Vanessa (05/05)

Dans un demi-sommeil, elle s’emporta, voulant rester avec nous toute la nuit. Nous l’avons donc guidée dans notre chambre et déshabillée. Elle prit la place au milieu du lit, voulant garder ses amies, une de chaque côté d’elle. Amélie se déshabilla à son tour, ne gardant que sa culotte et j’en fis de même.

La chaleur de nos deux corps sembla réveiller la belle endormie qui glissa ses mains simultanément dans nos culottes. Très vite, elle arriva à me faire mouiller et je pense qu’il en fut de même pour Amélie. J’ôtais ma culotte, la laissant libre de s’exprimer. Elle se leva soudain, ôta son string et entreprit de me lécher comme Caro lui avait fait tout à l’heure. Elle était très douée la coquine et parvint rapidement à ses fins. Moi, je m’étais juste permis de caresser sa croupe appétissante. Puis, devant sa victoire, elle se tourna vers Amélie qui s’était assoupie.

Sans rien lui demander, elle fit glisser la culotte vers le bas, écarta ses cuisses et se plaça entre elles. Elle avait profité de la vue de sa poitrine somptueuse une bonne partie de l’après-midi et voulait y gouter maintenant. Elle prit un téton entre ses lèvres, le pinça légèrement ce qui fit réagir Amélie, puis l’avala entièrement, tétant comme un bébé qu’elle était encore un peu. Elle se frotta la chatte contre celle d’Amélie et cela lui plut énormément. Abandonnant sa tétée, elle se mit à se frotter de plus en plus, et, quand leurs clitos se trouvèrent au contact l’un de l’autre, elle reçut comme une décharge électrique, qui, loin de la calmer, l’excita encore plus.

Elle se frotta de plus en plus vite, de plus en plus fort, visant l’endroit stratégique qui lui faisait le plus grand bien. Amélie était totalement réveillée maintenant mais avait du mal à reprendre son souffle. La petite Vanessa accéléra encore et ses mouvements se transformèrent en un tremblement plutôt qu’un va-et-vient. Elles tremblaient toutes les deux maintenant, les clitos collés l’un à l’autre, puis d’un coup elle s’arrêta de bouger comme foudroyée par le plaisir. Seuls leurs deux corps continuaient de trembler comme s’ils avaient une vie propre, avant de se calmer tout à fait. Elles restèrent comme ça, l’une couchée sur l’autre.

Je remontais le drap sur nous et je m’endormis enfin, heureuse. En me réveillant, je les retrouvais dans la même position, Vanessa la tête entre les seins d’Amélie, poitrine qu’elle avait dû encore utiliser dans la nuit car les tétons étaient tout durs et très rouges. Je me levais, les laissant profiter encore et j’allais prendre une douche froide pour me donner un coup de fouet. Je sortis courir, comme d’habitude. À mon retour, elles étaient allongées l’une à côté de l’autre.

Sans la réveiller, je pris Vanessa dans mes bras pour la remettre dans son lit. Une dernière fois, je pus admirer la beauté de son corps et la douceur de sa peau. Je ramenais également tous ses vêtements, sauf son string que je gardais en guise de trophée. Je repris une douche (chaude cette fois) et je réveillais Amélie avant de descendre pour le déjeuner. Les garçons étaient debout déjà et Patricia aussi, les autres commençant un peu plus tard. À peine les tables en place, les premiers clients arrivaient, pour un petit café le plus souvent.

Cette dernière journée s’annonçait comme magnifique. J’avais préparé la table de ma tante et j’y avais même déposé un petit bouquet de roses en centre de table. Elle arriva comme convenu vers 13 heures. Elle était véritablement splendide dans cette robe blanche, légère, presque transparente. Même les garçons, habitués aux jeunes filles, semblaient fascinés, et jaloux que je sois la seule à m’en occuper. Bien sûr qu’elle remarqua rapidement que je l’avais placée à une table légèrement isolée, ce qui lui donnait la liberté de glisser sa main sous ma robe légère.

Moi-même, je me positionnais assez près d’elle et personne ne s’aperçut de rien. Elle avait des doigts magiques et elle me faisait mouiller à chaque fois qu’elle me touchait. À la fin du repas, rien que de m’approcher d’elle me faisait de l’effet. Mes autres tables que je servais également se vidèrent rapidement et, avec l’autorisation de mes patrons, je pus m’assoir un instant avec elle et boire un café en sa compagnie. Ce n’est qu’à ce moment-là que je lui appris la présence d’Amélie, que j’avais prise sous mon aile pour travailler ici avec moi et qui devait rentrer avec nous.

Elle sembla, un instant, contrariée, puis j’appelais Amélie pour qu’elle nous rejoigne. Je lui indiquais où elle devait se placer, d’un regard, et elle prit place. Ma tante Angélique, la voyant ainsi à la même place que j’occupais quand je la servais, me jeta un petit regard complice et je lui fis signe que « Oui », elle pouvait lui faire la même chose. Elle ne s’en priva pas d’ailleurs et Amélie écarta ses cuisses d’elle-même pour lui laisser libre accès. Angélique retrouva le sourire en se disant qu’elle passerait sans doute une bonne soirée, à trois au lieu de deux prévus initialement.

Je ne vis pas tout de suite qu’elle avait un signe à Richard pour qu’il apporte deux cafés supplémentaires, sinon je serais allée les chercher personnellement mais le jeune homme tenait à ce que je la lui présente. Il se pencha pour lui baiser la main, avant d’apercevoir son autre main sous la robe d’Amélie. Il me fit une moue dépitée et repartit derrière son bar. J’étais une trop forte concurrence pour lui.

Angélique rejoignit son hôtel peu de temps après, nous indiquant où nous devions la retrouver après notre travail, vers 18 heures 30. Nous nous sommes tous regroupés autour d’un dernier verre avant de nous quitter. J’en profitais pour diviser les pourboires de la journée entre les serveuses à part égales, les garçons gardaient ceux laissés au bar. Vanessa eut du mal à retenir ses larmes mais je lui promis qu’on se reverrait et on échangea nos numéros de téléphone. Caro nous déposa en voiture, Amélie et moi, à la porte de l’hôtel où ma tante nous attendait impatiemment.

 

La suite l’an prochain, peut-être …

 

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