Il m’aurait suffi d’un mot, d’un geste, pour qu’elle retrouve la queue de son papa entre ses lèvres. Jean-Jacques avait fermé les yeux depuis que j’avais sa queue entre mes mains et se laissait porter par le plaisir. Orlane quitta la chambre pour rejoindre les filles à la cuisine, pendant que finissais de faire jouir mon amant dans ma bouche. Le dessert avant le dîner. Nous nous sommes rhabillés pour retrouver les filles, qui savaient très bien ce que nous venions de faire. Aucune allusion pourtant durant le repas. Jean-Jacques ignorait encore, je le lui appris un peu plus tard, que c’était Albane, la plus jeune de ses filles, qui était à l’origine de ce débordement de plaisir.
Toutes mes aventures ne m’avaient pas pour autant fait oublier la soirée chez la Comtesse d’Orgemont. Depuis ma première rencontre avec Roselyne, je la revoyais régulièrement. Minimum une fois par semaine. Ce fut presque tous les jours juste avant le week-end fatidique. Elle tenait à ce que je sois prête à tout.
Ces rendez-vous, chez elle évidemment, se passaient exclusivement entre elle et moi. Je fus donc très surprise de voir une belle jeune fille assise dans le canapé quand j’y entrais, suivie de ma Maîtresse. Il faut dire que nous avions un protocole très précis depuis que je venais la voir chez elle. Elle inspectait sous ma jupe dès mon arrivée et je me devais de venir sans rien dessous.
Évidemment, pantalons et leggings étaient prohibés. Puis elle ouvrait mon corsage, ou soulevait mon tee-shirt, pour contrôler là encore l’absence de soutif. Une fois entièrement nue, toujours dans l’entrée de l’appartement, elle daignait m’embrasser voluptueusement. Ses mains parcouraient mon corps, le découvraient. Elle me conviait alors à rejoindre le salon, elle toujours derrière moi.
Inévitablement, je finissais à genoux sur le tapis et, suivant son humeur du jour, elle restait debout ou prenait place sur le canapé. Si elle restait debout, elle s’approchait tout près de moi, me laissant humer ses effluves intimes. Elle ne donnait aucun ordre. Je savais évidemment ce qu’elle attendait de moi mais elle devait m’indiquer quand je devais glisser ma tête sous sa robe.
Mes mains et ma bouche entraient alors en action pour lui offrir le plus magnifique des cunnilingus. J’étais très douée, d’après ses dires. Ses gémissements étaient ma récompense. Sa source coulait alors et je m’abreuvais littéralement de son nectar. Roselyne était une Reine pour moi, la Maîtresse que j’attendais. Clothilde et Agathe avaient encore beaucoup à apprendre pour devenir de véritables Maîtresses.
La jeune femme qui était assise dans le fauteuil ce jour-là n’était autre que Évangéline, une autre soumise de longue date. Jenny en avait parlé peu de temps après avoir rencontré sa Maîtresse. Je fus surprise, évidemment, mais je compris très vite qu’il s’agissait d’une dernière épreuve pour tester mon niveau de soumission. Pas question de se cacher ou de faire demi-tour. Et surtout, continuer sans hésitation aucune.
C’était cela que ma Maîtresse attendait de moi et ce fut exécuté comme elle le souhaitait. Évangéline avait certainement dû être briefée avant mon arrivée car elle se leva, s’approcha de moi et commença immédiatement à me caresser. Sans un mot, juste avec un sourire. Que je lui rendais bien volontiers.
C’est une très belle jeune femme et ses mains expertes inspectaient mon corps, ma poitrine, mes fesses, mes cuisses. Entre mes cuisses ouvertes à sa fantaisie. J’étais de nouveau un jouet entre les doigts finis et manucurés de cette beauté insolente. Quand elle posa ses deux mains sur mes épaules, je savais évidemment ce qu’elle attendait de moi.
Je m’accroupis devant elle et j’attendais la consigne suivante. C’est Roselyne, passée derrière la jeune femme, qui souleva sa longue jupe de gitane et c’est sans surprise que je la trouvais nue dessous. J’ignorais ce qui se passait au-dessus de moi mais j’imaginais que ma Maîtresse devait caresser à son tour la fabuleuse poitrine de la jeune femme, tandis que je m’occupais de son clito très développé.
En remontant lentement mes mains derrière les jambes de la jeune femme, j’arrivais librement à ses cuisses fuselées, puis à ses petites fesses bien musclées. En la caressant tendrement, je caressais aussi Roselyne qui était collée à elle. Puis, en tournant ma main, c’est ma Maîtresse que je caressais directement. Les effets se firent sentir très rapidement.
Évangéline s’agenouilla devant elle et sa tête disparut sous la robe. J’étais désormais allongée sur le dos, ma tête toujours enfouie sous la jupe de gitane. J’ignore laquelle des deux commença à jouir mais cela déclencha l’orgasme de l’autre. J’aurais bien aimé me toucher à ce moment-là mais je pensais que mon initiative ne serait pas bien vue.
J’étais une soumise, celle qui se donne aux autres, il n’était pas concevable que je me donne moi-même du plaisir. Roselyne l’avait sans doute compris et elle laissa ce soin à Évangéline qui se plaça en 69 au-dessus de moi. J’avais encore mieux accès à toute son intimité, son petit trou du cul aussi. Je ne me gênais pas pour le titiller avec la pointe de ma langue. J’écartais ses fesses pour pénétrer cet endroit secret, presque inviolé.
Elle cessa brutalement de me lécher la chatte quand mon doigt pénétra enfin son anus offert. Roselyne releva la longue jupe pour comprendre pourquoi la jeune femme était si excitée. Elle m’encouragea alors à continuer, voire même à ajouter un doigt. C’est elle qui me doigtait tendrement pendant que j’enculais la jeune femme avec deux doigts maintenant.
Elle ne tarda pas à jouir de nouveau et je fus comblée de recevoir une nouvelle fois sa mouille abondante dans ma bouche. Elle roula sur le côté pour se retrouver allongée sur le dos, je suivais son mouvement pour me retrouver au-dessus d’elle. Je continuais à la lécher quand Roselyne enfonça un gode de belle taille dans mon cul.
Elle savait que j’aimais ça, que j’étais rodée. On en avait souvent parlé ces jours-ci. C’est ainsi que je pus atteindre enfin le nirvana, un gode dans le cul et les doigts de ma Maîtresse sur mon clito. J’arrosais le visage de la jeune femme, toujours sous moi. Il nous a fallu de longues minutes pour nous remettre de nos orgasmes à l’une et l’autre.
Bien plus tard, direction la douche pour elle et moi, sous le regard concupiscent de notre Maîtresse. Ce n’est qu’à ce moment-là que je pus admirer le corps de déesse de ma complice. Nous nous sommes lavées l’une l’autre, caressées également. Et c’est Roselyne qui a pris la serviette pour nous sécher. J’aidais la jeune femme à se rhabiller, ne résistant pas à de petits bisous bien placés. Et elle en fit de même juste après. En se quittant, ma Maîtresse m’affirma que j’étais fin prête pour la soirée chez la Comtesse d’Orgemont, le lendemain soir.