MORENA (02/12)

Mais je ne pouvais pas lui avouer que des filles les remplaçaient avantageusement. Jamais en panne, les godes toujours prêts, les filles très tendres, et attentionnées. Et surtout soumises pour la plupart. J’ignorais son rapport avec l’homosexualité, ce qu’elle en pensait véritablement. J’avais essayé plusieurs fois de lancer la conversation sur le sujet mais elle repartait toujours sur un autre sujet, sans répondre vraiment. Et je savais qu’elle avait un petit copain. Et qu’elle devait le retrouver en Septembre, après les vacances. Ce jour-là donc, nous étions dans l’eau jusqu’à la taille et elle recommença à me taquiner sur le fait que je n’avais pas de copain. Je voulais la faire taire en mettant ma main sur sa bouche mais elle se défendait en mettant ses avant-bras devant. Je lui pris les poignets pour les écarter de son visage mais elle les serra contre son buste.

Je sentais la douceur de sa poitrine sous mes doigts. Je lâchais ses poignets qu’elle remit sur sa bouche. Mais j’avais laissé mes mains sur sa poitrine, bien dégagée et libre d’accès maintenant. J’englobais ses magnifiques seins dans mes paumes et les caressais tendrement. Morena passa ses mains derrière sa nuque en tendant sa poitrine en avant, sans me regarder. Elle avait baissé les yeux et regardait mes doigts qui courraient sur sa peau. Plus rien n’existait autour de nous. Juste le clapotis des vaguelettes qui venaient s’échouer sur ma taille, le gazouillis des oiseaux. Mais surtout Morena. Et sa divine poitrine qu’elle m’offrait. Et son souffle qui témoignait de son excitation. Sa poitrine qui se gonflait sous mes caresses, ses tétons qui durcissaient sous mes doigts. Je me penchais légèrement pour enfin les prendre en bouche, l’un après l’autre. Une main restant sur sa poitrine, l’autre descendit sur ses fesses. Je la tétais amoureusement tandis que ma main passait sous son maillot, directement au contact de ses fesses. Ce contact sembla l’électriser, puis aussitôt elle s’écarta de moi. J’étais allée trop loin. Ou trop vite. Je me rapprochais d’elle à nouveau pour la prendre dans mes bras. Plus de caresses inconsidérées. Juste la serrer contre moi pour me faire pardonner.

J’avais tout de même sa poitrine collée à la mienne et je sentais ses tétons qui me rentraient dedans. Je m’écartais finalement pour déposer un bisou sur son front, sur ses pommettes, son petit nez aquilin. Puis, des tas de baisers sur sa bouche, sur ses lèvres qu’elle gardait fermées. Un silence entre nous puis elle partit dans un grand éclat de rire. Et elle recommença à me taquiner. Le soir-même, en regardant la télévision, elle se colla contre moi, tendrement. Je sentais la chaleur de son corps contre le mien et j’avais d’énormes envies de la serrer dans mes bras. Sa tête était posée dans mon cou et je sentais sa respiration sur ma poitrine. Son avant-bras posé sur mon ventre, je rêvais à sa main qui glisserait sous ma culotte, me trouvant trempée de désir. Elle n’osa rien, bien évidemment. Au contraire, elle changea de position. Sa tête sur mes cuisses, une jambe légèrement pliée. J’avais désormais une main sur son ventre, l’autre lui caressait la tête, les cheveux. Un mouvement et elle me dévoila sa culotte, sage. Mais tellement attirante pour moi. J’étais prise entre mon désir de la toucher, et la crainte d’être repoussée. Surtout que nous n’étions pas seules.

Le lendemain, retour dans notre crique. Juste avec le bas du maillot. Morena n’avait plus de problème à ôter son haut dès que nous étions seules. Je tentais de reprendre ses seins dans mes mains mais elle les cacha de ses mains, me signifiant clairement qu’elle ne voulait pas. La journée se passa agréablement bien, sans souci aucun. Le soir, pareil. Soirée télé. Flavio était en ville pour voir le match au bar des supporters. Nous regardions une émission de variétés. Comme hier, Morena se lova contre moi. Puis s’allongea. Sa culotte était parfaitement visible mais comme nous n’étions qu’entre femmes, elle resta ainsi. Sans se douter du feu qui courrait dans mes veines. Elle s’endormit quelques instants sur moi, puis se leva pour regagner sa chambre. J’en fis de même quelques minutes plus tard. Il faisait très chaud à cette période et je gardais juste une culotte pour dormir, sous un drap léger. Je commençais à somnoler, les yeux fermés, quand je crus entendre un bruit confus, puis comme un courant d’air rafraichissant. Puis, le silence. Enfin presque. Je sentais comme une présence, pas vraiment hostile, une respiration légèrement saccadée. J’ouvris les yeux et, m’habituant à l’obscurité, j’aperçus une silhouette. Impossible de reconnaître celle qui était là. Car c’était une femme. Je sentais son odeur, son parfum si familier. Avant de me rendre compte que je la côtoyais tous les jours.

« Viens près de moi. »

Elle avança près du lit et s’apprêta à se coucher près de moi.

« Enlève tout avant de t’allonger à mes côtés. »

Elle ôta tee-shirt et culotte et se faufila sous le drap. Morena, car c’était bien elle, vous vous en doutiez, elle était chaude comme de la braise. Je pris sa tête entre mes mains pour une multitude de baisers, puis je posais mes lèvres sur sa bouche qu’elle ouvrit aussitôt. Un tendre baiser nous unit enfin. Mes mains parcouraient déjà son corps offert. Sa poitrine tout d’abord puis son ventre. Elle se laissait caresser comme une chatte en chaleur qui en redemandait toujours plus. Après mes doigts, c’est ma bouche qui explora son corps, ses tétons déjà durs et gorgés de plaisir, son ventre qui frémissait sous mon souffle et enfin son clito que j’aspirais avec délice. Finalement, je me glissais entre ses cuisses que je relevais bien haut et je pus à loisirs butiner sa petite chatte juteuse, lisser ses petites lèvres et boire à la source de son plaisir. Inutile de préciser qu’elle eut plusieurs orgasmes consécutifs avant que je ne m’allonge à nouveau près d’elle. J’aperçus ses yeux dans la pénombre, elle était véritablement sur un petit nuage. Incapable de dire ou faire quoique ce soit. Elle restait entièrement à ma merci, docile et soumise. Je pris sa main droite pour la glisser dans ma culotte.

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