Un matin, je suis allée courir dans le parc, comme tous les dimanches. Devant moi, je remarque une jeune fille, à peine vingt ans, qui semblait avoir du mal à récupérer. Elle s’est arrêtée et appuyée contre un arbre, je suis allée voir si tout allait bien.
Elle n’a rien dit mais m’a regardé droit dans les yeux.
Ohhhhhhhh, ce regard. Je le connais si bien.
J’ai posé mes lèvres sur sa bouche et je lui ai roulé une pelle mémorable. Puis je l’ai poussée de l’autre côté de l’arbre pour être un peu cachées et j’ai glissé ma main dans son leggings. Elle était déjà toute humide.
Je l’ai caressée un moment puis l’ai forcée à me rendre la pareille mais avec sa langue. Elle s’est exécutée docilement et j’ai joui dans sa bouche. Elle a tout avalé et m’a bien léchée ensuite. Du monde arrivait donc on a dû se rhabiller. Mais on se reverra sur le parcours.
Rendez-vous est pris.
Cette histoire m’est arrivée il y a quelque temps et je vous la rapporte telle qu’elle m’est arrivée. En voici la suite.
Ce matin, comme tous les dimanches, je courais sur le même parcours quand, au loin, je reconnais Katia, la jeune fille qui avait si bien su me donner du plaisir. Je me dirige vers elle et je la vois disparaitre dans un buisson, hors du parcours habituel.
Je la suis dans ce buisson et je me retrouve agrippée par deux paires de mains, dont une main qui me bâillonne pour m’empêcher de crier, et qui m’allongent sur une couverture, placée là intentionnellement. Une fois allongée et bloquée dans tous mes mouvements, j’aperçois Katia. C’est elle qui me bloque les chevilles en étant assise dessus.
Et elle me sourit. Les deux autres filles, des amies à elle, Isabelle et Séverine caressent mon corps, offert à leurs mains curieuses. L’une d’elles est à genoux sur mes bras écartés et la chatte à portée de ma bouche. Je sens son odeur à travers le legging. Hummmmm. Ainsi positionnée, elle remonte mon maillot pour découvrir ma poitrine, et titiller mes tétons. Qui n’en demandaient pas tant.
Hyper sensible à cet endroit précis, je me mets immédiatement à « pointer », ce qui les fait bien rigoler.
La seconde s’occupe de baisser mon leggings, et ma culotte avec, et très vite, sa bouche vient remplacer ses doigts inquisiteurs. Les lèvres voluptueuses enveloppent mes lèvres intimes, les aspirent doucement. La langue vient tapoter sur mon clito qui fait son apparition. Aussitôt, elle le gobe et l’aspire, faisant naître en moi le désir qu’elles continuent, encore et encore.
Je ne me débats plus à présent, et Katia lâche mes chevilles pour venir s’occuper de mes tétons. Sa bouche est chaude et sa langue experte me tire des frissons de bonheur. Séverine vient prendre la place d’Isabelle qui souhaite profiter de ma chatte aussi. Je suis vraiment heureuse du changement car elle, elle porte une jupette sexy et un string dessous. Directement en contact avec ma bouche, lol. J’en profite aussitôt. D’un coup de langue, j’écarte le tissu et ma langue atteint enfin la chatte humide de ma « tortionnaire ».
Mes mains ne sont pas en reste. Katia a glissé de force ma main gauche dans son leggings et je retrouve cette petite chatte que j’avais déjà caressée ainsi. Ma main droite caressait le postérieur d’Isabelle qui, en voulant plus, a baissé son leggings elle aussi pour me laisser caresser sa fente humide.
Nous devions former un fameux tableau, toutes les quatre, à moitié nues pour certaines.
Katia, la plus jeune, et la plus excitée par cette situation, fut la première à jouir entre mes doigts. Puis ce fut le tour de Séverine, de jouir dans ma bouche. Heureuse de ce cadeau, j’avalais tout, bien obligée. Isabelle et moi jouirent pratiquement en même temps, dans un souffle.
Une fois remises de nos émotions, elles m’aidèrent à me rhabiller et vint le temps des présentations. Katia donc, la coquine qui m’avait repérée la première fois, et qui, pour se « venger », avait fait appel à deux de ses amies, ensemble en BTS Comptabilité, Isabelle et Séverine.
Katia se disait hétéro mais avait eu une envie folle en me voyant. Sans doute des tendances bi. Ses amies étaient 100 % hétéro mais avait trouvé amusante l’idée de leur amie, et n’avaient pas regretté l’expérience. Peut-être des bi en puissance. En tout cas, on a échangé nos téléphones en se promettant de se revoir très vite.
Par expérience, je sais que j’aurais très vite des nouvelles de Katia. Il ne lui a fallu qu’une semaine pour être en manque et venir sonner chez moi. Quand j’ai ouvert la porte, je l’ai trouvée avec le regard suppliant que je la fasse de nouveau frémir. J’étais OK pour ça, mais à mes conditions. Je la fis entrer et immédiatement je la plaquais face contre le mur.
Je colle mes seins contre son dos et entoure sa taille de mes bras. Ma bouche vient embrasser délicatement la peau de son cou, totalement offert. Elle sent bon, mes baisers la font frissonner et pousser son fessier contre mon pubis. Son corps chaud affole mes sens mais j’essaie de rester stoïque.
Ma main gauche s’est glissée sous son débardeur pour prendre en coupe son sein libre de tout soutif. Son souffle s’accélère quand mes doigts triturent, pincent et tirent sur son téton qui durcit. Ma bouche remonte lentement et sa gorge laisse échapper de légères plaintes quand je m’empare du lobe de son oreille pour le mordiller tendrement. Le sucer aussi. Elle s’abandonne entièrement à moi.
Mon autre main descend de son ventre vers l’objet de mes désirs, pénètre sous les leggings, caresse la culotte pour sentir les poils doux qui annoncent la proximité de sa féminité. Je caresse sa chatte par des mouvements circulaires afin de la faire languir un peu plus. Puis, j’appuie légèrement la paume de ma main sur son pubis, empaume son sexe et passe mon majeur sur les lèvres de haut en bas pour les écarter.
Sans que je lui demande, elle écarte les jambes et les fléchit légèrement pour me donner libre accès à son intimité. Ma main est passée sous la culotte et c’est maintenant deux doigts qui caressent ses lèvres, découvrant la chaleur et la moiteur de son vagin. Elle accompagne par un mouvement de bassin l’exploration de mes doigts inquisiteurs.
À peine entrés en elle, je les ressors pour les porter à ma bouche, les lécher, avant de les replonger dans son puits d’amour. Je recommence plusieurs fois et malicieusement, je porte également mes doigts trempés vers ses lèvres qu’elle ne refuse pas d’ouvrir pour gouter à son nectar.
Nettoyés et mouillés de sa propre salive, je les remets dans sa culotte, pour les faire glisser doucement sur son clito que je frotte en cercle, tandis que mon autre main s’occupe toujours de ses seins. Sa respiration est de plus en plus saccadée, haletante. Parfois, un gémissement s’échappe de sa gorge.
Je ressens pleinement cette jouissance qui grandit en elle par vagues successives. Je sens son corps prêt à s’embraser, à succomber sous les caresses de mes doigts sur son clito que je branle de plus en plus intensément. Je coule également, presqu’autant que ma jeune victime, je me sais aussi trempée qu’elle. Elle a envie de jouir, elle va jouir très bientôt. Moi également.
Elle rejette sa tête en arrière, sur mon épaule, tentant de reprendre son souffle, jusqu’à ce qu’un spasme puissant finisse par tendre son corps. Simultanément, son orgasme l’emporte, accompagné d’un râle libérateur qu’elle tente d’étouffer en portant son poing à sa bouche. Des contractions violentes la secouent, m’obligeant à la soutenir de mon bras libre, car ses jambes se dérobent sous le poids de la jouissance.
Un ultime tressaillement la raidit, puis la tension qui l’habitait disparait petit à petit. Elle s’affaisse sur elle-même, vidée de toute énergie.
« Oh mon dieu » finit-elle par murmurer.
Elle finit par se tourner vers moi, adossée au mur. Ses grands yeux noisette brillent d’une lueur coquine. Un sourire malicieux s’affiche sur son visage, qui en dit long sur la suite de la soirée.