Romuald (10/18)

Vous me connaissez désormais et vous savez que j’ai fait l’amour avec de nombreux partenaires. Mais le plus souvent, il ne s’agissait que de baise, bestiale et sauvage. Et j’adorais cela, évidemment. Des moments comme celui-là, j’en ai rarement connu, avec des hommes. Il y avait eu Jean-Jacques, les premières fois, qui me regardait de la même façon. Puis Léandre, quand il avait passé un week-end chez moi. J’avais aussi aperçu ce regard passionné dans les yeux d’Alex, après qu’il m’ait avoué qu’il me connaissait depuis longtemps et que j’avais fait partie de ses fantasmes d’adolescent.

Nous avons fait l’amour magnifiquement ainsi pendant des heures, interminables mais ô combien réjouissantes. Il a été très surpris lorsque j’ai voulu le prendre en bouche pour lui redonner un peu de vigueur. Pensait-il que j’allais le mordre, ou lui faire mal ? Personne, jusqu’alors, ne l’avait sucé comme je l’ai fait ce soir-là. J’aurais pu avaler tout son foutre mais c’est en moi que je désirais qu’il se répande. Plus tard, de lui-même, il est venu se placer tête-bêche au-dessus de moi. Il avait envie de me lécher encore, de me découvrir sous toutes mes facettes. Et ma bouche accueillante était pour lui une vraie révélation. Il a fini par s’endormir, repu de plaisirs intenses.

J’ai dû me réveiller vers 4 heures du matin, il faisait encore nuit boire dehors. Romuald dormait encore profondément mais son corps avait fini par réagir à la chaleur de mon propre corps. Sa queue se balançait contre mes fesses, cherchant un passage, un réconfort. Durant toute la soirée passée près de lui, il n’avait jamais paru intéressé par mes fesses, mis à part pour les caresser, les embrasser. Là, sa queue semblait avoir sa propre vie, ses propres envies aussi. Et vu que moi aussi, j’en avais très très envie, je me positionnais, prête à le recevoir comme il se doit. Ma main passa derrière mon dos pour agripper cette queue bien dure et la guider vers mon petit trou.

J’étais certaine qu’il dormait profondément mais son corps, sa queue, semblait encore plus grosse au contact de ma corolle. Je n’ai pas eu à forcer les choses, il m’a enculée lentement, mais jusqu’au bout sans s’arrêter. Il était en moi et je frémissais de tout mon être. Puis, presque de manière imperceptible, son corps à commencer à bouger, d’avant en arrière. Je savais qu’il dormait encore car sinon, ses mains se seraient agrippées à mes hanches pour mieux me posséder. Ce n’était qu’un mouvement de balancier, régulier et méticuleux, mais parfaitement efficace.

Sa queue sembla grossir encore un peu, son souffle s’accéléra et sa main, enfin, vint se poser sur moi. Il était bien réveillé désormais et il m’embrochait comme si sa vie en dépendait. Sans qu’il sorte de mon fondement, j’ai réussi à me mettre à genoux, lui derrière moi et il a continué à me pilonner, infatigable métronome. Il se tenait fermement à mes hanches et chacun de ses coups de queue semblait aller plus profondément en moi. J’ai joui une première fois mais cela ne l’a pas arrêté pour autant. Il avait gardé en mémoire des images de son père et de son grand frère quand ils avaient profité de mon corps, devant et surtout derrière.

Il était près de l’extase finale lorsqu’il ralentit, ses mains remontèrent vers mes seins qu’il pouvait caresser à sa guise. Il m’attira contre lui et c’est ma bouche qu’il chercha. Et trouva, pour un tendre baiser d’amoureux. Il reprit son travail de sape et mon second orgasme lui fut fatal, il ne put résister à l’envie de me remplir le cul, comme il avait vu d’autres le faire avant lui. Nous nous sommes allongés côte à côte, nous cajolant gentiment, jusqu’à ce qu’il reprenne de la vigueur et ne vienne s’introduire en moi, de façon plus conventionnelle. En missionnaire. Il m’a fait l’amour encore longtemps, pour mon plus grand plaisir, et le sien, certainement. J’ai joui encore plusieurs fois avant qu’il ne se calme à nouveau.

Dans ses yeux, je pouvais lire tout le bonheur qu’il avait ressenti, je savais que cette nuit-là serait pour lui, inoubliable. Mais pour moi aussi, je vous rassure. J’avais connu la fougue de Léandre, et celle d’Alex, mais avec Romuald, c’était encore plus fort, plus puissant. Le goût de l’inceste en plus. Je n’avais jamais connu de garçon aussi vigoureux et déterminé. Il ne voulait pas simplement me baiser mais il voulait, il souhaitait que je crie grâce. Mais il n’a pas obtenu satisfaction. Il ignorait, évidemment, à quel point j’étais avide de sexe. Roger, son père, l’avait pourtant répété plusieurs fois pendant cette expérience à quatre.

Il était l’heure pour moi de me lever et de me préparer pour ma matinée de travail. Je filais sous la douche, aussitôt rejointe par mon fougueux amant. Il m’a lavée, évidemment mais il n’a pas pu résister longtemps et il m’a prise de nouveau, par derrière. J’étais plaquée contre la paroi en faïence tandis qu’il me besognait. Rinçage, puis séchage. Et là encore, sa queue toujours bien dure est venue investir ma chatte dégoulinante. Il a même levé une de mes jambes pour me prendre bien profond. Nous avons pu prendre le petit déjeuner calmement. Je suis retournée dans ma chambre pour m’habiller et, en mettant mes chaussures, j’ai légèrement perdu l’équilibre et j’ai basculé en avant, posant mes mains sur mon lit.

Je ne le savais pas si près de moi et quand il a relevé ma jupe, il était déjà prêt à me prendre de nouveau. Il a juste écarté le string et m’a embrochée sauvagement. La position devait lui plaire énormément car il n’a pas résisté bien longtemps. J’ai dû repasser par la salle de bains, seule, avant de pouvoir partir enfin à mon travail. Christiane, ma cheffe, a tout de suite décelé que j’avais passée une nuit courte mais formidable. Elle voulut connaitre le nom de mon amant mais je lui ai juste dit qu’il avait à peu près l’âge de son propre fils. Elle n’a pas insisté pour en savoir plus et la matinée est passée très vite.

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