– Ouiii ! Ouiiii ! Encore ! Plus fort ! Défonce mon cul salaud ! AAAaaaaahhhhh … Putain !
Je tombe à plat ventre sur le lit, le corps tétanisé et je sens qu’il tente de se retirer de mon cul. Je contracte mes muscles fessiers et je crie.
– NON ! Reste dans mon cul ! Jouis Tonton ! Jouis dans mon cul ! Fourre-moi comme une salope et remplis-moi de ton foutre chaud !
Je sens Tonton qui m’attrape par le dessous de mes cuisses pour me plaquer fortement contre lui et il pousse un grognement d’ours en chaleur pour jouir dans mon cul dévasté avec de grosses giclées de foutre chaud. J’ai vraiment l’impression qu’il remplit complétement ma cavité anale.
– Oooohhh ouiiiii ! Je te sens merveilleusement !
Quand il a fini de vider entièrement ses couilles, il s’écroule sur moi en gémissant et sa bite se ramollit pour finalement sortir de mon trou du cul. Il me serre dans ses bras pour embrasser mon corps en sueur et une de ses mains recueille son sperme qui coule hors de mon cul pour masser mon ventre et mon pubis avec. Je suis dans un état second, hors du temps présent, heureuse et comblée, saturée de plaisir, repue … Et je m’endors dans ses bras. Après avoir utilisé mon corps pour son plaisir, et le mien également, il m’a enseigné comment faire durer l’érection, savoir arrêter au bon moment, diverses techniques de massage. Pour finir par le body-massage, recouverts l’un et l’autre d’huile d’olive vierge. Après mon baccalauréat, mes études universitaires ne me permettaient pas d’aller en Sardaigne aussi souvent que je le voulais. Jusqu’à ce que je rencontre Jenny et que je me découvre une passion pour les autres filles, nous avons continué à nous voir, secrètement, et à baiser sauvagement. Il est, encore aujourd’hui, le seul homme à m’avoir faite jouir aussi puissamment.
Désormais, il vit en concubinage avec Rosaria. Elle est heureuse avec lui et accepte même qu’il ait d’autres aventures. Parfois même, elle en profite. Giulietta passe les voir, de temps en temps, et tout le monde vit en harmonie. Carrie s’est très vite intégrée au sein de l’équipe de « Fée du Logis ». Les autres filles l’ont bien aidée, il faut dire. Surtout Vanessa. Elle l’a prise sous son aile comme une petite sœur. Carrie est consciencieuse, et travailleuse, mais elle ne pouvait accepter que les hommes la touchent. Ils pouvaient regarder, sentir. Imaginer. Plus tard, mise en confiance, elle accepta de les caresser, les branler, avant de les nettoyer. Tout le monde y trouvait son compte. Par contre, elle avait tout de suite adoré le concept, faire le ménage dans des tenues sexy, affriolantes. Sa tenue favorite, c’était sous-vêtements noirs, bas autofixants noirs, et une nuisette noire aussi mais pratiquement transparente. Elle était vraiment à croquer dans cette tenue que même moi, j’avais du mal à me retenir de lui sauter dessus.
Septembre. Cela est aussi signe de rentrée scolaire, dans les collèges, les lycées, les écoles privées. Tous les élèves, ou presque, utilisaient les transports en commun, bus ou tram. J’avais pris l’habitude de me faufiler dans les groupes de jeunes filles, vers midi, ou bien le soir, après la sortie des cours. Pressées de rentrer chez elles, elles acceptaient le fait d’être serrées, bousculées un peu. Je jouais à me serrer à elles, choisissant ma proie. Je devins bientôt experte et mes choix furent plus que judicieux. Les soubresauts du bus m’obligeaient parfois à m’accrocher à une épaule, une hanche. Un regard pour m’excuser mais ma main restait en place. Je savais, si je ne sentais aucun refus, que j’avais bien choisi. Je dois vous avouer que j’ai eu des remarques, parfois, mais dans l’ensemble, je tombais très souvent sur des curieuses, des coquines qui s’ignorent encore. C’était mon devoir de les aider à se découvrir elles-mêmes. Une mission divine, diraient les Blues Brothers. C’était bien évidemment pour mon plaisir d’abord, le leur ensuite. Prenons un exemple. J’attends à l’arrêt du bus et je repère un groupe de quatre filles qui arrivent. L’une d’elles parle sans arrêt, et très fort, c’est une meneuse. Les autres écoutent, certaines rigolent, surenchérissent. Une seule écoute sans participer, quand elle veut dire un mot, elle est coupée, systématiquement. Elle en a l’habitude et elle s’en accommode.
C’est elle qui sera ma proie. Je m’arrange pour me coller à elle quand elle monte dans le bus et reste tout près d’elle. Je pose ma main juste au-dessus de la sienne sur la barre de maintien. Nos mains se touchent, elle baisse la sienne. Je descends aussi, elle finit par accepter le contact, après s’être retournée. Un léger mouvement de foule et je suis collée à elle. Des gens descendent, d’autres montent. Le bus redémarre et je pose ma seconde main sur sa hanche, pour me retenir. Je laisse ma main, elle accepte aussi ce contact. Sa respiration s’accélère un peu. Cette fois, c’est elle qui fait un mouvement et ma main se trouve sur son ventre. Elle ramène son sac devant ma main pour la cacher. Le bus freine un peu violemment, elle écarte les jambes pour ne pas tomber. Ma main prend cela comme une invitation et descend plus bas. Je sens l’élastique de la culotte, je descends encore un peu. Elle respire vraiment plus fort maintenant mais je sens qu’elle se colle à moi. Elle en veut plus. Ses copines continuent à discuter entre elles, sans se préoccuper d’elle. Elles ne réagissent qu’une fois arrivées à leur arrêt. Ma nouvelle amie murmure une vague excuse et se serre contre moi. Nous voilà seules, au milieu d’une foule de gens, seules dans notre monde. Ma main est maintenant entre ses cuisses ouvertes et je relève doucement sa jupe pour atteindre la culotte qui sera trempée, j’en suis persuadée. Son sac empêche les autres de voir ce qui se passe entre nous. Mais même sans cela, elle ne verrait pas le regard des autres, plongée dans son plaisir.