Elle s’agenouilla devant moi, tout en baissant mon pantalon et elle prit mon sexe dans sa bouche gourmande. C’était un véritable supplice de tenter de résister à ce pompage incessant. J’avais, parfois, envie de prendre sa tête entre mes mains pour baiser sa bouche comme je l’aurais fait avec son intimité. Elle finit par obtenir le résultat qu’elle souhaitait et se releva, heureuse de m’avoir satisfait. Elle rentra chez elle pour aider sa maman, n’oubliant pas de me rappeler le rendez-vous que nous avions demain avec Alexia. J’avais en effet accepté de refaire quelques photos avec elle comme modèle. Elles arrivèrent ensemble, à l’heure dite, et on alla directement dans la pièce du fond qui me servait de bureau et, accessoirement, de studio photo. À peine arrivée, Alexia commença à se déshabiller. Je l’arrêtais immédiatement, même si j’avais énormément envie de revoir son corps nu. Je souhaitais faire une série de photos classiques, habillées. Je pris quelques clichés, lui conseillant les poses qu’elle devait prendre, ce que son visage devait exprimer. Au bout d’un moment, je stoppais car elle n’avait évidemment pas prévu de poser habillée et le tee-shirt qu’elle portait n’était vraiment pas top. Par contre, celui que Fatiha portait était beaucoup plus intéressant. Je demandais donc aux deux jeunes filles si elles voulaient intervertir leur vêtement. Alexia était d’accord et fut la première torse nu. Elle portait un joli soutien-gorge qui relevait sa poitrine pourtant ferme.
Elle passa le haut de son amie et la séance put recommencer. Je m’occupais principalement de mon modèle et je n’ai pas remarqué tout de suite que Fatiha n’avait pas revêtu le tee-shirt. Elle restait ainsi en soutif, exposant ses beaux appâts aux yeux de tous. Alexia l’avait remarqué, elle aussi et gardait les yeux fixés sur les beaux fruits mûrs. Elle ne suivait donc plus les consignes de départ. J’allais demander à Fatiha de se revêtir lorsqu’il me vint une idée. Je demandais à Fatiha de s’approcher de son amie. Ce qu’elle fit en tremblant. Alexia ne put résister bien longtemps à l’envie qu’elle avait de caresser cette généreuse poitrine. Fatiha ferma des jolis yeux pour profiter pleinement des caresses. Le visage d’Alexia s’était éclairé d’une lueur un peu perverse. Je reprenais la série de clichés, faisant bien attention à ne pas prendre le visage de Fatiha. Il n’était pas question qu’elle apparaisse sur les photos. Mais la satisfaction que je pouvais lire sur le visage d’Alexia avait un effet vraiment érotique sur moi et, je l’espérais, sur les clichés que je faisais. Des gros plans sur les mains de mon modèle caressant cette voluptueuse poitrine, d’autres sur son visage émerveillé. Tout son corps tremblotait de plaisir, même ses fesses que je capturais dans mon objectif. Je demandais à Fatiha de reculer un peu, Alexia garda les mains tendues vers cette poitrine qui se dérobait à elle. Elle gardait les yeux fixés sur les deux obus et c’était justement ce regard que je tentais de capter et de capturer. La séance photos continua tant bien que mal, Alexia gardant souvent un œil sur la poitrine qu’elle convoitait toujours.
Vint enfin le moment où Alexia devait commencer à se dévêtir et à s’exposer, s’exhiber devant moi, devant nous. J’allais lui demander simplement de le faire quand une idée lumineuse traversa mon esprit. Je demandais à Fatiha de le faire à sa place. Je pus voir le visage d’Alexia qui s’illuminait d’un coup. J’étais bien sûr certain que Fatiha n’attendait que ça, elle aussi. Elle s’approcha de sa copine et remonta le tee-shirt au-dessus de sa tête. Je photographiais chaque instant, prenant bien soin de ne pas voir le visage de Fatiha. Celle-ci ôta ensuite le soutien-gorge de son amie, toujours en respectant mes consignes. Elle ne put s’empêcher de laisser ses mains traîner pour caresser ces deux globes majestueux. Elles y prenaient autant de plaisir l’une que l’autre. Les deux jeunes filles étaient désormais face à face, bras le long du corps, s’examinant l’une et l’autre d’un regard attendrissant. Je posais mon appareil sur le trépied et, fixant les deux modèles, je le passais en mode vidéo. Je positionnais discrètement derrière Fatiha pour dégrafer son soutien-gorge. Je pus voir de très près l’éclat dans les yeux d’Alexia. Elle savait ce qu’elle voulait, ce qu’elle désirait. Mais surtout elle se doutait qu’elle l’aurait très vite, pendant cette séance, sans nul doute. Les deux filles étaient désormais nues au-dessus de la taille et je pouvais sentir la tension sexuelle qui se dégageait entre elles. Elles avaient envie l’une de l’autre, c’était comme une évidence. Je coupais la vidéo et reprenais l’appareil en main. La suite coulait de source, Fatiha devait descendre la jupe de son amie. C’est bien ce qu’elle fit dès que je lui en donnais l’ordre. Elle resta accroupie devant elle, lui soulevant un pied, puis l’autre, pour dégager ses chevilles du vêtement.
Pour garder l’équilibre, Alexia avait posé ses mains sur la tête à sa disposition. Les deux filles restaient là, immobiles, attendant la consigne suivante, celle de baisser et d’ôter le dernier des vêtements. Alexia avait le souffle court, elle avait pourtant déjà été complètement nue devant nous mais, cette fois, c’était Fatiha qui la déshabillait. C’était ses petites mains qui se promenaient allègrement sur son corps. Je n’eus qu’un seul mot à dire.
« Vas-y. »
Et la culotte rejoignit le reste des vêtements. Fatiha avait glissé ses mains le long des cuisses fuselées de son amie, remontant par derrière jusque sur les fesses. Là, elle avait fait pénétrer ses mains sous le tissu, caressant les fesses à même la peau au passage et avait descendu le dernier rempart, découvrant de très près la fente humide d’une Alexia qui ne pouvait cacher son plaisir. Était-ce de s’exhiber ainsi devant nous, ou bien à moins que ce soit devant Fatiha ? Je capturais alors sur son visage la satisfaction extrême qu’elle devait ressentir à ce moment-là. Fatiha se releva et vint se placer juste derrière moi. Ainsi, le regard de mon modèle était toujours tourné vers l’objectif. J’avais réalisé une bonne série de clichés et je proposais aux filles de les visualiser sur l’ordinateur et, pourquoi pas, retoucher certaines photos.