Soumise (11/14)

Elle profita quelques instants de cette situation. Puis elle sortit légèrement pour retourner très vite en moi. Mouvement qu’elle recommença aussitôt. Elle avait compris, ses instincts primaires la guidait pour mon plus grand bonheur. Elle accéléra la cadence progressivement, accrochée à mes hanches. J’étais sexuellement comblée pour la première fois. Je comprenais à mon tour la différence entre se faire baiser et être aimée véritablement.

Mon mari, le seul homme que j’ai connu, n’a fait que me baiser toutes ces années passées à ses côtés. Il ne savait pas aimer une femme. Et dire qu’il me reprochait à moi d’être frigide, froide, sans réaction. Et c’est une jeune fille de 16 ans qui m’a fait découvrir cette différence fondamentale. Le vrai visage de l’Amour.

Mon plaisir était incommensurable à ce moment précis et je voulais absolument le partager. Avec ma fille, d’abord. Je redoublais de succions et de coups de langue sur son clito pour la faire décoller. S’envoler vers le paradis. Juste avant que je ne la rejoigne. Je pense qu’Océane a joui en même temps que nous, mais je n’en suis pas certaine. J’étais déjà ailleurs.

Il nous a fallu très longtemps pour reprendre pied, pour émerger de cet état second où l’extase nous avait plongées. Océane semblait remise bien avant Céline et moi. Elle nous proposa de continuer à l’étage, dans ma chambre. Comment voulez-vous dire non à pareille proposition ?

Je montais la première, Céline accrochée à mes hanches, Océane fermait la marche. Arrivées sur le palier, Céline se colla à mes fesses. Puis, je la sentis se raidir. Océane s’était également collée à elle et le gode frottait désormais sur ses lèvres intimes. Il parvenait parfois jusqu’à mes fesses. Une fois dans ma chambre, le sujet principal était la virginité de Céline.

Voulait-elle qu’un garçon la lui prenne, maladroitement sans doute, ou préférait-elle les services de son amie, ou bien moi ? Impossible de trancher, elle devait y réfléchir. En attendant, elle voulait continuer à jouer avec le gode, seulement c’est elle qui allait me faire l’Amour.

Je m’allongeais en travers de mon lit tandis qu’Océane équipait ma puce de son harnachement. J’aime ma fille, bien évidemment, et je suis très heureuse avec elle. Je n’aurais sans doute pas été aussi heureuse si mon bébé avait été un garçon. Contrairement à mon époux qui me l’avait très souvent reproché. Mais de la voir, ce soir, mi-homme, mi-femme, cela me fit un coup au cœur.

Et c’est en me faisant face, les yeux dans les yeux, qu’elle me pénétra lentement. Comme Océane, elle prenait tout son temps, profitant de chaque seconde, de chaque centimètre gagné. C’était un réel plaisir pour elle, comme pour moi. Océane, pendant ce temps-là, s’était installée au-dessus de ma bouche et se laissait gentiment lécher la chatte.

Elle se frottait sur mon visage, utilisant mon nez pour exciter son clito. Elle avait pris le temps de se déshabiller pour se retrouver nue, comme nous deux. Mes mains étaient disponibles pour caresser sa poitrine, elle ne se gênait pas pour malaxer mes mamelles, triturer mes tétons turgescents. Je sais bien que j’ai joui, plusieurs fois, baisée par ma fille ou sa copine.

Je me réveillais au petit jour, avec une furieuse envie de faire pipi. Mais comment faire sans les réveiller ? J’étais prisonnière de leurs corps, de leurs bras qui m’enveloppaient amoureusement. Leurs têtes, posées sur ma poitrine, qui leur offrait un magnifique coussin. Je sentais leur souffle sur mes tétons et mon corps commença à réagir.

Ma respiration s’accéléra, ma poitrine se soulevait en rythme. Mon envie de pipi s’intensifia alors que, entre mes cuisses, l’humidité augmentait en proportion du plaisir qui montait en moi. Qui m’envahissait progressivement. Il aurait sans doute suffi d’un geste, d’une caresse bien ciblée pour fondre de nouveau dans les délices de Lesbos.

Je réussis à m’extirper de leur emprise pour satisfaire un besoin plus que naturel. En revenant, je les trouvais dans les bras l’une de l’autre. Elles se caressaient, s’embrassaient. Je restais sans bouger, craignant d’être de trop. C’est Océane qui, je pense, sentit ma présence et qui me demanda d’approcher. Elle m’attira sur le lit, entre ses cuisses grandes ouvertes. Je plongeais de nouveau vers sa petite chatte odorante à souhait.

Céline s’était placée derrière moi et me léchais également la fente baveuse, caressant mes fesses. Parfois, un doigt s’égarait pour venir s’amuser avec mon petit trou. Devant mon peu de réticences, elle s’enhardit un peu plus et finit par pénétrer mon petit trou. Un doigt, puis un second, s’acharnaient à pénétrer mes entrailles, forçant l’ouverture.

Je ne sentis plus rien pendant quelques instants, je me concentrais donc sur ma jeune maîtresse qui n’allait certainement pas tarder à jouir de nouveau. Puis, quelque chose effleura mon cul. Plus gros que son doigt, même deux.

C’est seulement quand elle posa le gland sur ma rondelle et qu’elle commença à entrer que je compris. Ma fille chérie, mon bébé, était tout simplement en train de m’enculer. C’était tellement surprenant, ahurissant, que je me laissais faire, presque impassible. Pourtant, les sensations étaient bien là et me prenaient les tripes. J’étais incapable de continuer à butiner la chatte d’Océane, trop absorbée par le plaisir qu’elle faisait naître en moi.

Une fois bien entrée à fond, elle sortit doucement. Pour revenir très vite. Il ne lui a fallu que quelques va et viens pour que l’orgasme m’envahisse complètement. Je restais effondrée sur le lit, prostrée par le plaisir reçu. Océane attira Céline vers elle pour lui ôter le gode ceinture. Et, à quelques centimètres de mes yeux, elles se placèrent face à face, chatte contre chatte, de frottant l’une contre l’autre.

Jusqu’à la jouissance. Nous sommes restées dans ma chambre jusqu’en milieu de matinée. Elles ont l’une et l’autre bien profité de mon corps qu’elles ont utilisé à leur guise. Et moi, de même. Pendant une courte pause, j’ai réussi à avouer aux deux filles que c’était la première fois que j’étais prise dans mon petit trou. C’était une pratique que j’avais toujours refusée à mon mari.

Et je ne regrettais absolument pas ce choix. J’étais littéralement comblée que ce soit Céline, ma propre fille, qui me fasse découvrir ce nouveau plaisir. Après cette confession, où j’avouais avoir adoré ça, Océane, la première, puis Céline, ne se sont nullement gênées pour m’enculer chacune leur tour. De grands moments d’extase passés avec elles.

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