yeux que pour Amélie. Et Amélie le fixait aussi. Il faudra organiser une soirée intime entre ces deux-là. Murielle m’avait rappelée. Elle souhaitait me revoir. Très satisfaite des « escorts » de Doriane, jamais elle n’avait retrouvé la magie que je savais mettre dans nos ébats. Même si je connaissais la réponse, je lui demandais si je pouvais venir avec une amie. Elle en fut ravie. Rendez-vous pris pour le samedi après-midi.

Le jeudi soir, dernièrement soirée étudiantes de l’année 2014 dans les rues de Rennes. Beaucoup de monde, d’alcool et de sexe. Comme toujours, me direz-vous ! J’entrainais Amélie de bar en bar, tout en consommant. Un peu avant minuit, on était dans un bar, je ne sais plus lequel, et on dansait sur la piste. Une jeune fille, une lycéenne certainement, se trémoussant à nos côtés. Elle semblait subjuguée par la poitrine d’Amélie, libre de soutif ce soir-là. Discrètement, je lui pris la main droite et la posais sur l’objet de ses convoitises. Réticente au début, mais voyant le sourire d’Amélie, elle se laissa aller et commença à la caresser. Puis, gourmande, elle mit les deux mains, qui ne couvraient pas la poitrine opulente. Je me collais à elle, par derrière, et caressais sa poitrine naissante. Elle était totalement sous le charme d’Amélie. Elle ne se rendit pas compte qu’elle ouvrait le corsage de la belle, prête à offrir à tous la vue de ses appâts. Je les guidais doucement vers les toilettes des filles, presque vides à cette heure-là. Même pas le temps d’entrer dans une cabine, la poitrine était découverte, et aussitôt sa bouche se mit en action sur les tétons. Elle passait de l’un à l’autre dans une frénésie de suçotements.

Je glissais ma main dans ses leggings. Elle était trempée, la petite salope. Elle jouit rapidement sous mes doigts mais je continuais pourtant et ne tardais pas à lui offrir un orgasme puissant. Elle serait tombée sur le sol si je ne l’avais pas soutenue. Je la fis asseoir dans une cabine qui venait de se libérer. Amélie se plaça devant elle et lui offrit à nouveau sa poitrine, que la jeune fille recommença à suçoter. Je relevais la jupe d’Amélie, faisant découvrir à la jeune suceuse qu’elle était nue ici aussi. Tout en continuant à la téter, ses mains exploraient sa nudité. Bien que jeune et inexpérimentée, elle réussit à faire jouir la belle Amélie. Je la fis se mettre à genoux pour récolter le fruit de son labeur. Puis, je l’embrassais sur la bouche, récoltant au passage les effluves mélangés. Puis, j’allais me rafraîchir au lavabo avec Amélie. Un jeune homme, passant devant la porte entrouverte, aperçut Amélie qui n’avait pas rentré sa poitrine. Il entra en demandant s’il pouvait rendre service. Je regardais Amélie qui était restée sur sa faim. Elle voyait la bosse qui déformait le pantalon. Et elle avait envie de quelque chose de consistant, de bien dur en elle.

« Amélie uniquement, et avec préservatif.  »

Il sortit aussitôt une pochette de son pantalon pour montrer qu’il était équipé. Il n’avait pas encore vu la jeune fille dans sa cabine. Il s’approcha d’Amélie, caressa sa poitrine dénudée. Elle appuya sur sa tête, lui montrant ce qu’il avait à faire. Je ramenais la jeune fille près de moi.

« Tu as déjà vu un couple faire l’amour ?  »

Sa tête faisait non, mais elle ne quittait pas le couple des yeux, tout en se serrant contre moi. Je baissais ses leggings à mi-cuisses et relevais son maillot jusqu’au cou. Je la voulais entièrement à moi.

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