Corinne, assise à la droite d’Helen me raconta l’histoire du parking. Vu qu’elles étaient placées de la même manière que dans l’habitacle, je leur demandais de mimer la scène. Corinne envoya donc sa main droite entre les cuisses d’Helen qui les écarta aussitôt, tout en faisant semblant de conduire. Avant que l’orgasme ne la prive de tous ses moyens, elle mima le stationnement sur l’aire de repos, avant de s’abandonner totalement. Je la laissais reprendre ses esprits avant de continuer le jeu de rôles. J’allais jouer les deux voyeurs, à la différence près qu’elles auraient ouvert les fenêtres et donc les voyeurs pouvaient-ils aussi les caresser. Je m’approchais d’abord de Corinne et rentrais mes mains dans son décolleté et la pelotais à pleines mains. Elle semblait apprécier le traitement et se défendait ma foi fort peu. Puis, je me déplaçais du côté d’Helen pour la peloter à son tour. Je glissais une main inquisitrice entre ses cuisses toujours grandes ouvertes. Elle était trempée, la coquine. La laissant complètement débraillée, je retournais près de Corinne pour fouiller aussi sous sa robe. Quel beau spectacle elles m’offraient !!! Les deux femmes étaient alanguies sur le sofa, le regard dans le vide, la tête en arrière, la poitrine sortie des balconnets et la robe retroussée à la taille sur des cuisses grandes ouvertes. C’est précisément ainsi qu’Amélie les trouva en rentrant après ses cours. Elle savait évidemment qu’elles devaient venir à Rennes et la raison de leur venue. Mais jamais elle n’aurait imaginé les trouver ainsi. Elles se doigtaient mutuellement, doucement. Pour pouvoir éclater ensemble de plaisir. Je lui expliquais succinctement l’histoire du parking et lui donnais les consignes pour la suite. Elle approuva en hochant de la tête.
« Une voiture de gendarmerie arrive et met en fuite les deux voyeurs. »
« Major Amélie, allez donc interroger la conductrice, je m’occupe de la passagère. »
« À vos ordres, Lieutenant Stéphanie « .
Suivant les consignes que je lui avais donné, elle ôta ses chaussons et monta sur le sofa, releva sa robe pour plaquer la bouche d’Helen sur sa chatte. J’en faisais autant avec Corinne, bien évidemment. Et les deux femmes nous dévorèrent avec délices, n’hésitant pas à glisser un de leurs doigts dans nos petits culs. À l’instant suprême, un dernier ordre :
« Major Amélie, donnez-moi votre bouche « .
Et nous avons joui longuement sous les caresses des deux femmes qui étaient insatiables. Elles nous relâchèrent une fois bien nettoyées. Juste un coup d’œil à Amélie et elle avait compris. On se mit accroupies entre les cuisses restées ouvertes. Avant de plonger sur cette chatte offerte, je demandais à Amélie si elle voulait changer de place. J’ai très bien senti Corinne frémir en entendant ma proposition. Mais Amélie déclina, trop tôt pour elle, encore. Et ce fut notre tour de les faire se tordre de plaisir. Quelle joie de les voir hurler leur jouissance ! Le calme après la tempête. Corinne demanda à prendre une douche et Amélie l’emmena à la salle de bains. Elle lui donna une serviette propre et resta là, regardant sa mère se laver pour la première fois.
« Comme tu es belle, maman. »
Assise près d’Helen, je l’écoutais me raconter la première leçon d’anglais des filles. Elles étaient venues toutes les deux, très désireuses d’apprendre. Arrivées dans la chambre d’ami, qui servirait pour les cours, elle les mit en garde tout de suite.
« La méthode que je vais utiliser est très efficace, mais douloureuse pour les têtes de linotte. Pour commencer, vous allez ôter vos jupes, je veux vos fesses accessibles. »
Lucie demanda :
« Ne serait-ce pas mieux sans culotte ? »
Étonnée, Helen réagit aussitôt.
« Je vous l’aurais proposé à la seconde leçon, mais soit, pas de culotte. »
Et le cours commença. À chaque erreur, un coup de badine sur les fesses. Lucie en prit quelques-uns, mais elle ne refaisait jamais la même erreur. Charlène, par contre, en prenait beaucoup, avait du mal à retenir les consignes, pourtant simples. Vers la fin du cours, Helen se demanda même si elle ne le faisait pas exprès pour recevoir des coups. Le cours fini, Helen les allongea sur le lit, côte à côte, pour recouvrir les petites fesses d’une crème apaisante. Elle passa bien évidemment plus de temps sur le cul de Charlène, et trouva même une certaine humidité entre les cuisses. Lucie, qui s’était redressée, lui dit carrément :
« Vas-y, elle n’attend que ça. »
Et Helen se mit à doigter cette petite chatte qui lui était offerte. Lucie releva la jupe d’Helen et, derrière elle, se mit également à la doigter. Charlène fut la première à jouir, mais Helen la suivit de très peu. Une fois remises, et rhabillées, un nouveau rendez-vous a été pris. Et il semble qu’il y en aura beaucoup d’autres, les filles aimant tellement apprendre. Corinne sortit de la salle de bain rhabillée, mais sans sa culotte qui était près du sofa. Helen prit sa place sous la douche et Amélie prit sa douche avec elle. Elle en avait l’habitude, en fin de soirée, chez elle, avant qu’elle la raccompagne chez ses parents. Je remis la culotte de Corinne dans son sac, lui demandant de rentrer à Saint-Malo ainsi. Il était prévu qu’elle conduise pour rentrer. Helen repartit également sans sa culotte.
Le lendemain, dans l’après-midi, j’allais voir Murielle, seule, laissant Amélie se reposer. Je voulais lui souhaiter mes meilleurs vœux et aussi lui demander si elle souhaitait accueillir une jeune étudiante chez elle. Elle me répondit par la négative, m’entrainant vers une chambre ou je découvrais une Sybille très peu habillée. Nue, pour ainsi dire. Elle l’avait prise en stage dans son cabinet et l’hébergeait pour plus de commodités. Et de fil en aiguille, elles étaient devenues amantes, et très heureuses ensemble. Par contre, elle me confia que Nicole lui avait parlé de prendre une étudiante chez elle, si l’occasion se présentait. Je la laissais toute à son bonheur et rentrais à l’appart pour prendre rendez-vous avec Nicole et sa future colocataire. Le week-end suivant, Amélie rentra chez elle. Rendez-vous avec Helen et Jacky le samedi après-midi et la soirée sans doute. Moi, je profitais de ce week-end pour retourner voir Jenny, et sa bienfaitrice à Angers.