Mon frère Flavio a vite abdiqué, voyant que c’était inutile, et impossible de revenir en arrière. Je continuais à surveiller ses faits et gestes, jour et nuit. Oui, même la nuit, enfin, le soir. Je suis très souvent descendue près de la porte de leur chambre pour les écouter discuter, puis faire l’amour. Fabiola et mon père ne l’ont jamais su. Ils l’apprendront aujourd’hui, par le biais de ce blog. En l’entendant gémir, j’ai eu envie de voir ce qui lui faisait tant d’effets. Et j’ai vu. Le monstre que mon père cachait à tous, sauf à ses maîtresses. Je n’ai encore jamais vu un sexe aussi impressionnant. Peut-être qu’un jour, j’essaierais de voir si mon frère est aussi bien monté.
J’imagine donc parfaitement la surprise d’Alice, et tous les plaisirs qu’elle a pu avoir cette nuit-là. Prise en missionnaire par mon père pendant qu’elle avait la vulve de Fabiola sur sa bouche. Et le mari qui embrassait sa femme. Plus tard, c’est Fabiola qui s’est fait prendre en levrette, Alice en-dessous d’elle qui lui titillait le clito. Elle était aux premières loges pour voir le monstre disparaître dans le cul de son amie. Alice n’est montée dormir que vers deux heures du mat. Mon père dormait déjà après avoir satisfait ces deux furies, qui avaient continué à se donner du plaisir, comme dans leur jeunesse. Le lendemain, Alice dormait profondément quand Wendy est entrée dans sa chambre. Elle a juste tiré la couette pour la découvrir entièrement nue. Mais elle n’osait pas la toucher, pas encore. Quand Alice l’aperçut enfin, il ne lui a suffi que d’un signe et Wendy lui a rendu la caresse qu’elle avait reçue la veille.
Ma petite sœur devenait une experte avec sa langue. Les entraînements avec Marielle et moi. Lol. N’empêche qu’il ne lui a pas fallu longtemps pour faire jouir cette femme magnifique, qui se tordait sous les effets de la caresse. Que c’est beau, une femme qui jouit ! Et quand on se dit que c’est grâce à soi, on peut en être fière. Wendy s’allongea au-dessus d’elle pour se donner à fond, offrant à la jeune femme la vue de son string. Il ne cachait pas grand-chose. Alice écarta la ficelle et happa son clito. Elles finirent par jouir ensemble. Au moment où Fabiola entrait dans la chambre pour réveiller son amie. Elle vit les deux femmes qui se pâmaient de plaisir. Son seul regret était de ne pouvoir participer. Elle prit place sur le lit caressa les cheveux de sa fille.
« Mais maman … » chuchota Wendy, surprise de sa présence.
Mais elle continua à lécher la vulve de l’amie de sa maman, devant elle. Alice intervient.
« Je crois. Non, je suis certaine qu’elle espère le même traitement de la part de ta bouche ».
» Non, mais, Alice. Ce n’est pas possible. Faut pas dire … »
Alice s’était redressée et avait plaqué ses lèvres sur celles de Fabiola. Elle lui caressait les seins à travers le tissu de la robe. Ses mains descendirent vers le ventre et remontèrent la robe, découvrant ses cuisses, sa culotte. Se tournant vers Wendy.
« Si tu veux lui faire plaisir. Et te faire plaisir à toi aussi ».
Fabiola essayait de se défendre mais Alice la tenait fermement. Wendy hésita, de longues minutes. Puis ses mains caressèrent doucement les cuisses de sa mère. Jusqu’à la culotte. Fabiola avait cessé de se débattre. Elle le voulait tellement. Mais en même temps, elle le redoutait. Elle savait pertinemment qu’il y aurait un avant … Et surtout, un après. Et puis les lèvres remplacèrent les doigts agiles qui frôlaient sa peau douce. Les lèvres d’un ange qui effleuraient ses cuisses, son ventre. Des petits doigts agiles se glissèrent sous l’élastique de sa culotte et elle commença à descendre le long de ses cuisses. Fabiola s’était soulevée, machinalement, pour aider au passage de ses fesses. Sa culotte était maintenant sur ses chevilles. Puis plus rien. Les douces lèvres remontèrent le long de ses mollets, ses cuisses qui s’ouvraient pour enfin atteindre sa grotte intime.
Une bouche gourmande avait pris possession de sa chatte. Elle se sentait transportée. Alice finit de relever sa robe et l’enleva totalement. Elle put ainsi plonger à nouveau sur les seins magnifiques de son amie. Sortis des bonnets, ils ne tombaient pas du tout, tellement elle était excitée. Et l’orgasme dévastateur la submergea très vite, entre les caresses divines de sa fille et celles de son amie d’enfance. Fabiola était une nouvelle fois comblée au-delà de tout. Il lui fallut de longues minutes pour se remettre d’aplomb. Et se rendre présentable. Mais elle ne regrettait pas ce moment de folie. Enfin si, un peu.
Blottie dans mes bras, je la rassurais en lui disant qu’elle n’avait rien fait de mal. La sachant portée sur la religion, je lui rappelais la Genèse, Adam et Ève, leurs deux fils, Caïn et Abel. Et Caïn tua Abel. Mais avant de mourir à son tour, il a bien fallu qu’il fasse des enfants avec sa mère, Ève. Donc inceste. Et ses mêmes enfants, pour procréer à nouveau, on dut faire l’amour entre frères et sœurs, cousins et cousines.
« Mais le plus important de tout, c’est ta fille qui a voulu ça. Toi, tu t’es juste laissée faire. Il y avait consentement mutuel, et personne n’a obligé l’autre. Surtout pas toi. Il n’y a rien de répréhensible, juste la morale judéo-chrétienne qui en a pris un bon coup, lol ».
Et on a refait l’amour une bonne partie de la nuit. Avec mon gode ceinture, je l’ai baisée par devant, par derrière. Et enculée pour finir. Elle était là, inerte devant moi, et moi, je voulais jouer encore. Avec son corps. Je rentrais facile deux doigts dans sa fente. Un troisième les rejoignit. Je la bourrais comme ça un moment. Puis je rajoutais un doigt. Elle commença à réagir en gémissant doucement. Je n’ai pas de grosses mains et je tentais de la rentrer entièrement. Elle ouvrit les yeux au moment où ma main passa le col. J’étais à l’intérieur. Je pouvais caresser l’intérieur de son vagin. Lui arrachant des hurlements de plaisir. Puis, je fermais mon poing et commençais à la pistonner. Mon bras allait et venait en elle. Elle jouit une première fois, tentant d’expulser l’intrus. Je continuais encore à la pistonner jusqu’à un second orgasme, plus fort, qui la laissa sans voix.
Quand elle fut remise, elle me raconta la fin du week-end. Le samedi soir, Alice regagna la chambre parentale avec Fabiola et elle y resta jusque tard dans la nuit. Elle remonta se coucher et, moins de 2 minutes après, Wendy la rejoignit, pour la nuit. Au matin, Fabiola les trouva toutes deux endormies, et enlacées. Wendy, sentant une présence, se réveilla la première, aperçut sa mère qui les regardait. Elle releva la couette et écarta ses cuisses, appelant Fabiola du regard à venir s’y perdre. Fabiola en avait les larmes aux yeux, rien que d’évoquer ce doux moment passé avec sa fille. C’est ensuite à trois qu’elles se sont données du plaisir.