Émeline soumise (06/12)

J’étais vraiment très heureuse de la revoir, j’ignorais qu’elle était devenue une sportive accomplie, la leader de son équipe. C’est également ce jour-là que j’ai rencontré JR, leur ami à toutes les deux. Notre ami maintenant, car j’ai été acceptée dans leur petit cercle d’amitié. JR était impressionnant par sa taille mais, dès qu’on le connaissait un peu mieux, c’était un enfant, un cœur sensible et doux. C’est dans ce cercle d’amis que j’ai connu mes premiers émois amoureux. Il est vrai qu’au début, je voulais tout faire pour être acceptée, faire plaisir à Océane, et à Céline, et donc à JR également. Mais très vite, je me suis rendu compte que c’est à moi-même que cela donnait le plus de plaisir. Comme pendant l’épreuve de la pharmacie. Je voyais JR indécis et j’ai pris l’initiative de demander une boite de préservatifs à la préparatrice. Et surtout, j’avais osé lui demander une grande taille car mon petit copain était bien doté par la nature. J’ai regretté, c’est vrai, de ne pas avoir pu assister aux essayages. Mais JR était si heureux en sortant que cela valait le coup d’œil. J’avais compris évidemment qu’il était encore vierge, tout comme moi. Il était naturel que je pense à lui pour devenir femme, qu’il soit mon premier, celui que l’on n’oublie pas. Et aujourd’hui, c’était le grand jour, pour lui comme pour moi. Océane avait décidé que cela se ferait chez Céline, plus pratique pour tous. Je craignais évidemment de revoir Florence car je savais par Céline qu’elles m’en voulaient toutes les deux. J’avais expliqué à Céline et à Océane que Marc, le papa de Céline, je n’ai jamais réussi à l’appeler « papa », il nous avait utilisées, ma mère et moi. Ma mère était devenue son jouet sexuel et moi, il espérait que j’attirerais Céline chez lui, loin de Florence qu’il venait de quitter. Il a utilisé ma mère pour la laisser tomber comme un linge sale, il y a déjà six mois. Il avait, semble-t-il, trouvé une nouvelle conquête, plus jeune, plus malléable. J’avais espéré que Céline lui aurait tout expliqué mais cela ne semblait pas être le cas. Je l’avais lu dans ses yeux lorsqu’elle m’a aperçue. Il faudra que je parle sérieusement avec elles deux.

C’est Océane qui donna le top départ en poussant légèrement Céline vers les escaliers, et donc sa chambre. Je suivais évidemment le mouvement, après un dernier regard attristé vers Florence qui ne comprenait vraiment pas ma présence ici, chez elle. JR resta quelques secondes supplémentaires, toujours attiré par les cuisses légèrement dénudées de Florence. J’avais moi aussi remarqué sa main entre ses cuisses quand nous sommes arrivés. Elle l’avait ôtée en me voyant mais ses cuisses restaient largement visibles. On ne voyait pas sa culotte, bien sûr, mais l’imagination de JR faisait le reste. Il nous avoua, un peu plus tard, qu’il adorait le style de femme que représentait Florence, une femme mûre, avec une poitrine voluptueuse. Il me rattrapa dans les escaliers et resta tout près de moi. Puis, on pénétra enfin dans cette chambre que j’avais bien connue. Plus aucune photo de moi, ni de son père. Mais JR n’était pas là pour apprécier la décoration, il était là pour moi, et moi pour lui. Il me prend par la taille pour m’embrasser. Son baiser est passionné, presque violent. J’avais déjà embrassé des garçons avant lui, mais là, c’était différent. Ses mains se déplacent sur mon dos, je suis collée à sa poitrine et je sens son excitation qui se presse contre mon pubis. Mes fesses sont prises à pleines mains. Il les caresse tendrement. Nos bouches sont soudées, seules nos langues se mêlent dans une danse infernale.

Il se décide à me retourner pour avoir un meilleur accès à ma poitrine. Ses grandes mains sur mes petits seins sont impressionnantes. Maintenant, je me retrouve avec sa virilité entre mes fesses. Il est très dur, et très gros apparemment, mais je n’ai pas peur, pas encore. Sur un signe d’Océane, c’est Céline qui défait la ceinture de ma jupe qui glisse immédiatement sur le sol, très vite rejointe par mon tee-shirt. JR lâcha mes seins quelques secondes pour dégrafer mon soutien-gorge et il les a repris aussitôt dans le creux de ses paumes. Il joue avec mes tétons et c’est divin. Céline finit par descendre ma culotte, me voici entièrement nue devant eux. JR ôta lui-même son tee-shirt mais c’est Océane qui défit son pantalon et qui tira sur son slip. Je frétille d’envie sous ses caresses, je me tortille dans tous les sens. Il me lèche dans le cou tout en continuant à tenir mes globes. Une fois, il passe gentiment ses doigts sur mes tétons érigés, il fait le tour de mes mamelons. La fois suivante, il les malaxe et tire dessus. Puis il recommence tendrement. J’ai les jambes qui tremblent, je ne sais plus où donner de la tête entre ces deux sensations contradictoires que je ressens intérieurement. Une douce chaleur semble prendre place dans mon bas-ventre. Je mouille et je gémis doucement. Je sens sa queue qui grossit entre mes cuisses, remonte lentement, frémit tendrement.

Il me retourne face à lui et appuie légèrement sur mes épaules, le message est clair. Je me laisse tomber à genoux sans cesser de le regarder, droit dans les yeux. Une main vient sous mon menton pour lever un peu plus mon visage vers lui. Je n’ose même pas penser à l’image que je donne en ce moment, dans cette position. Mais personne n’est là pour me juger. Son sexe vient naturellement se poser sur ma joue. Je me penche dessus, comme je le ferais avec une main qui viendrait caresser ma joue. Mes lèvres parcourent timidement toute sa longueur. On pourrait croire que c’est ma première fellation. Mais non. La première avant un acte désiré, oui. Du bout de la langue, je le goûte. Je passe sur son gland après l’avoir décalotté. J’appuie légèrement sur sa fente, il a un goût légèrement salé. Je le prends en bouche, ma langue tourne autour de ce mat. Je pompe, l’aspirant le plus possible. Je ferme les yeux pour me concentrer sur mes mouvements et sur les vibrations émises par ce membre. Je reviens un peu à la réalité lorsque sa main vient de nouveau caresser ma joue. J’ouvre les yeux quand je le sens me prendre sous les bras pour me lever. Je suis obligée de laisser ce jouet s’échapper de ma bouche. Il me porte délicatement jusqu’au lit où il m’allonge.

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