J’en repérais deux autres, dont une qui plongeait directement sur la cabine qu’occupait mamma. Le patron devait se régaler à faire le voyeur. En y repensant, il devait m’avoir vue totalement nue, l’autre jour. Et aujourd’hui, il avait pu voir les petites fesses de sa vendeuse. Je retournais vers Emily pour lui demander comment se passait son travail, comment était son patron ? Elle me répondit qu’elle n’aurait pas pu trouver mieux pour un premier emploi. Payée au SMIC bien évidemment, mais un patron plutôt sympa, pas chiant du tout. Jamais un mot, ou un geste, de travers. Le patron idéal. Elle faisait sans doute référence à son père qui aussi était patron. Sur le ton de la confidence, elle ajouta que la nature l’avait très bien pourvu. Elle l’avait aperçu un jour que la porte de son bureau était mal fermée. Il se branlait devant l’écran de son ordinateur, sans doute devant un porno sur Internet. Je ne relevais pas, si elle savait, hihihi. Même dans les films pornos qu’elle avait vus avec son mec, jamais elle n’avait vu un braquemart aussi impressionnant. Ce sont ses mots à elle. Et pour rien au monde, elle ne le laisserait la pénétrer. Trop peur d’être déchirée et devenir complètement insensible ensuite.
Mamma sortit enfin et, comme elle n’arrivait pas à se décider, elle prit les trois tenues. Elle régla ses achats et je la raccompagnais chez elle, heureuses l’une comme l’autre de notre après-midi. Avant de repartir, j’avais prévenu Emily que je reviendrais très vite avec une amie que je voulais lui présenter. Je pensais faire de nouveaux achats pour Sophie et renouveler sa garde-robe. Je patientais quelques jours et de nouveau je retournais la voir, mais avec Sophie cette fois. Je demandais à Emily de conseiller mon amie Sophie. Elle prit son rôle très au sérieux et lui proposa trois tenues différentes. Elle l’emmena vers les cabines d’essayage. J’avais convenu avant de venir avec Sophie ce qu’elle devait faire. Arrivée devant le miroir, elle se déshabilla entièrement, restant en sous-vêtements. Elle me tendit ses habits pour ne pas les poser à terre. Puis elle demanda à Emily de l’aider pour l’habiller. Un peu gênée au début, Emily me regarda, je lui montrais mes bras chargés. Résignée, elle commença à habiller Sophie qui était vraiment maladroite.
Elle bougeait dans tous les sens, si bien que souvent, les doigts d’Emily effleuraient un sein, une hanche, une cuisse. Voyant que ces contacts ne gênaient absolument pas sa cliente, Emily n’hésita plus à laisser trainer ses doigts sur le corps de sa cliente qui s’offrait négligemment. Elle se prenait au jeu, lui prenant les seins pour bien les mettre en place. J’entendais également le zoom qui fonctionnait, preuve que son patron n’en perdait pas une miette. Nous étions en semaine, donc peu de clientes. Emily put rester avec Sophie et l’habiller, et la déshabiller comme une poupée. Je l’enviais un peu, car, découvrir le corps de Sophie avait été pour moi une véritable révélation. Et c’est Emily qui a son tour pelotait ce corps fait pour le plaisir. Et Sophie qui jouait parfaitement le rôle de l’ingénue, de la fille stupide qui ne se rendait compte de rien, ou du moins, n’y voyait aucun mal à se laisser peloter et manipuler par la jeune vendeuse. Mais tous les bons moments ont une fin et Emily dut se résoudre à habiller définitivement sa cliente. Sophie, sentant le moment venu, attrapa la main de la jeune fille et la glissa dans sa culotte, entre ses jambes.
« S’il-vous-plaît, pouvez-vous me … Satisfaire ? J’en ai trop envie ».
» Mais, Mademoiselle, je ne suis pas … »
Impossible de finir sa phrase. Ses doigts venaient d’atteindre l’antre chaud et humide de Sophie. Ses doigts se mirent aussitôt en mouvement, comme si elle avait toujours su comment faire. Pourtant, c’était bel et bien la première fois qu’elle touchait une autre fille. Mais les caresses durant les essayages l’avaient vraiment émoustillée. Sophie, excitée pour les mêmes raisons, ne tarda pas à jouir puissamment dans les doigts d’Emily. Je m’empressais de lécher les doigts de la vendeuse, sous ses yeux un peu surpris. Sophie approcha ses lèvres de la bouche entrouverte de la vendeuse. Qui ne refusa pas le baiser de remerciement. Je mêlais ma langue aux leurs pour un tendre baiser à trois. Un bruit, dans la rue, rompit le silence, et le charme fut rompu. Emily retourna émue derrière son comptoir pour que l’on passe à la caisse. Elle n’osait plus nous regarder dans les yeux, se sentant en faute d’avoir succombé si facilement. Je comprenais parfaitement son émoi. C’était celui que j’avais ressenti lors de ma rencontre avec Jenny. Il n’y a pas si longtemps que cela. Elle devait maintenant se remettre en question. Se demander intérieurement ce qu’elle aime vraiment, et ce qu’elle déteste, ce qui la rend heureuse et ce qui l’attriste. Tout comme je l’avais fait, elle devait se poser les bonnes questions et essayer de trouver les réponses.
Je l’appelais plusieurs fois dans les jours qui suivirent, mais je m’empêchais d’aller la voir directement. Pour lui créer un manque. Plus d’une semaine s’était écoulée quand enfin, elle m’appela et demanda à me voir. On était mercredi et je pouvais passer à la fermeture de sa boutique. Je sentis dans sa voix le profond soulagement, et l’impatience d’être enfin à ce soir. Elle voulait me parler et moi aussi, j’avais des choses à lui dire. Je mettais mon plan en place, je rassurais encore une fois Carolyn par téléphone, et j’étais juste à l’heure avant la fermeture. J’entrais dans la boutique et je lui fis deux bises, comme je fais à toutes mes amies. Elle referma la porte derrière moi et alla s’occuper de sa caisse, qu’elle emmena dans le bureau du patron. Je la suivis dans les vestiaires où elle récupéra ses affaires et nous allions partir. Elle se trouvait juste devant moi au moment où je pris ses lèvres. Elle s’abandonna tendrement dans mes bras. Mes deux mains sur ses hanches glissèrent dans son dos, puis sur ses reins. Quand une de mes mains glissa vers ses petites fesses, elle posa une main sur mon poignet. Je pensais qu’elle voulait m’empêcher d’aller plus bas mais, vu qu’elle ne forçait pas, je continuais ma descente et sa main suivit. Mieux, elle se serra plus fort contre moi. J’aurais pu pousser mon avantage et l’emmener beaucoup plus loin mais je savais que je devais patienter. Encore un peu. Nous sommes allées à pied dans le petit parc voisin, où nous avions déjà discuté, et on s’est assises sur un banc, à l’écart des allées et venues. Emily ne savait pas comment aborder le sujet qui la préoccupait. Puis finalement, elle se lança.
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