Je glissais ma bouche entre ses cuisses pour y récolter ce nectar divin. Pas une goutte à perdre. Je lui donnais ensuite le vibro à lécher et elle le nettoya parfaitement. Elle m’entraîna ensuite dans sa chambre mais, avant de la suivre, je recouvrais Amélie qui dormait toujours profondément. Dans sa chambre, elle ôta sa chemise de nuit et me dévêtit complètement. Elle me voulait nue dans son lit pour me remercier à sa manière du plaisir que je venais de lui procurer. Elle se plaça entre mes cuisses et m’offrit son plus merveilleux cunni. Après sa mère, puis elle, que j’avais fait jouir, j’avais moi aussi envie de ressentir la jouissance exulter en moi. Puis, nous avons longuement parlé de ce qui allait se passer, après le repas. On a ri aussi, imaginant toutes sortes de stratagèmes pour adoucir le cœur de pierre d’Isabelle. Vers 10 heures, j’allais réveiller Amélie et je lui parlais de mes différents projets.
L’un d’eux la concernant directement. Elle rougit en baissant les yeux. Je lui avais posé la seule question importante et elle adhérait à 100% à mon plan. Dany acceptait aussi de rentrer dans ce jeu. Je descendais rejoindre Corinne dans sa cuisine. Aucune allusion à ce qui s’était passé ce matin. Je l’aidais à préparer le repas et, chaque fois que je la frôlais, je la sentais frissonner, attendant la caresse qui ne venait pas. Quand je posais enfin ma main sur sa hanche, le temps sembla s’arrêter, comme suspendu. Puis, je retournais à ma tâche. Elle se trouvait devant l’évier quand Charlène descendit, mais elle ne la vit pas. Je m’approchais derrière Corinne pour lui murmurer à l’oreille :
« Ne bouges plus, fermes les yeux et écoutes simplement le plaisir monter en toi ».
Je fis signe à Charlène d’approcher en silence et de se placer entre sa mère et moi. Je pris sa main droite pour la poser sur la taille de sa mère, puis la gauche. Je guidais ses mains pour qu’elles caressent la taille de Corinne. Elle ne sembla pas remarquer que les mains qui la caressaient étaient plus petites que les miennes. Je lâchais les mains qui continuèrent de flatter la taille, avant de passer sur son ventre. Corinne poussa un gros soupir de soulagement quand enfin, les mains prirent possession de sa poitrine. Elles titillaient les tétons, les agaçaient, puis malaxaient cette poitrine si généreuse. Petit à petit, les boutons de la robe sautèrent pour laisser de nouveau entrevoir son magnifique soutif vert, et les merveilles qu’il contenait. Les petites mains habiles sortirent les globes de leur emballage. Charlène me jeta un regard ravi. Je murmurais à l’oreille de Corinne.
» Gardes bien les yeux fermés. Lève tes mains au-dessus de ta tête. Et tourne toi doucement vers moi ».
Elle s’exécuta, obéissant à tout. Charlène resta en admiration devant la poitrine qu’elle caressait toujours.
« Ouvre les yeux, maintenant ».
Elle les ouvrit au moment où sa fille lui gobait un téton. Elle en avait les larmes aux yeux, de bonheur.
» Enfin, mon BB a retrouvé le chemin de mon sein. Suce-moi, mon bébé. Tète-moi bien, ma chérie, comme quand tu étais mon BB, il y a si peu de temps « .
Elle posa sa main sur la nuque de sa fille pour accompagner la tétée. Elle attira aussi ma tête vers son second téton, que je ne refusais évidemment pas. Je posais une main sur sa croupe, l’autre sur le petit cul de Charlène. Corinne finit par frémir de plaisir sous nos caresses. Charlène était aux anges. Et Corinne resplendissait de bonheur. La fin de matinée fut très joyeuse. J’allais réveiller Amélie, qui s’était rendormie, pour qu’elle descende manger avec nous. Je lui ai dit ce que j’allais faire chez Lucie. Elle me remercia pour ce que je faisais pour sa sœur et sa chérie. Elle me laissa l’habiller, comme une poupée grandeur nature. Après le repas, direction la maison de Lucie et sa mère. Elles habitent près d’un club hippique, vers Saint-Coulomb, une petite maison en pierre de taille dans un hameau. Jolie extérieurement, mais difficile à chauffer l’hiver, et surtout très coûteux en électricité. Corinne nous déposa et repartit aussitôt. Isabelle me connaissait déjà mais elle fut surprise de me voir chez elle. Elle me proposa de me faire visiter, ce que j’acceptais. C’est au cours de cette visite qu’elle m’expliqua les problèmes de chauffage. Un feu de bois pétillait pourtant dans la cheminée mais il ne chauffait que la pièce principale. Puis, elle me proposa un café, je préférais un thé. Qu’elle me servit sur la grande table. Elle avait pris un café pour elle. Bien sûr, j’attendais sa question : la raison de ma présence.
Je lui expliquais calmement qu’il n’y avait rien de grave, mais Lucie avait peur de lui parler seule, qu’elle avait demandé ma présence pour enfin dévoiler son secret. Je la rassurais encore en affirmant que ce n’était pas grave, mais très important aux yeux de sa fille. Qu’elle devait l’écouter avant tout. Sans l’interrompre. Pour l’aider, elle me prendrait la main et la serrerait à chaque fois qu’elle voudrait intervenir, tout en restant silencieuse. Elle avait parfaitement compris mais semblait abasourdie que sa fille ait eu peur de lui parler seule à seule. Je la laissais, un peu inquiète quand même, pour aller chercher les filles. Je pris place près d’Isabelle et je lui tendis la main. Qu’elle prit entre ses mains. Puis elle écouta sagement sa fille lui expliquer qu’elle avait une préférence pour les filles, Charlène en l’occurrence. Elle n’avait pas choisi, c’était comme ça et puis voilà. Elle était heureuse maintenant de ne plus avoir à se cacher dans sa propre maison. Isabelle serrait ma main de plus en plus fortement, mais elle ne disait rien, comme promis. À la fin de sa confession, de sa profession de foi plutôt, Charlène s’approcha tout près et elles se roulèrent une pelle magistrale, tout en se cajolant. S’en était trop pour Isabelle qui serra ma main contre elle, contre son sein. Je fis un signe aux filles pour qu’elles nous laissent. Isabelle resta stoïque jusqu’à ce que les filles soient sorties. Puis, elle éclata en sanglots, toujours serrant ma main.
« Ma fille a peur de me parler, il lui faut la présence d’une autre personne quand elle a une chose importante à me dire. «