Amélie (21/23)

La bouche de Doriane avait remplacé sa main et elle suçait les tétons pour les faire grossir encore, les faire se gorger de sang. Tantôt l’un, tantôt l’autre. Avec la bouche habile qui lui bouffait la chatte, Amélie ne tarda à jouir bruyamment. Elle se lâchait totalement, libérant ses envies. Sa jouissance non feinte, mêlée aux caresses prodiguées par la belle italienne m’amenèrent moi aussi à l’extase.

Alba, sentant ses doigts humides, s’agenouilla entre mes cuisses pour récolter le fruit de ses caresses, sur ses lèvres. Puis, elle nous laissa, en me faisant promettre de passer la voir, elle et son amie, au troisième étage, avant de partir. Je laissais enfin retomber sa chemise de nuit et la fit s’assoir sur une chaise, dos au mur. L’une des jeunes spectatrices me demanda si elle pouvait continuer à lui caresser les seins. Je lui donnais l’autorisation, bien sûr, et les laissais seules.

Je fis un tour dans toutes les chambres de l’étage, Différentes musiques, différentes boissons et quelquefois des spécialités que les filles avaient amené de leurs régions respectives. Je retournais près d’Amélie, où la jeune fille s’était agenouillée près d’elle et la tétait à travers le tissu de sa chemise de nuit. Une main caressant l’autre sein. Une tache humide ornait chacun des tétons, qui pointaient à travers le coton. Je proposais à la jeune fille de monter avec nous, au troisième, où elle pourrait continuer à profiter de ce corps offert à ses caresses. Une étincelle dans ses yeux bleus, et elle se leva d’un coup, m’aidant à relever Amélie, à demi-endormie. C’est vrai que c’est une couche-tôt.

La jeune fille, je ne lui ai jamais demandé son prénom, passa un des bras de mon amie sur son épaule pour la soutenir. Elle se trouvait ainsi bien collée à elle. Elle ne portait qu’un caraco noir et un cycliste en lycra très moulant, couleur fuchsia. Sous le caraco, rien d’autre, c’est certain, ses petits seins pointaient librement sous le tissu, genre flanelle. Pas de culotte sous le cycliste, pas de marques visibles, au pire un string.

La chambre de mes amies italiennes, Alba et Annalisa, était la première de cet étage. C’était, à l’origine, la chambre d’une surveillante de nuit mais la place vacante avait permis aux deux amies d’avoir une chambre plus spacieuse et surtout, une salle de bain pour elles deux. Quand elles m’aperçurent sur le palier, elles se précipitèrent pour nous faire entrer et refermer derrière elles. À clef. Elles voulaient un peu d’intimité.

D’entrée, Alba ôta la chemise de nuit devenue inutile. Amélie grogna mais se laissa faire, docilement. Puis, elle sembla émerger un peu et demanda à aller aux toilettes. Alba demanda pourquoi faire et elle répondit dans un murmure :

— pour faire caca.

Les deux italiennes eurent un regard complice et réagirent très vite. Alba, qui soutenait Amélie par derrière, lui demanda d’attendre un peu tandis que Annalisa se précipita dans la salle de bain, pour revenir avec un grand sac poubelle qu’elle étala consciencieusement sur le sol. Puis elles placèrent Amélie bien au centre et lui demandèrent de s’accroupir.

Je compris enfin leurs intentions. Je n’avais aucun gout pour ce genre de vision mais si elles voulaient voir mon amie en train de chier, et la lécher ensuite, pourquoi pas. Tant qu’elles ne me demandent pas de participer et pour Amélie, si son rôle est seulement de fournir la matière fécale. Je restais tout près d’elle, debout, et elle s’accrocha à moi pour se maintenir. Les deux italiennes se mirent en position pour assister au spectacle. La jeune fille, un peu en retrait, les regardait faire, ébahie de tant de perversion.

Amélie (je le rappelle) avait mangé de la choucroute ce soir et une odeur pestilentielle envahit bientôt la chambre, malgré la fenêtre grande ouverte. Puis le bruit caractéristique du pipi qui tombe sur le plastique du sac. Les deux filles restaient silencieuses, absorbées par le spectacle. Puis, quand ce fut fini, elles demandèrent à Amélie de se déplacer un peu, sur le côté pour enlever ce sac et de se mettre à 4 pattes. Ce qu’elle fit sans broncher. Annalisa ramassa le sac avec précautions et l’emmena dans la salle de bains, loin de notre vue et de nos nez surtout. Quand elle revint, Alba s’occupait déjà de lécher le cul de mon amie, aussi s’allongea-t-elle pour se glisser sous le ventre d’Amélie et pouvoir lui nettoyer la chatte. Les bouches des deux amies étaient toutes proches et, de temps à autre, elles s’embrassaient à pleine bouche, se délectant des résidus laissés par mon amie. Quand elle fut parfaitement propre, cul et chatte, elles se déshabillèrent entièrement devant nous pour aller prendre une douche, ensemble.

Amélie s’allongea sur le sol, jambes écartées. Cette vue sembla beaucoup plaire à la jeune fille qui me demanda du regard, puis, voyant que j’acceptais par mon silence, s’agenouilla entre les cuisses de mon amie pour enfin lui bouffer la chatte, à son tour. Elle en rêvait depuis qu’elle avait vu faire l’autre fille dans la chambre du deuxième. Elle semblait un peu débutante mais s’appliquait à découvrir chaque centimètre de peau avec sa langue, décalottant le clito qui jaillit de sa cachette. Elle était aux anges et Amélie semblait aussi apprécier cette tendresse, cette douceur dans les caresses qu’elle lui prodiguait.

Les deux italiennes sortirent en riant de la salle de bains, toujours nues bien sûr, et se turent d’un coup devant le spectacle des deux jeunes filles. Mais Alba, toujours la plus prompte, réagit la première et alla se placer au-dessus de la bouche d’Amélie, lui offrant ainsi sa chatte à lécher, et, prenant ses mains pour se caresser la poitrine avec. Amélie ne se posa pas de questions et lécha sans attendre cette chatte offerte à ses lèvres, à sa langue fouineuse. Annalisa, pour participer à son tour, sortit d’un tiroir un vibromasseur qu’elle promena entre les cuisses de la jeune fille, qui les écarta aussitôt un peu plus, ses cuisses, pour laisser libre champ à la curieuse. Elle semblait vraiment aimer ça et apprécia encore plus quand son cycliste lui fut ôter et que le vibro caressait directement ses lèvres intimes, avant de pénétrer doucement dans son intimité.

Moi, j’enlevais mon tee-shirt et je me mis à genoux derrière Annalisa qui, toute à son plaisir, me laissa lui caresser sa magnifique poitrine. Puis, me lovant autour d’elle pour que ma langue vienne remplacer mes doigts, ma main descendit vers sa chatte plutôt poilue. Mais déjà trempée.

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