La mouille commençait à couler le long de ses cuisses légèrement écartées. Si j’avais ôté son string, c’était pour une bonne raison. Je voulais la voir, équipée d’un gode ceinture en train de réellement baiser sa belle-mère. Elle ne fit aucune difficulté lorsque je mettais les lanières en place. Je doigtais Céline pour récolter suffisamment de mouille et préparer le gode qui allait la remplir. Il était un peu plus gros que celui qui allait et venait en ce moment au creux de son intimité. Je stoppais une nouvelle fois la main de la jeune fille qui se trouva étonnée de voir un « pénis » qui dépassait de sa minijupe. Je me relevais pour me positionner derrière elle et je la plaçais en position pour reprendre la baise qu’elle venait d’interrompre. Elle ne semblait pas vraiment vouloir aller aussi loin. Mais elle se laissa guider tout de même. Je guidais moi-même le gros gode sur les lèvres dégoulinantes de Céline. Avant de le positionner juste à l’entrée de sa chatte. Tout le monde semblait avoir cessé de respirer, de bouger. Marie-Rose tenait fermement la tête de Céline entre ses cuisses, ce n’était surtout pas le moment qu’elle se retourne. Céline attendait patiemment que le gode la perfore enfin. Dans un grand souffle, Josiane se baissa légèrement en pénétrant profondément la chatte qui lui était offerte. La demoiselle n’était pas habituée à ce genre d’exercice, évidemment, mais elle trouva une bonne cadence pour baiser copieusement celle qui avait remplacé sa mère.
J’avais repris ma place sur le canapé pour les observer. Je décidais de jouer moi aussi et j’agrippais les seins merveilleux de Céline qui pendaient sous elle, balancés par les coups de butoir qu’elle recevait. Il lui fallut tout de même près de cinq minutes pour se rendre compte que, désormais, trois paires de mains étaient sur son corps. Marie-Rose sur sa tête, moi, sur ses seins et Josiane sur ses hanches pour bien la posséder. Trois femmes étaient donc présentes. D’ailleurs, même si un homme s’était glissé dans leur trio, elle n’aurait pas été contre. Un léger moment d’inattention de la part de Marie-Rose et Céline put enfin voir … Sa fille qui était en train de la défoncer.
« Oh non. Pas ça. » Fut sa seule réaction.
Elle était incapable de repousser la jeune fille qui la baisait si intensément. Ce n’était certainement pas le moment pour penser aux conséquences. J’avais repris le petit gode pour exciter son petit trou. Josiane me regardait bizarrement, ne croyant sans doute pas ce que j’allais lui demander. Mais elle s’est laissée guider lorsque j’ai placé le gland de son gros gode sur l’anus de Céline. Elle a pris beaucoup de précaution pour la pénétrer à fond, ne pouvant croire que c’était possible. Et pourtant, elle était intégralement entrée dans le cul de sa belle-mère. Céline avait relevé la tête que Marie-Rose maintenait en la tenant par les cheveux. Je continuais à martyriser ses seins qui pendaient sous elle. Elle a fini par s’écrouler sur le sol, vaincue finalement par un orgasme foudroyant. Dégagée de sa belle-mère, Josiane trouva une place sur le canapé. Mais pas près de moi. Sur moi ! Elle tentait désespérément de reprendre son souffle après la cavalcade effrénée qu’elle venait de faire subir à Céline. Elle avait gardé le gode ceinture et avait les cuisses largement ouvertes. Je fis passer son petit haut par-dessus sa tête et elle se retrouva pratiquement nue. Elle n’avait gardé que sa minijupe.
Je profitais de la situation pour peloter ses seins appétissants. Elle ronronnait sur moi, tourna la tête vers la mienne et je déposais enfin un tendre baiser sur ses lèvres entrouvertes. Céline avait retrouvé ses esprits et s’était glissée entre les jambes de Josiane. Du regard, elle semblait demander son pardon, et autre chose. Elle posait très souvent ses yeux sur le gode qui l’avait si bien baisée. Comme si elle voulait le lécher, le nettoyer, avant qu’il ne la prenne à nouveau. Josiane avait fini par remarquer son manège et elle se redressa, gardant toujours les jambes bien écartées. Avec une force incroyable, je l’ai vue saisir les oreilles de Céline, en tirant ses cheveux en même temps. Avec un dégoût bien réel, elle lui cracha ces quelques mots au visage.
« Tu es une grosse salope. Je le sais. Et depuis longtemps. Je t’ai déjà aperçue avec tes différents amants. Si je n’ai rien dit jusqu’à présent, c’était pour préserver mon père. Oui, oui. Tu as bien compris. Je t’ai vue, avec le maitre-nageur, il y a quelques temps. Et plusieurs fois avec Marie-Rose et Lauryn. »
« Et aujourd’hui, j’ai pu tester à quel point tu étais servile. Soumise. Je ne veux pas faire de la peine à mon papa que j’adore. Je me vengerais donc sur toi. Tu feras désormais TOUT ce que je te dirais de faire, sans discuter. Sinon, ce sera le divorce, à tes torts, évidemment. J’ai quelques photos et vidéos de tes exploits passés. Et je sais être très convaincante. Accepte-tu ton nouveau rôle de soumise ? »
Céline baissa les yeux, vaincue par toutes ces révélations. Elle savait évidemment qu’elle n’avait pas le choix. Accepter ou quitter cette vie de rêve. Soumise ? Elle l’avait été avec ses amants précédents. Avec Marie-Rose aussi. Ce n’était donc qu’un changement de Maîtresse. Mais obéir à une jeune fille, qu’elle avait élevée …
« Au final, tu n’as pas vraiment le choix. Tu l’as bien compris ? »
» Oui, Madame. Je ferais TOUT ce que Madame voudra. »
Josiane jubilait intérieurement et je la sentais très excitée. Elle approcha le visage de Céline du gode encore trempé de ses sécrétions et força sa belle-mère à le nettoyer. Sur son ordre, elle l’aida à l’enlever et Josiane força de nouveau la tête de Céline entre ses cuisses, directement sur sa chatte. Marie-Rose avait récupéré le gode ceinture et venait de s’équiper. Sans prévenir, elle prit possession de la chatte offerte de la nouvelle soumise. Josiane tenait toujours fermement la tête de Céline entre ses cuisses et se laissa porter par l’orgasme qui la submergea totalement. D’ailleurs, Céline avait cessé de la lécher, trop fortement labourée par une Marie-Rose infernale.