« Passe tes mains sous ta jupe et fais glisser ta culotte sur tes cuisses. Oui, comme ça. Laisse la descendre doucement jusqu’au sol. Bien. Parfait. Lève un pied, puis l’autre. Te voilà toute nue sous ta jupe et je suis certaine que cela te fait mouiller. Je peux aller vérifier ? »
Je l’ai sentie frémir à l’évocation de ma main qui s’immisçait sous sa jupe, mais sa seule réaction a été d’écarter les jambes, comme une autorisation. Et je ne m’en privais pas. Effectivement, elle était très humide entre ses cuisses et mon doigt se posant sur son clitoris n’arrangea pas son état d’excitation. Elle commençait à gémir et même à se frotter sur mes doigts indiscrets. Je l’ai subitement retournée face à moi pour la fixer, droit dans les yeux. J’ai posé mes mains sur ses seins voluptueux et je l’ai pelotée furieusement. Même dans son regard, je sentais qu’elle en voulait plus. J’avais de plus en plus d’emprise sur elle, sur son corps, sur ses désirs les plus enfouis au fond d’elle-même.
« Remonte ta jupe. Doucement. Laisse-moi t’admirer. Comme tu es belle, et désirable ainsi »
Je m’accroupis alors devant ses cuisses offertes et elle relâcha sa jupe au-dessus de ma tête. Guidée par les odeurs envoûtantes, je léchais cette fente de femme qui se vantait d’être parfaite, alors qu’il suffisait de la guider légèrement pour la faire succomber. Mais c’était tellement bon de la posséder, comme ça, chez elle, avec son mari et ses enfants tout proches. Elle s’abandonna totalement, et posa simplement ses deux mains sur ma tête pour se maintenir en équilibre. Elle a certainement dû se mordre la main pour ne pas hurler son plaisir lorsqu’il l’a envahie toute entière. Je l’ai sentie secouée par des spasmes violents, mais réguliers. Son nectar abondant est venu se déverser dans ma bouche et c’est toute heureuse que je l’ai bue, jusqu’à plus soif. Elle avait encore les yeux dans le vague lorsque je me suis redressée. J’ai tout naturellement posé mes lèvres sur les siennes et nous avons partagé ses effluves. Elle semblait atterrée par ce qui venait de se passer et pourtant, elle était incapable de lâcher mes lèvres. Comme je reculais légèrement, elle prit ma tête entre ses mains et posa à son tour ses lèvres sur ma bouche. Trop heureuse de répondre à son baiser, je me laissais guider par ses envies. Je l’ai su un peu plus tard mais Jérôme nous a vues, mais il n’a pas souhaité intervenir à ce moment-là. Et je pense qu’il a eu parfaitement raison.
Elle a remis de l’ordre dans sa tenue et nous avons fini de préparer le repas. Les filles étaient très contentes de ma présence et Céliane reposa la question à ses parents, concernant la possibilité de passer quelques jours chez moi. Ingrid a pris les devants en expliquant que nous allions en discuter entre adultes et qu’elle serait avertie dès qu’une décision serait prise. Puis, elle demanda à sa grande fille d’aller se coucher et de s’occuper de sa petite sœur. Lavage des dents, pyjama et au lit. Céliane accepta évidemment mais demanda à ce que je vienne les voir, une fois qu’elles seront couchées. Elles quittèrent la pièce et montèrent à l’étage. Ingrid allait se lever pour débarrasser la table mais j’étais derrière elle avant qu’elle ne recule sa chaise. Je lui donnais l’ordre de rester assise et que c’était à moi de tout débarrasser. J’avais posé mes mains sur ses épaules et j’avais donc une vue plongeante dans son décolleté. Mes doigts glissèrent sur sa peau jusqu’à ses bras, sans qu’elle ne puisse réagir. Je me penchais à son oreille pour lui murmurer.
« Tu crois que ton mari sait ce que nous avons fait dans la cuisine ? »
Elle frémit tendrement mais resta sans réaction aucune. Mes doigts alors prirent possession de sa merveilleuse poitrine sous le regard intéressé de Jérôme, mon grand frère. Les bretelles de sa robe glissèrent, dévoilant un magnifique soutien-gorge.
« Regarde ton mari. Vois à quel point il est époustouflé de te voir ainsi, soumise et obéissante ».
« Et encore, il ne sait pas tout. Tu vas relever ta jupe doucement et lui dévoiler tes cuisses. Oui, comme ça. Jusqu’en haut. Encore un peu plus haut. Écarte les maintenant pour qu’il constate bien que tu n’as pas de culotte « .
» Je vous laisse, les amoureux. Je vais raconter un conte de fées aux filles pendant que vous jouerez à des jeux d’adultes ».
Jérôme me regarda, ébahi, et se tourna vers sa femme. Sa queue était, semble-t-il, compressée dans son pantalon et j’ai vu Ingrid se pencher en avant pour la libérer. Et la sucer ensuite, je suppose. J’avais déjà rejoint l’étage que j’entendais Jérôme souffler comme un phoque. Les filles m’attendaient patiemment et la plus jeune s’endormit très vite, après m’avoir offert un très joli dessin qui nous représentait toutes les trois, jouant sur la plage. Céliane profita que sa petite sœur s’était endormie et me demanda de m’asseoir sur son lit. Elle posa immédiatement ses petites mains sur ma poitrine, puis sous mon tee-shirt. Finalement, elle le souleva elle-même et commença à me téter amoureusement. Je savais qu’elle adorait jouer avec mes seins et je ne pouvais pas le lui refuser, surtout que j’étais moi aussi très friande de ses caresses. Quand elle fut rassasiée, elle m’embrassa tendrement en me répétant qu’elle souhaitait passer une semaine entière chez moi. Et surtout qu’elle espérait que sa mère accepte de la laisser partir une nouvelle fois. Elle savait que son papa serait pour, sans aucun problème. C’était simplement sa mère qui pourrait être réticente. Mais je savais déjà qu’elle accepterait, sans pouvoir l’affirmer.
Je redescendais dans la salle et je trouvais Ingrid, empalée sur la bonne queue de son mari. Elle avait aussi enlevé son soutien-gorge et Jérôme avait la tête entre ses magnifiques seins. Je m’approchais d’eux tout près pour signaler ma présence. Ingrid, la première, remarqua que j’étais toute proche et posa sa main sur ma hanche. Elle jeta vers moi un regard éploré, tout en regardant ma poitrine. Je comprenais ce qu’elle désirait et qu’elle ne pouvait pas dire avec des mots.