La surprise, elles l’ont eue toutes les deux car Maeva avait pris la même initiative. Un peu risqué lorsque l’on prend les transports en commun, mais elle avait osé et elle était arrivée toute excitée par cette situation. Le soi-disant document n’était qu’un prétexte, évidemment, vite bâclé pour passer aux choses sérieuses. Celles pour quoi elles étaient réunies de nouveau. Pas de fessée, pour les retrouvailles. Mais des caresses, en veux tu, en voilà. Les sens exacerbés, elles se sont données sans compter, l’une comme l’autre. Et elles se sont quittées fatiguées mais comblées.
Szofia me confia qu’elle n’avait plus revu la jeune fille depuis cet après-midi mémorable et qu’elle le regrettait. Et pour preuve, la cyprine qui coulait de sa chatte béante, pour le plus grand plaisir d’Alex qui était resté attentif à son récit. Alain n’était pas en reste car les aventures que je venais d’entendre m’avaient, moi aussi, fortement excitée. Nos deux bouches se sont jointes au moment ultime de la jouissance dans un baiser fougueux.
Tandis que les deux mignons se régalaient de nos effluves, les autres convives partaient chacun leur tour. Pour le grand final, Caro avait dû subir un bukkake, une douche de sperme en français. Pendant que les autres soumis se rhabillaient, elle demanda si elle pouvait prendre une douche. C’est Clément lui-même qui l’emmena à la salle de bains et il y resta jusqu’à ce qu’elle soit fraiche et propre.
Après une telle soirée, je ne pouvais pas rester seule chez moi et, quand Caro m’invita à rester avec eux, j’acceptais avec un immense plaisir. Marc avait repris des forces et nous honora l’une et l’autre, avant de s’endormir pour de bon. Je pus me blottir contre le corps sublime de Caro et je m’endormis à mon tour, la tête blottie entre ses seins. Et c’est ainsi que je me réveillais le lendemain, la bouche à portée de ses tétons.
Impossible de résister à cette envie irrésistible de les prendre en bouche, de les sucer, de la téter amoureusement. Elle dormait toujours mais ma succion n’était pas sans effets sur elle. Elle gémissait tendrement, poussant quelques petits crois attendrissants quand mes dents s’aventuraient trop près de son téton. Tous ces bruits mélangés eurent pour effet secondaire de réveiller le mâle qui sommeillait dans mon dos.
Son sexe grandit rapidement et se plaça, comme par magie, entre mes fesses. Il n’a eu qu’à pousser légèrement pour m’enculer une nouvelle fois. Il faisait des mouvements amples, prenant tout son temps. Je vous assure que c’est un réel plaisir de se réveiller ainsi, une poitrine à téter et une bonne bite dans le cul. Quand il accéléra les mouvements, je dus arrêter de sucer les seins pour me concentrer sur mon propre plaisir.
J’avais fermé les yeux pour me recentrer sur mes sensations et, quand je les ouvris de nouveau, Caro était parfaitement réveillée, elle aussi, et elle se mit à me doigter merveilleusement bien. J’aurais hurlé de plaisir si elle n’avait pas étouffé mon cri en m’embrassant tendrement. Sa fille s’étant réveillée, c’est Marc qui se dévoua, il remit juste un boxer qui cachait difficilement sa queue énorme.
Caro a continué à me doigter jusqu’au bout et c’est ensemble que nous sommes allées prendre notre douche. Elle s’est habillée rapidement pour aller préparer le petit déjeuner de toute la famille. J’étais en train de finir de m’habiller dans la chambre quand Marc revint. Il n’a eu qu’à me pousser légèrement pour que je tombe en avant sur le lit. Il a simplement relevé la robe que Caro m’avait prêtée, écarté mon string pour me prendre une dernière fois de divine façon. J’adore cette position, la levrette.
Quand il fut prêt à éjaculer, c’est ma bouche qu’il a choisi comme réceptacle de son offrande. Puis, il s’habilla, prêt à partir au travail. Je rejoignis Caro dans la cuisine et nous avons déjeuner avec ses enfants. Ensuite, je suis rentrée chez moi. Ludivine m’a appelée pour que j’aille courir avec elle. Même si je n’en avais pas trop envie, le fait de la revoir m’a boostée et j’ai accepté.
Rendez-vous sur le même stade où les rugbymen s’entrainaient encore, en vue du match de l’après-midi. C’est en pensant à eux que j’ai couru, toujours derrière Ludivine. Je voyais son joli petit cul se dandiner devant moi et je l’imaginais, entièrement nue, dans la douche avec tous les rugbymen autour d’elle. Puis, naturellement, c’est moi que j’ai vue sous cette même douche, entourée par toute l’équipe. Et j’ai failli défaillir, rien que d’y penser.
Je ne sais pas pour vous, mais moi, quand j’ai une bonne idée, il faut toujours que j’essaie de la mettre en pratique. La raison, s’il en fallait une ? Il fallait bien remercier ces messieurs qui nous avaient bien aidés, par leur présence. Pour moi, cela suffisait et je commençais à mijoter mon plan. Toujours en courant derrière le petit cul de Ludivine. Une fois mon plan d’action bien présent dans mon esprit, je devais convaincre mon amie du bien-fondé de la démarche.
Et c’est en marchant tranquillement vers notre sac, et la sortie, que je lui expliquais ce que j’avais l’intention de faire. Elle était évidemment très réticente au début, puis elle a accepté de m’accompagner tout de même, ne serait-ce que pour me voir à l’action, entourée de tous ces mâles. Nous sommes donc rentrées dans les vestiaires en même temps que les rugbymen. Je savais pertinemment qu’il y en avait toujours un pour nous proposer de venir prendre la douche avec eux.
On en rigolait à chaque fois mais, ce jour-là, j’allais bel et bien les prendre au mot. On est entrées dans le vestiaire femmes, pour en ressortir presque aussitôt. Je suis fièrement entrée dans le vestiaire hommes, suivie par une Ludivine apeurée. Les sportifs étaient déjà presque nus pour certains et, machinalement ou pas, ceux qui étaient totalement nus cachèrent leur sexe. Réflexe pudique ? D’autres ne se cachaient nullement, arborant fièrement leur sexe au repos. Ceux-là arboraient un air goguenard, comme s’ils savaient ce qui allait suivre.