Amélie (14/23)

Sur le carton que Charlène avait donné en personne à ses invitées, elle y avait bien précisé de prévoir un maillot, because piscine. Petit à petit, elles arrivaient, seules ou en groupe de deux ou trois. Presque trois jours sans se voir pour certaines et aussitôt, les babillages reprirent de plus belle. Je me serais crue dans une basse-cour, si ce n’était la musique de fond. C’est Corinne qui les accueillait à la porte et les guidait vers la terrasse, leur indiquant la table où poser les cadeaux pour celles qui en apportaient.

Quand les quinze jeunes filles invitées furent toutes là, elle alla se changer et apparût sur la terrasse dans un magnifique paréo fleuri, assorti à son maillot de bain deux pièces. Elle s’allongea sur un transat et se plongea dans un livre, ne s’occupant plus de nous. Francis avait fui la maison également. Trop de monde, trop de bruit, et toujours des clients à visiter.

Malgré la chaleur, personne n’osait se mettre en maillot, être la première à ôter sa robe. Je m’approchais de Charlène et je lui conseillais de quitter sa robe, maintenant. J’en fis autant, et la plupart des filles suivirent le mouvement. Charlène était ravie de mon initiative. Je retournais près d’Amélie pour qu’elle ôte sa robe également. Réticente, elle s’exécuta quand même et je pus enfin l’admirer dans son nouveau maillot. Corinne, voyant que toutes étaient en maillot, quitta son paréo et je pus vérifier que j’avais raison, elle avait un corps splendide.

Charlène fut la première dans l’eau, aussitôt suivie par ses amies. Je la voyais rayonnante, heureuse d’être si bien entourée. Je souhaitais faire plus pour elle et, comme nous n’étions qu’entre filles, juger ses amies et voir vers qui elle pourrait se tourner pour flirter, comme elle me l’avait demandé. Amélie était allongée sur une serviette, je lui dis signe de se lever et d’ôter son haut de maillot en même temps que moi. Elle me regarda horrifiée de ce que je l’obligeais à faire, puis se résigna et me fit signe à son tour qu’elle acceptait.

Je m’approchais de la piscine de façon à voir tout le monde et je lançais :

–« Allez les filles, tombez le haut » et joignant le geste à la parole, je défis mon haut de maillot, exposant ma poitrine à toutes. Je regardais ensuite Amélie qui s’exécuta également, malgré sa gêne de montrer ses gros seins, et elle entra dans l’eau pour se cacher un peu. Certaines jeunes filles en firent autant, sans pudeur aucune. Petit à petit, toutes s’exécutèrent seules deux ou trois résistaient. Puis Charlène sortit de l’eau et vint se placer près de moi.

–« Allez, on est entre amies, faites-moi plaisir et ôtez le haut » et, comme moi, joignant le geste à la parole, ôta le haut de son maillot. Notre petit jeu sembla amuser Corinne qui se leva à son tour et tomba le haut également. Ce fut le signal pour toutes les récalcitrantes et tout le monde se retrouva les seins à l’air. Tout comme à la plage ou dans les douches, après le sport à l’école.

Petit à petit, les jeux reprirent, soit le ballon, ou bien le frisbee pour d’autres. Charlène était aux anges, toutes ces petites (ou grosses) paires de seins à sa portée, pour son anniversaire. Elle s’amusait à lancer la balle trop haut pour voir les filles sauter hors de l’eau, la poitrine sautillant avec elles, et retomber dans un grand plouf. Tout le monde riait et oublia sa tenue, un peu osée pour celles qui était pudiques. Amélie la première, s’amusait comme une folle, et sa poitrine sautait dans tous les sens, pour le bonheur de certaines filles qui l’enviaient.

J’en vis même une ou deux qui s’approchèrent à toucher ses seins, en apprécier la texture. Un regard vers moi et, avec mon consentement, elle se laissa faire. Un autre jeune fille avait une poitrine assez imposante pour son âge et je la sentais gênée de se montrer ainsi. Je m’approchais d’elle, écartais ses bras pour admirer ses seins et la complimenter. Je l’assurais que tout le monde ici, moi la première, l’enviait d’avoir une si belle poitrine et que, quand on est belle, et jeune, et enviée, on doit s’en montrer fière.

Elle sembla apprécier mes paroles et sortit de l’eau. Elle nous gratifia d’un « défilé de mode » sur le bord de la piscine, les mains sur les hanches pour bien nous exposer sa poitrine magnifique. Tout le monde l’applaudit, Amélie en fit de même et fût tout aussi applaudie. D’autres filles sortirent aussi pour défilé ainsi, moins fournies côté poitrine mais tortillant leurs petits culs délicieux, une d’elles remonta même son maillot tel un string pour que l’on voit ses fesses. Puis elle sauta très vite dans l’eau, en riant de son exhibition.

Elle tomba tout près de moi, presque dans mes bras. J’en profitais pour remettre son maillot en place, les fesses étaient vraiment fermes. Très vite, les jeunes filles en vinrent aux jeux de main, à essayer de baisser le maillot de la copine, à caresser un sein. Assise sur le rebord de la piscine, je regardais tout cela, cherchant celle qui ferait le bonheur de Charlène. J’avais un petit doute sur cette jeune fille qui nous avait gratifié de cette belle exhibition.

Elle se laissait toucher les seins par les autres jeunes, se refusant par principe mais acceptant en souriant les pincements et les caresses. Par contre, elle devenait (presque) violente quand une fille touchait sa culotte pour la baisser. D’autres jeunes filles se retrouvèrent la culotte sur les genoux mais en riaient en la remettant en place. Toutes les filles étaient dans l’eau, toutes sauf une. Je me mis à observer Lucie, derrière sa console, et je remarquais qu’elle n’en perdait pas une miette. J’avais trouvé la candidate idéale pour Charlène, restait à l’amener à se découvrir.

Je fis signe à Charlène de s’approcher de moi, puis je l’invitais à demander à Lucie de se joindre à nous, dans la piscine. Elle alla la voir aussitôt et revint vers moi, dépitée. Elle lui avait répondu qu’elle était là pour la musique (bien sûr elle était payée pour sa prestation), et de plus, elle n’avait pas de maillot. D’un bond, je fus debout. J’expliquai à Charlène ce qu’elle devait lui dire, mot pour mot, et je l’accompagnais pour enfoncer le clou en cas de besoin.

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