Entre Henriette et Olivia, il ne se passa rien d’autre depuis le premier baiser, initié par la présence de David qui les avait mises dans les bras l’une de l’autre. Sans doute fallait-il qu’il soit de nouveau présent pour que la magie opère à nouveau. Comment pourrait-il en être autrement ? Jusqu’au jour où, après une séance de yoga, il suivit les deux femmes dans le bureau d’Olivia. Habituellement, il regagnait le sien pour se changer. Elle comprit immédiatement qu’il était là pour la regarder se changer et elle se mit à rougir de suite. En même temps, elle commençait à ressentir les prémices d’un plaisir incommensurable qui montait du tréfonds de ses entrailles. Elle allait s’exhiber devant son Maître, et devant Henriette. Avec son amie, c’était devenu une habitude et elle n’avait plus aucun complexe à se mettre presque nue devant elle.
Après chaque séance, les deux femmes regagnaient ce très grand bureau. Henriette enlevait son top moulant pour se retrouver en tee-shirt dessous, puis elle passait sa robe par-dessus sa tête avant d’ôter son legging. Elle ne montrait absolument rien de son corps. Olivia, par contre, se mettait entièrement en sous-vêtements devant son amie avant d’enfiler ses collants, puis son maillot ou corsage, suivant si elle était en jupe ou en robe. Son dernier vêtement passé, elles partageaient un frugal repas dans ce même bureau. Mais ce jour-là, tout était différent, avec la présence de David avec elles. Henriette n’osait pas se changer la première et, sachant qu’Olivia allait s’exhiber totalement, elle décida de profiter du spectacle. Elle resta debout, tandis que David avança une chaise pour y prendre place.
Olivia était très émue par ce qu’elle allait oser faire, mais en même temps, très excitée. Elle ferma ses jolis yeux, prit une profonde inspiration, avant de croiser les bras pour attraper son top, par le bas, et les soulever au-dessus de sa tête. Elle resta un instant ainsi, bloquée par le vêtement hyper collant. Elle exposait parfaitement son ventre plat et sa poitrine, superbement mise en valeur dans un soutien-gorge bien rempli. Elle reposa ce vêtement sur le dos d’une chaise et se tourna pour commencer à baisser son legging. C’était ses fesses qu’elle exhibait désormais, son joli postérieur habillé d’une très jolie culotte, assortie au soutien-gorge, bien évidemment. Puis elle se retourna, faisant face à ses deux spectateurs, les bras ballants, attendant certainement un signe, un ordre.
David se leva, impassible, ne la quittant pas des yeux. Un pas et il était derrière Henriette qui sentait que cela allait être son tour. Il posa simplement ses mains sur les hanches pleines et la fit avancer de deux pas, pour se retrouver toute proche de son amie. Tout en fixant sa soumise, il recula jusqu’à son siège et prit place dessus, attendant la suite. C’était comme s’il était en communication télépathique avec sa soumise et qu’il lui transmettait tous ses désirs. Elle attrapa le bas du top et le souleva par-dessus la tête de son amie, elle en fit de même avec le tee-shirt qu’elle portait dessous et put enfin découvrir l’opulente poitrine que son amie lui cachait depuis si longtemps. Un soutien-gorge blanc, classique, avec de larges bretelles, maintenait en place cette voluptueuse poitrine.
Olivia apprécia le spectacle mais elle savait pertinemment que David ne voyait encore rien. Elle posa donc ses mains sur les hanches de son amie et commença à baisser le legging. Un petit peu derrière, un petit peu devant. Le vêtement était si serré qu’elle devait procéder ainsi, par étapes. Elle finit par s’accroupir devant Henriette pour être plus à l’aise et continua à faire descendre le legging. Jusqu’aux chevilles. David pouvait enfin admirer le magnifique popotin d’Henriette, vision malgré tout un peu gâchée par la culotte de grand-mère qu’elle portait ce jour-là. Pas très sexy, tout ça, mais malgré tout, ni l’un ni l’autre ne pouvait détacher son regard de cette femme sublime, mise à nue, ou presque. Face à son entre jambes, Olivia avait terriblement envie de poser un baiser sur le devant de la culotte.
Un coup d’œil à son maître et elle posa ses deux mains sur le côté de la culotte, prête à la descendre. Henriette en frémissait d’avance, prête à intervenir si on baissait son dernier rempart. Mais au fond d’elle-même, elle ne savait plus trop bien si elle devait se défendre, ou se laisser faire. Si David n’avait pas été là, elle aurait sans doute accepté qu’Olivia continue. Mais cette présence la dérangeait un peu. En même temps, elle savait que, sans lui, rien de tout cela ne serait arrivé. C’était pour elle un vrai dilemme qu’Olivia résolut simplement. Prenant appui sur les hanches de son amie, elle se releva, sans rien tenter de plus. Pour finir, elle fit tourner son amie, face à David, pour qu’il apprécie le recto, après avoir vu le verso.
Elle tenta évidemment de se cacher à sa vue mais Olivia vint se coller derrière elle pour garder ses mains le long de son corps. Maintenant qu’il avait tout vu, ou presque, Henriette osa rouvrir les yeux et trouva un David ébahi devant le spectacle. Elle qui craignait d’y voir du dégoût dans son regard, c’était bel et bien de l’admiration. Malgré tout, les séances de yoga avaient portés leurs fruits. Cet homme encore jeune et plutôt bien fait de sa personne comme elle avait pu le voir durant la séance de yoga, cet homme-là était en train de l’admirer et elle ne put s’empêcher de rougir légèrement. Elle le fixait fièrement maintenant, droit dans les yeux, et elle a parfaitement vu le mouvement de tête qu’il a fait. Elle était prête à tout pour apercevoir encore son regard émerveillé sur son corps de vieille femme. C’était ainsi qu’elle se voyait. Elle avait désormais la preuve que tous ne la voyaient pas ainsi.
Quand Olivia commença à descendre sa culotte, elle n’avait déjà plus l’intention de la retenir, trop heureuse de s’exhiber devant le jeune homme. Instinctivement, elle baissa les yeux vers le short et ce qu’elle découvrit lui fit encore plus plaisir que son regard même. Il bandait de la voir nue et offerte devant lui. De LES voir nues toutes les deux. Nues et dociles, prêtes à toutes les extrémités. Henriette sentit une ombre passer devant elle, puis s’accroupir face à elle. Elle écarta ses cuisses à la demande de sa complice et ferma les yeux pour goûter pleinement ce plaisir incommensurable d’un merveilleux cunnilingus. Olivia avait obéi aveuglément à un geste de son Maître et, pour la première fois, elle goûtait à une autre femme. Depuis ce premier baiser entre elles deux, elle savait que ce moment viendrait.