Je me glissais entre elles et frottais mon clito contre le sien. Je sentais les vibrations de l’œuf, en elle. Quand je passais sur la vitesse deux, elle se réveilla enfin, sourit en me voyant sur elle et attrapa mes fesses pour se serrer encore plus contre moi, clito contre clito. Je me frottais de plus en plus vite sur elle et réussis à la faire jouir enfin, juste avant de jouir à mon tour. Je l’embrassais tendrement pour la remercier de ce doux moment, descendis sur sa poitrine voluptueuse que je tétais goulûment, avant de m’immiscer entre ses cuisses de reine pour la gouter enfin.
Elle était bonne, ma tante, trop bonne. Jamais je ne me lasserais de son corps divin. Et j’espérais qu’elle ne se lasserait jamais de moi non plus. Amélie ronronnait tout près de nous, les deux œufs étant sur la même fréquence. J’avais sorti celui de ma tante et elle monta la vitesse de la télécommande sur maxi. Elle se pencha sur la belle comme elle se réveillait, toute étonnée de ce qui vibrait en elle. Ma tante plaça sa main sur la vulve, empêchant l’œuf de sortir, et en profita pour titiller le clito de son pouce. Amélie voulut protester mais aucun son ne sortit de sa gorge, déjà nouée par le plaisir grandissant. Je m’approchais d’elle, et me mis à la téter comme elle adorait. Elle ne tarda pas à jouir à son tour, avant de se rendormir, comblée. J’allais prendre mon petit déjeuner avec ma tante chérie, nues toutes les deux. J’avais un mal fou à quitter mes yeux de sa poitrine. J’étais comme hypnotisée. Après avoir déjeuné, et tenter de la caresser encore, je la fis assoir sur le sofa et je m’allongeais, ma tête sur ses cuisses, sa poitrine à portée de ma bouche. Cette fois, elle me prit dans ses bras, comme sa fille, et me donna elle-même la tétée. Je restais ainsi un très long moment à profiter de sa gentillesse, de sa douceur. Sa main gauche, entre mes cuisses, me caressait doucement. C’est ainsi qu’Amélie nous trouva toutes les deux quand elle se leva enfin. Amélie vint remplacer les doigts de ma tante par sa bouche pour m’offrir un merveilleux cunnilingus. Je jouis sous l’effet conjugué de sa caresse et du plaisir de la tétée,
Je savais que Julie était chez elle ce matin. Je l’avais aperçue hier, confiant la petite Naïma à son père. Je passais un tee-shirt, (pas même une culotte), et allais sonner chez elle. Elle venait à peine de se lever, les yeux encore un peu ensommeillés, mais elle les ouvrit bien grand quand elle écouta ma proposition. Elle passa un coup de fil et me confirma que ce que je souhaitais pouvait se réaliser cet après-midi. De retour à mon appartement, je trouvais Amélie allongée sur ma tante, en 69, ses magnifiques seins pendaient tout près de ceux de ma merveilleuse tante. Je me suis agenouillée près d’elles pour profiter de ces mamelles, les caresser, leur faire dresser les tétons. L’une et l’autre ronronnaient littéralement sous mes doigts. Amélie lâcha la première. Sa mouille inonda le doux visage de ma chère tante. Elle resta dans cette position pour continuer ses caresses autour du clito de ma tante. Vicieusement, je glissais ma main sous ses fesses pour y introduire un doigt, puis deux, avant de les faire aller et venir en elle. Je savais bien que ma tante Angélique ne résisterait pas longtemps à cette introduction. Elle jouit enfin, longuement. Je pouvais lire le bonheur sur son visage. Je peux vous affirmer, car je l’ai souvent côtoyée au cours de réunions familiales, jamais je ne l’avais vue si heureuse qu’après avoir jouis sous mes caresses. Je les laissais reprendre doucement leurs esprits. Puis Amélie se joignit à moi pour lécher le visage d’Angélique et ôter toutes traces de son plaisir.
Après un temps, je leur annonçais que nous mangerions une pizza chez Julie, ce midi. Juste le temps de se laver et de se préparer. Angélique passa la première sous la douche, puis Amélie, tandis que je séchais ma tante. Quand je sortis enfin de la douche, elles se mirent à deux pour me sécher, et me caresser en même temps, bien entendu. De retour dans la chambre pour s’habiller, je confisquais leurs sous-vêtements. Je passais la robe de ma tante et la reboutonnais, en partant du bas. En remontant sur sa poitrine, je pris un malin plaisir à la caresser pour bien la mettre en valeur. J’en fis de même pour Amélie, sauf que sa robe s’enfilait par le haut. Elle leva les bras pour enfiler sa robe et cela eut pour effet de relever ses magnifiques seins. Que j’embrassais au passage, avant qu’ils ne disparaissent sous le tissu. Accroupie devant elle pour ajuster sa robe, je glissais ma tête dessous pour lui déposer un baiser sur ses lèvres intimes. Elles me regardèrent m’habiller très vite et nous sommes allées chez Julie qui nous attendait. Julie nous fit entrer et nous guida vers le canapé pour nous proposer un apéritif. Elle demanda ce que chacune voulait boire, puis appela Enzo pour nous servir. Il était dans la cuisine et apporta un plateau avec des amuse-gueules. Son entrée fit sensation auprès de ma tante Angélique, qui ne le connaissait pas encore, et d’Amélie aussi qui pourtant l’avait déjà rencontré.
La sensation, c’est qu’il était nu, de la tête aux pieds. Il ne portait qu’un tablier de soubrette qui avait bien du mal à cacher son membre à demi bandé. Il se retourna pour poser son plateau et tout le monde put constater qu’il était plugué, également. Ce qui expliquait en partie son début d’érection. Il écouta attentivement sa Maitresse et nous apporta les boissons choisies. Puis, sagement, il s’agenouilla aux pieds de sa Maitresse, attendant les ordres. Il était totalement sous sa coupe et en semblait très heureux, voire même épanoui. Je présentais ma tante à Julie, lui précisant que c’était aussi une coquine, comme nous. Et pour preuve, je posais ma main sur son genou, Amélie sur l’autre, et dans un même mouvement avons écarté ses cuisses. Julie put à loisir admirer la jolie chatte de ma tante qui baissa les yeux, troublée. Enzo, à genoux à côté d’elle, n’en perdait pas une miette non plus, vu qu’il était placé directement en face de ma chère tante, le visage au niveau de ses genoux. À son tour, Julie présenta son soumis, Enzo. Elle lui demanda de se lever et de s’approcher de ma tante. Debout en face d’elle, entre ses genoux écartés, sa queue monstrueuse se trouvait à portée de ses lèvres. Julie intervint alors :
« Tu peux lui sucer la queue, si tu veux »
Bien sûr qu’elle voulait et ne se fit pas prier pour la prendre en bouche. Et la lécher amoureusement. Sous l’effet de la caresse, elle sembla doubler de volume. Elle semblait vraiment apprécier à sa juste valeur le cadeau que lui faisait Julie, la queue d’un jeune soumis en pleine forme.