La Comtesse d’Orgemont trois (08/10)

Szofia remarqua qu’elle ne tenait pas en place, bougeant sans cesse sur son fauteuil. Finalement, elle se leva et se plaça tout près du bureau de sa responsable de stage, à la même place où elle avait reçu sa première fessée. Elle restait muette, n’osant pas, ne sachant pas comment demander. Et soudain, une inspiration.

Elle baissa son buste, presqu’à toucher le bureau et, dans le même mouvement, elle releva sa jupe très haut sur ses fesses. Le message était on ne peut plus clair. Szofia regardait, interloquée, ce petit cul qui s’offrait à la punition. Elle hésita quelques instants. Maeva, impatiente, finit par murmurer.

« J’ai été une vilaine fille, Madame. Je dois être punie ».

Après un tel aveu, il ne restait plus qu’une chose à faire. Baisser la culotte entièrement et commencer la fessée. Szofia fut plutôt gentille, au début, puis les coups ont commencé à pleuvoir à tour de bras. Maeva avait posé ses avant-bras sur le bureau et sa tête sur ses poignets. Elle recevait la correction qu’elle avait demandée de façon stoïque, comme si c’était vraiment mérité.

Le petit cul était tout rouge quand Szofia décida de stopper les claques. Elle se mit alors à caresser les lobes fessiers endoloris. Maeva avait écarté les pieds, laissant libre accès à son intimité. Szofia ne put résister à cet appel et commença à doigter sa jeune stagiaire. Pour son plus grand plaisir. Elle se donna entièrement, sans retenue.

Les gémissements qu’elle poussait n’avaient rien de factice. Elle finit par jouir entre les doigts de sa Maîtresse. Un nouvel orgasme en deux jours. Une évidence s’imposa à elle. Ses parents, son confesseur, et même ses propres convictions lui interdisait de se donner du plaisir. Rien n’était écrit, ou précisé, si le plaisir venait à la suite d’une punition. Donnée par une autre femme.

Et le supplice recommença chaque jour. Au début, elle n’osait pas, jusqu’à ce que l’envie soit la plus forte. Elle recevait la correction qu’elle demandait activement, suivie d’une douce caresse entre ses cuisses qui l’emportait chaque jour un peu plus loin dans les paradis artificiels. Au bout d’une semaine, c’était devenu une habitude, un véritable rituel. Pour la jeune fille mais pour Szofia également. Si bien qu’un jour, elle se laissa déborder par ses propres envies.

La petite venait de jouir à nouveau et tentait de reprendre ses esprits. Elle se redressa, faisant face à sa Maîtresse. La petite fente, humide de son plaisir récent, ainsi offerte était un véritable appel au viol. Szofia souleva la jeune fille pour la faire asseoir sur le bureau. Elle lui écarta les cuisses avant de plonger, la tête la première, au cœur de son intimité. Second orgasme pour la jeune stagiaire.

Et première fois pour Szofia qui n’avait jamais eu envie d’une femme, d’une fille, auparavant. Elle avait évidemment déjà reçu des caresses buccales, lors des soirées particulières chez la Comtesse. Mais c’était dans le feu de l’action, des caresses subies sans être véritablement désirées. Là, c’était tout le contraire. Elle était l’initiatrice, la demandeuse. Le plaisir de la jeune fille, venant inonder son visage, fut comme une révélation. Elle avait toujours refusé d’admettre qu’elle aimait les femmes autant que les hommes.

Maeva était toujours assise sur le bureau, les jambes écartées au maximum, les avant-bras posés derrière elle. Et elle fixait intensément celle qui venait de lui donner tellement de bonheur, cherchant un moyen de la remercier. Son regard changea, devint plus perçant. Elle avait bien une idée mais hésitait encore à passer à l’acte. Puis, sans hésitation, elle se lança, se redressa et descendit du bureau.

Ou plutôt, pour être exacte, elle glissa du bureau vers les cuisses de sa Maîtresse qui l’attendait. Elle tendit son visage vers Szofia et, fièrement, y récolta les restes de sa propre jouissance. Elle se laissa glisser ensuite sur le sol, entre les cuisses de cette femme magnifiquement sexy, força les cuisses qui s’ouvrirent, ce qui eut pour effet de remonter sa robe. Sans aucune expérience, mis à part celle qu’elle venait de vivre, elle plongea à son tour entre les cuisses de Szofia. Pour le plus grand plaisir de celle-ci.

Szofia aimait le sexe, c’était une évidence pour elle. Des hommes, elle en avait connu des tas, des bons et des mauvais. Elle avait même déjà couché pour obtenir une promotion, et elle ne le regrettait pas. Elle avait, bien évidemment, eu quelques expériences avec des femmes, des filles de son âge, tout d’abord. Puis, l’une de ses maitresses de stage. Et pour finir, quelques expériences subies par d’autres femmes chez la Comtesse d’Orgemont. Subies, mais acceptées tout de même. Cela restait du sexe à l’état brut.

Ce qu’elle vivait avec sa jeune protégée, c’était déjà tout autre chose. Une envie de ce corps juvénile, et pourtant déjà très féminin. Pour la première fois, elle avait envie d’une autre femme, même si, en l’occurrence, ce n’était qu’une jeune fille inexpérimentée. Elle avait envie de ce corps, de ses seins doux au toucher, de cette chatte qu’elle venait de découvrir sous sa langue. Et la petite perverse qui maintenant lui rendait la monnaie de sa pièce. C’était trop pour Szofia qui exulta rapidement. Trop rapidement.

Et comme malheureusement, ou bien heureusement parfois, toute histoire a une fin et le stage de Maeva se termina. Szofia me confia avoir gardé contact avec sa jeune stagiaire via le réseau social professionnel LinkedIn. Elle peut ainsi suivre l’évolution de la carrière de sa jeune protégée. Elles ne sont revues qu’une seule fois, depuis la fin de ce stage. Maeva lui avait demandé son adresse personnelle pour lui faire remplir, et signer, son bilan de stage.

Szofia n’était pas dupe, elle avait reçu bon nombre de stagiaires avant elle et, d’habitude, tout se réglait par courriel. Elle l’a donc reçue chez elle, un samedi après-midi. Elle s’était bien préparée et, au moment de s’habiller pour la recevoir, elle choisit de ne rien porter sous sa robe. Pas de culotte. C’était une première pour elle. Elle tenait à en faire la surprise à sa jeune stagiaire.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *