« Et aussi pour avoir inciter les deux femmes à faire comme toi. Elles sont magnifiques, toutes les deux, non ? »
Effectivement, elles étaient splendides, debout au bord de l’eau, discutant l’une avec l’autre. Aucune n’avait pensé à remettre son maillot en place. Elles exhibaient leurs merveilleuses poitrines à qui voulait bien regarder. Dany était déjà trop loin pour que je puisse le rejoindre. Je suis restée à nager avec Gilles tout près de moi. Melody a plongé pour tenter, et réussir, à rejoindre Dany au moment où il atteignait un ponton éloigné. Ils sont montés dessus pour s’allonger, se reposer un peu et discuter. Océane m’attendait pour regagner notre emplacement et les deux filles qui étaient déjà allongées, en train de bronzer. Quand j’ai voulu remettre mon haut de maillot, Clara m’a demandé de rester la poitrine découverte. J’ai accepté à la condition que, elles-mêmes, en fassent autant. Elles se sont regardées avant d’ôter le haut, en même temps. Gilles est revenu après un bon moment et il m’a de nouveau souri en me désignant les deux jeunes filles, torse nu. Nous avons attendu que Melody et Dany reviennent pour commencer à pique-niquer. Après le repas, deux bonnes heures de repos, de bronzage. Ce sont les deux filles qui m’ont proposé de remettre de la protection solaire et je les ai laissées faire. Après s’être occupées de moi, elles se badigeonnèrent l’une l’autre pour se protéger à leur tour. Je voyais, parfois, des personnes qui s’arrêtaient non loin de nous. De moi. Et qui observaient. Qui mataient mes gros seins exposés à leurs regards. Des hommes, principalement, et de jeunes garçons de mon âge, ou bien un peu plus âgés. Je ne tentais aucunement à me soustraire à leurs envies. Ils ne faisaient rien de mal à regarder. À fantasmer. Et je dois dire que ça me faisait quelque chose, moi aussi, de sentir ces regards attendris sur mes gros seins.
Beaucoup plus tard, lorsque la chaleur devint intenable, nous sommes retournés dans l’eau tous ensemble. J’ai pu nager auprès de mon cousin, laissant les deux filles un peu derrière nous. Je savais que je n’avais pas pied où nous étions mais j’étais entièrement rassurée, Dany était tout près de moi. Je suis retournée vers la plage tandis qu’il regagnait le ponton. Melody le suivit, le rattrapa même avant qu’il n’arrive. Je l’ai vue, penchée en avant pour l’aider à se hisser sur la plateforme. J’étais trop loin pour voir ce qu’ils faisaient exactement, et pour entendre ce qu’ils se disaient. Gilles et Océane nageaient l’un à côté de l’autre. Sa femme n’était pas là, près de lui, mais il avait sa copie conforme. Il y avait énormément de monde dans l’eau, autour de nous trois. Mais je remarquais que, finalement, personne ne nous regardait vraiment. Quand Clara reprit ses caresses sur mes seins, accompagnée aussitôt après par Flora, je regardais rapidement autour de moi mais personne ne faisait attention à nous. Je les laissais donc jouer à leur guise avec ma poitrine. J’étais si bien que je fermais les yeux pour profiter de ce moment de tendresse. Je les ouvrais quand je sentis que l’on nous observait. Je regardais autour de moi pour apercevoir une femme qui me fixait avec insistance. Elle n’avait pas un regard réprobateur, comme j’aurais pu l’imaginer. Elle semblait juste attendrie par la vision des deux filles jouant avec moi. Clara glissa sa main sous mon maillot, au niveau des fesses. Je n’étais pas du tout consentante pour ça et je regagnais ma serviette. Les deux filles restèrent un peu plus dans l’eau avant de me rejoindre.
Entretemps, j’avais vu que la femme qui m’observait était, elle aussi, sortie de l’eau. Elle était passée tout près de moi, pour admirer mes seins, je suppose, avant d’aller s’asseoir à sa place. Elle avait, semble-t-il, loué un des transats disponibles sur la plage. Quand je regardais dans sa direction, j’aperçus, à quelques mètres derrière elle, la buvette de la plage où l’on pouvait trouver boissons rafraîchissantes et des glaces. Quand les filles furent revenues, je patientais un moment avant de leur proposer une glace italienne. Je leur demandais quel parfum elles voulaient avant de me diriger vers la buvette. Évidemment, je passais fatalement tout près de la femme qui ne loupa pas une miette du spectacle de mes seins, libres et brillants de sueur. J’attendais patiemment pour passer ma commande mais, au moment de payer pour les trois glaces, elle était derrière moi et elle régla le total. Plus une pour elle. Je la remerciais et elle me suivit jusqu’à ma serviette. Je tendis leurs glaces aux deux filles, leur demandant de remercier celle qui les offrait. Clara se leva promptement et déposa une serviette pour qu’elle puisse s’asseoir elle aussi auprès de nous. Quand Flora lui dit « Merci Madame », elle se présenta.
« Pas de Madame. Viviane. »
« Merci Viviane. » ont entonné en chœur les deux filles. Je la remerciais à mon tour et nous avons commencé à discuter. Surtout elle et moi. Elle m’apprit qu’elle habitait Saint-Brieuc, pas très loin d’ici, et qu’elle possédait également une maison, pas très loin de cette plage. Elle était dentiste de profession, libérale, possédant son propre cabinet. Les deux jeunes filles firent une moue dégoutée en apprenant cela. Il est vrai que cette profession n’est pas toujours appréciée. Mais, quand vous avez vraiment besoin d’un professionnel, tout le monde regrette d’avoir à attendre un rendez-vous immédiat. Par jeu, Viviane approcha sa main de la bouche de Clara, puis de Flora. La même réaction pour les deux, elles maintinrent leurs bouches fermées, ostensiblement, refusant tout contact. Elle en fit de même avec moi. Elle posa son pouce sur mon menton, son index recourbé juste dessous, et j’ouvrais la bouche à sa demande. Elle « m’ausculta » très brièvement, affirmant que j’avais une parfaite dentition. Je sentais presque des regrets dans sa voix, jamais je ne serais sa patiente. Elle baissa sa main et, l’a-t-elle fait exprès ? Elle frôla mon téton du dos de sa main. Derrière ses verres teintés, je savais pertinemment que c’était ma poitrine qui l’attirait.