Torse nu toutes les deux, nous sommes allées voir Lucie et Charlène lui dit :
–« D’abord, si tu es ici, c’est en tant qu’amie avant tout, la musique, c’est un plus et tu le fais très bien. Ensuite, tu as certainement des compiles préenregistrées pour un fond sonore. Et enfin, on est de la même taille toutes les deux et je vais te prêter un maillot. Tu n’as pas le choix »
Lucie avait écouté son amie sans dire un mot, avec des grands yeux ébahis de la voir si volubile. Puis elle me regarda dans les yeux pour y voir que j’approuvais tout ce qu’elle avait dit. Elle baissa les yeux sur ma poitrine, puis sur celle de Charlène et se remémora le début.
–« Si tu es ici, c’est en tant qu’amie avant tout ». Des larmes lui montèrent aux yeux et elle accepta de nous suivre, après avoir insérer un CD dans la platine.
Elle suivit Charlène dans sa chambre et je fermais la porte. Sans trop regarder, elle choisit un maillot et chercha des yeux où se changer. Je lui dis qu’on était entre filles et qu’elle n’avait pas à se sentir gênée. Avant qu’elle ne réagisse, je soulevais son tee-shirt. Elle me regarda, puis se laissa faire. Je baissais sa jupe, puis sa culotte. Je me relevais pour lui ôter son soutif. Elle ne savait pas où mettre ses mains, devant sa chatte ou devant sa poitrine.
Finalement, elle les laissa le long du corps. Je dis à Charlène de lui enlever ses chaussures et elle s’agenouilla devant elle. Elle ôta les chaussures mais resta à genoux, hypnotisée par cette petite chatte duvetée. Elle ne pouvait pas …, elle posa ses lèvres sur cette merveille de la nature. Lucie, elle, posa ses mains sur sa tête en signe d’acquiescement de ce baiser. Elles étaient seules au monde maintenant, ignorant ma présence, toutes à leur plaisir mutuel.
Je sortis sans bruit et fermais la porte derrière moi. En bas, Corinne me questionna du regard et je lui fis signe de ne pas s’inquiéter et que tout allait bien. Confiante, elle replongea dans son bouquin.
Je restais sur la terrasse car je savais que les deux jeunes filles ne devaient en aucun cas être dérangées. Assise sur un fauteuil, je profitais du soleil, et de la vue. Corinne n’avait pas remis son haut et je pouvais à loisir admirer sa poitrine généreuse, comme je les aime. Puis, me sentant près d’elle, me tendit un tube de crème solaire et me proposa de lui en mettre. Elle posa son livre, baissa ses lunettes de soleil, et me laissa la badigeonner. Les épaules, la poitrine, hummmmmm, le ventre et les cuisses jusqu’au mollet. J’étais heureuse et elle dut le voir sur mon visage.
Je ne voyais pas se yeux mais son sourire était très expressif. Elle me conseilla de dire aux jeunes filles de se protéger aussi. Des tubes étaient à leur disposition. Les jeux de mains continuaient en jeux de soins, tout aussi agréables. Je gardais le tube en main et je badigeonnais mon Amélie, trop heureuse que je m’occupe un peu d’elle et devant tout le monde en plus, puis je passais à une autre jeune fille avant de lui donner le tube pour qu’elle me protège aussi. Elle le fit très bien, même si je m’aperçus qu’elle prenait du plaisir à caresser ma poitrine, ce qui n’était pas pour me déplaire non plus.
Charlène et Lucie descendirent à ce moment précis et Charlène prit un tube, ôta le haut de Lucie et commença à l’enduire de crème solaire, avant de le lui passer à son tour pour la même raison. Je voyais la joie sur leur visage de s’être trouvées l’une l’autre, et de pouvoir se caresser en public, sans aucune gêne. Tout le monde retourna dans l’eau et je les suivis, remarquant qu’elles avaient du mal à se lâcher la main. Elles se regardèrent avant de s’approcher de moi.
J’étais debout le long du mur, de l’eau jusqu’à la taille. Se tenant la main, serrée l’une contre l’autre, elles vinrent me donner un baiser sur la joue, tandis que leur main libre caressait chacune un de mes seins. Puis elles me soufflèrent un grand merci et retournèrent avec les autres. Amélie s’approcha et voulu savoir ce qu’elles m’avaient dit. Je lui dis la vérité, qu’elles m’avaient dit « Merci ». Elle était tout près de moi et j’en profitais pour glisser ma main dans sa culotte et l’exciter. Elle se laissa faire, bien sûr, trop heureuse. Il est vrai que je n’avais pas beaucoup profité de son corps ces derniers jours. Je lui promis de me rattraper le soir même, à condition qu’elle n’aille pas se coucher trop tôt. Elle me dit qu’elle tiendrait et je savais qu’elle le ferait.
Corinne nous invita à venir nous désaltérer et toutes les filles sortirent de l’eau et se dirigèrent vers les boissons offertes. J’en profitais encore pour admirer sa poitrine mais, cette fois, Amélie le remarqua et me poussa du coude. Jalouse ? De toute façon, le soleil tombait lentement et toutes les filles se rhabillaient unes à unes.
Charlène retourna dans sa chambre, entrainant sa nouvelle conquête, qui y avait laissé ses vêtements. Elles redescendirent après un long moment, heureuses comme tout à l’heure, et Charlène me dira plus tard que cette fois-ci, Lucie lui avait rendue sa caresse et qu’elle était très douée avec sa langue. Elle en profita pour rappeler ma promesse de faire de mon mieux pour son cadeau. Je la rassurais en lui disant que cela me ferait autant plaisir à elle qu’à moi. Lucie retourna derrière ses platines et les jeunes filles se mirent à danser, à se trémousser.
Je les regardais un moment, puis j’allais aider Corinne et Amélie à dresser la table : un buffet froid. Jusqu’à la nuit tombée, les amies de Charlène restèrent dehors, puis rentrèrent enfin pour diner, partager le gâteau d’anniversaire et la regarder ouvrir ses cadeaux. Lucie s’approcha de moi et me demanda de l’aider à ranger son matériel de sono. Je la suivais et, à deux, le travail fût très vite fini. Puis, dans la pénombre, elle se colla à moi pour me remercier de tout ce que j’avais fait pour elle. Ses lèvres cherchaient les miennes et je lui rendis son baiser. Tout son corps était collé au mien. C’était doux, c’était tendre, c’était chaud.