« Betty. Relève toi et viens admirer ces merveilles. Ils sont beaux, n’est-ce-pas ? Viens les embrasser. Voilà. Comme ça. Frotte bien ta petite chatte contre la sienne. Parfait « .
La jeune fille suivait mes consignes à la lettre et le plaisir montait chez l’une et l’autre. Armance croisa ses jambes dans le dos de Betty, l’empêchant de reculer. Elles étaient toutes deux au bord de l’orgasme. Je pris à chacune un téton que je pinçais très fort, ce qui déclencha leur jouissance. Il leur fallut du temps pour se remettre, entre la jeune fille qui venait de connaître son premier orgasme, et Armance qui n’en n’avait plus connu depuis longtemps. Quand elle put parler à nouveau, elle me proposa de passer la nuit chez elle, dans sa villa, plutôt qu’à l’hôtel. J’acceptais évidemment.
» Betty, si tu allais préparer tes affaires maintenant, tu pourrais également dormir chez moi. La villa est trop grande pour moi toute seule ».
Betty la remercia et se leva enfin. Elle se jeta dans mes bras. Je posais mes mains sur ses jolies petites fesses, bien rondes.
« Merci. Merci de m’avoir fait connaitre ce plaisir intense ».
Je demandais à Armance de préparer les documents administratifs nécessaires à sa sortie. Elle précisa.
« En ce qui concerne ton diplôme, tu peux le considérer comme acquis. Il restait une épreuve mais, au vu de tes résultats en cours d’année, je te déclare diplômée « .
« Tu recevras ton diplôme à l’adresse que tu vas me laisser mais tu devras le faire valider rapidement en France. Aujourd’hui, il est reconnu, demain, on ne sait jamais « .
Je la remerciais pour tout et prenais la carte de visite qu’elle me donna, avec adresse et téléphone. Betty se rhabilla mais je gardais sa culotte. Sa jupe était longue et personne ne s’en douterait. Armance se rajusta elle aussi et se leva pour nous raccompagner à la porte de son bureau. Betty me fit visiter les locaux avant de me guider vers la cafétéria. Il était l’heure de se restaurer. On avait fini de manger quand un jeune homme approcha de notre table.
» Salut, Betty. J’ai appris que tu nous quittes? Pour un emploi garanti, c’est super ».
Elle me présenta à son ami Max, (Maxime), comme la chasseuse de têtes qui était venue la chercher. Il plaisanta.
« Si vous cherchez un masseur, un kiné, ou bien un coach sportif, pensez à moi ».
Il nota son numéro de portable au dos d’une de mes cartes. On ne savait jamais. Il lui restait un mois pour être diplômé. Dans ma main, il aperçut un bout de tissu.
» C’est votre culotte ? » demanda-t-il sans vraiment y croire.
« Non, c’est celle de Betty ».
Il regarda son amie, surpris.
» Betty ? Tu as osé ? »
« Allons plus loin, elle va te le prouver ».
Betty me jeta un regard noir mais qui évoquait autant la honte que le désir. Désir de surprendre, de s’exhiber. Peut-être sentir enfin une main d’homme sur elle. Elle était en confiance avec moi. On trouva un coin tranquille où personne ne nous surprendrait. Betty restait collée à moi, j’étais sa sécurité.
» Tourne-toi et relève ta jupe. Montre-lui que tu es cul nu ».
Les mots cinglaient dans sa tête et c’est dans un état second qu’elle releva sa jupe. Max ouvrit de grands yeux en voyant ce magnifique cul, dévoilé enfin par son amie. Il leva les yeux vers moi, comme pour demander l’autorisation de toucher. Un signe de tête et il posa enfin ses doigts là où aucun homme ne les avait posés avant lui. Il ne le savait pas, bien évidemment, mais savourait ce moment en caressant les deux globes majestueux. Betty avait fermé les yeux et savourait elle aussi ce moment de tendresse. Elle tendait son cul au-devant des caresses. Elle aurait bien voulu qu’il aille plus loin, plus bas. Mais ce n’était ni le lieu, ni le moment. Elle ne voulait pas passer pour une cruche avec lui et lui avouer, ou pire qu’il le découvre, qu’elle était encore vierge.
Je la serrais dans mes bras, mettant fin à cet intermède coquin. Nous avons rejoint sa chambre pour préparer sa valise. Beaucoup de ses camarades de promotion passèrent la voir pour la féliciter. Elle me proposa de prendre une douche, le temps qu’elle fasse sa valise. Elle en prit une, juste après moi. De nouvelles camarades, et même une de ses professeurs, vinrent la féliciter. Je lui conseillais de ne pas trop se charger. Là où elle allait vivre, elle serait choyée et aurait tout ce qu’elle demande. Elle appela un taxi pour nous rendre chez Armance.
C’était vraiment une grande villa avec une piscine derrière, dans un jardin bien entretenu. Elle nous offrit un rafraîchissement et, quand je posais la question sur cette villa, elle nous parla un peu de sa vie. Elle avait été mariée, cinq ans, sans avoir pu être enceinte. Son mari devenu volage, elle demanda le divorce. Il prit un appart en ville, plus facile pour recevoir ses nombreuses conquêtes. Mais avant que le divorce ne soit prononcé, il est décédé dans un terrible accident de moto. L’un comme l’autre avaient oublié qu’ils avaient contracté une bonne assurance-vie. Elle en était la seule bénéficiaire. Les frais de l’enterrement pris en charge par les parents du défunt, elle se retrouvait avec une somme rondelette qu’elle investit dans l’achat de cette villa. Depuis le décès de son mari, elle avait connu des hommes, bien sûr, mais pas un suffisamment sérieux. Puis, enfermée dans le train-train quotidien, elle en avait oublié sa libido.
Jusqu’à aujourd’hui. Mon arrivée dans son bureau, et dans sa vie, avait tout fait remonté à la surface. Ses envies refoulées, ce besoin de crier : »Je suis vivante « . Et le fait que ce soit une femme, une jeune femme, qui lui offre son premier orgasme depuis bien longtemps, c’était encore plus fort, plus magique. Et elle tenait à nous en remercier. Betty avait rougi à l’évocation de sa première expérience avec une autre femme. Je pense même qu’elle commençait à mouiller.
» Armance, c’est moi qui te remercie de t’être prêtée à cette expérience. Ton splendide corps a fait le reste. Et Betty ».