Nous sommes le 22 Septembre 2014 et c’est jour de rentrée universitaire pour Amélie et moi. Les aventures de ces dernières semaines ont réussi à me faire oublier mon chagrin et la perte de ma chérie. Un peu, mais pas totalement. Et Amélie, ma coloc désormais, m’a beaucoup aidé par sa présence et sa docilité surtout. Nouvelles matières, nouveaux profs et nouveaux camarades. Bien du changement. Les premières semaines ont été studieuses. Pour Amélie comme pour moi. Puis la routine a repris le dessus. Les sorties avec les copines, ma tante Angélique qui est passée nous voir un vendredi soir. Elle m’avait appelée la veille pour savoir si on était disponibles. J’avais dit oui mais je n’avais pas prévenu Amélie qui eut la surprise d’aller lui ouvrir la porte. Elle se jeta dans ses bras en la voyant avant de la faire entrer. Elle la guida au salon où je me trouvais et la pria de s’assoir sur le sofa près de moi.
« Eh bien Amélie, je vois que tu es contente de revoir ma tante. Montres-lui combien tu es contente. »
Aussitôt, elle s’agenouilla devant elle, écarta ses jambes pour s’engouffrer sous sa robe. Angélique me tendit ses lèvres, ravie. Je les pris avec fougue, dégrafant en même temps les boutons de sa robe. Son soutif apparut, elle passa les mains dans son dos pour le défaire, puis l’ôter après avoir baissé sa robe de ses épaules. Elle était nue jusqu’à la taille, magnifique femme de 40 ans. Mes mains s’activaient sur ses seins généreux. Amélie défit les quelques boutons qui restaient pour enlever la robe. Ma tante ne restait pas inactive non plus, sa main s’était immiscée sous ma jupe et caressait ma fente avec délices. Mais c’est sa bouche que je voulais là. Je me levais donc, debout sur le sofa. Je me plaçais devant elle, elle baissa mon string avant de glisser sa langue dans ma fente déjà humide. Douce caresse qui ne tarda pas à faire monter mon plaisir, et ma jouissance. Elle avala toute ma mouille quand je jouis sur ses lèvres, ce qui déclencha son propre orgasme. Amélie devenait une experte avec sa langue, surtout avec les personnes qu’elle appréciait le plus, c’est-à-dire ma tante Angélique et moi-même. Une fois fini son nettoyage, elle ôta robe et soutif pour m’offrir sa poitrine à lécher. Angélique s’occupa de lui titiller le clito et rentra deux doigts dans son cul. Elle jouit rapidement sous l’effet de nos caresses respectives et s’écroula ensuite sur le sofa, en laissant ma tante entre elle et moi. Chacune de nous jouait avec un sein, les tétons pointaient encore. Puis ce furent nos bouches gourmandes qui remplacèrent nos doigts et ma tante jouit une seconde fois, vaincue cette fois. J’ôtais ma jupe et mon top à bretelles pour me mettre dans la même tenue que ma tante, juste en culotte, Amélie étant nue. Nous sommes restées ainsi toute la soirée, à discuter un peu, et à se caresser beaucoup.
Quand on alla se coucher enfin, pas question de dormir, pas tout de suite. Je profitais de l’occasion pour sortir le gode-ceinture que ma voisine Julie m’avait offert. Je ne pouvais pas l’utiliser ni sur moi, ni sur Amélie, trop grand gabarit. Mais je savais, pour en avoir parlé un peu, que ma tante aimerait sûrement. Elle m’avait confié une fois qu’elle aurait bien aimé faire l’amour avec un grand black super bien monté. Un male alpha, quoi, à l’opposé de son triste mari. Angélique était allongée sur le lit, jambes écartées, et Amélie s’occupait de bien la faire mouiller pour préparer sa fente. Quand elle me vit ainsi harnachée avec cette « queue » monstrueuse, elle eût peur quelques secondes, mais l’envie prit le dessus. Je le vis dans ses yeux. Elle écarta ses cuisses au maximum pour me laisser me placer entre elles et surtout poser le bout du gode à l’entrée de son vagin. Je voyais ses lèvres bouger autour du « membre », tentant de l’engouffrer en elle. Mais je devais la dilater un peu quand même avant de la pénétrer vraiment. Amélie lui titillait le clito de ses doigts agiles, puis sa bouche vint l’aspirer doucement. Elle humectait le « membre » avec sa salive et retournait aspirer le bouton d’amour. Je pus enfin entrer le premier centimètre et fis une pause, pour que son corps s’habitue, avant de demander plus. Ses hanches roulaient de droite à gauche, tentant de s’empaler plus encore sur l’engin. Je commençais ma progression en elle, lentement. Elle ouvrit la bouche pour reprendre sa respiration. Aspirer plus d’air. Amélie se plaça au-dessus de cette bouche qui se fit un plaisir de la bouffer toute. Face à moi, elle me tendit sa bouche tandis que je rentrais encore plus profond. Je fis encore une pause à mi longueur.
« La moitié est rentrée, ma tante. Encore autant pour arriver au bout »
Je la sentis frémir d’envie avec cette annonce. Elle savait maintenant qu’elle serait remplie pour de bon. Enfin un autre de ses fantasmes réalisés. Je repris ma progression mais plus vite cette fois, avec un peu moins de ménagement. À la sauvage, un peu. Mais je savais qu’elle aimait être prise ainsi, de temps en temps. Et je m’en donnais à cœur joie. À force, je finis par toucher le fond de sa matrice et fis une pause, pour moi cette fois-ci. Elle reprit une grande bouffée d’air quand je m’arrêtais enfin. Sans rien dire, je sortis à moitié pour la pénétrer à fond de nouveau. La surprise laissa bientôt place au plaisir à chaque fois que je la pénétrais à nouveau, à fond. Plus je la martelais, et plus elle prenait son pied. En fait, je ne crois pas l’avoir vue autant comblée qu’avec ce gros gode. Elle aimait les gros calibres, ma tante. Peut-être que je devrais lui en trouver un vrai, un bien vivant, qui pourrait la faire se pâmer comme maintenant. J’avais aperçu la queue d’Enzo, le soumis de ma voisine. Déjà de belle taille. Savoir si Julie voudrait l’utiliser pour donner du plaisir à ma chère tante.
Elle finit par jouir enfin sous mes coups de butoir. Je lui laissais quelques instants de répit, mais Amélie, gourmande, se pencha en avant sur sa chatte encore toute humide. Elle joua si bien de sa langue qu’elle la fit jouir une nouvelle fois. Elles finirent par s’allonger, chacune à un bout du lit et moi au centre. J’avais une dernière surprise pour elles deux avant d’aller dormir. Je sortis le coffret contenant les œufs vibrants, commandés par télécommande, et en fis entrer un dans la chatte d’Amélie, puis l’autre dans celle de ma tante Angélique. Je les mis en marche, petite vitesse, et me plaçais entre les deux coquines qui ronronnaient de plaisir. Je m’endormis comme ça, entre elles, heureuses. Quand je me réveillais le lendemain, je savais qu’elles avaient encore joui dans la nuit, les traces sur elles et sur le drap ne laissaient aucun doute. En attirant ma tante, je réussis à la placer sur le dos, jambes bien écartées.