Céliane et Renan étaient tout près d’elle et ne devaient pas se gêner pour jouer avec elle. Après nous être fait séchés au soleil, nous sommes remontés tous ensemble vers la boulangerie. Marie-Rose avait enfilé sa robe, avec l’élastique au-dessus de sa poitrine, avant d’ôter son maillot entièrement. Habilement, elle avait remis une culotte sans rien dévoiler de son corps. Mais Joël et son fils n’avaient rien raté du spectacle offert. En discutant avec Marie-Rose, j’appris que ses robes de plage, elle les trouvait ici, dans une petite boutique où elle promit de m’emmener. Je préparais le repas avec Fanny tandis que Joël faisait plus ample connaissance avec Marie-Rose. Renan était tout près et ne manquait rien de la conversation. Surtout lorsque son père évoqua sa sortie en mer, prévue dès le lendemain. Lucie aussi était près d’eux, elle était même sur les genoux de Marie-Rose. Joël lui confia qu’elle était très difficile avec les personnes chargées de la garder. Elle avait finalement accepté Justine, leur jeune apprentie. Mais avec Marie-Rose, cela avait été comme un coup de foudre entre elles. Renan osa poser la question à son père et demanda s’il pourrait de nouveau retourner chez Marie-Rose. Lucie intervint aussitôt pour demander quand. Et Joël finit par accepter, sous la pression de ses enfants. Marie-Rose a donné un baiser sur la tête de Lucie. Pour Renan, elle a juste posé sa main sur le genou du garçon, signe qu’elle acceptait de les recevoir à nouveau. Pour Renan, c’était comme si elle lui disait : « Oui, tu pourras de nouveau jouer avec mes seins « . Durant le repas, je remarquais parfois le regard de Joël qui s’attardait sur la poitrine de Marie-Rose, assise en face de lui. Il n’avait pas oublié, comme Renan, comment elle avait remis sa robe, sur la plage, avant d’ôter son maillot qu’elle portait dessous.
À la fin du repas, Renan a conduit sa petite sœur dans sa chambre avant de regagner la sienne. Marie-Rose leur avait promis à chacun d’eux d’aller leur dire bonsoir avant de repartir chez elle. Nous sommes restés entre adultes et la conversation était très animée. Je vis que Fanny commençait à montrer des signes de fatigue. Je demandais à Joël de l’aider à rejoindre sa chambre, tandis que j’emmenais Marie-Rose pour tenir sa promesse aux enfants. Lucie d’abord, qui était déjà presqu’endormie mais qui avait lutté contre son sommeil jusqu’à l’arrivée de sa nounou. Elle lui fit un gros câlin et s’endormit paisiblement. Renan était en pyjama mais il étudiait encore les règles de navigation en mer. Marie-Rose s’approcha de lui pour lui faire un bisou sur la tête. Il était resté assis devant son bureau. Marie-Rose allait faire demi-tour lorsque je l’arrêtais.
« Je suis certaine qu’il en veut un peu plus. Et toi aussi, non ? »
Elle baissa ses jolis yeux et se retourna face à Renan. Puis, doucement, elle fit descendre sa robe pour qu’il puisse à nouveau découvrir sa poitrine somptueuse. Il était juste à la hauteur et il prit un téton entre ses lèvres. Il le téta un moment avant de passer à l’autre sein. J’étais restée derrière elle et j’avais glissé ma main sous sa robe, entre ses cuisses légèrement ouvertes. Je sentais l’humidité qui grandissait sur le devant de sa culotte. Renan commençait à bander très fort et, pour cacher cela, il alla se cacher sous sa couette. Marie-Rose avait remonté sa robe sur sa poitrine et s’approcha de nouveau de lui pour lui souhaiter une bonne nuit. Quand elle se releva, je lui murmurais un ordre dans le creux de l’oreille. Elle se tourna vers moi, très étonnée. Puis, juste après, elle eut un petit regard vicieux, signe que cela l’excitait également. Elle était devant Renan et, lentement, elle remonta sa robe sur ses cuisses, jusqu’à la taille. Il avait une vue imprenable sur son intimité. Sans prévenir l’intéressée, je baissais légèrement sa culotte pour qu’il découvre le trésor qu’elle cachait dessous. Il n’en revenait pas, évidemment, de la chance qu’il avait de contempler l’intimité de Marie-Rose. Il se tourna sur le côté quand il estima qu’il en avait assez vu. Nous avons quitté sa chambre et j’ai reconduit Marie-Rose jusqu’à la porte. Nous étions seules, bien sûr, et elle prit ma tête entre ses mains pour m’embrasser tendrement sur la bouche.
Son tendre baiser devint rapidement passionné. Elle me mangeait les lèvres, littéralement. Marie-Rose avait été Maîtresse avec Céline, sa voisine. Et certainement avec d’autres avant elle. Elle avait essayé avec moi aussi mais elle s’était retrouvée soumise aux caprices de Céliane, et aux miens aussi un peu. Elle tentait de reprendre l’ascendant sur moi, ce qui n’était pas difficile, surtout lorsqu’elle passa sa main sous ma mini-jupe et qu’elle trouva mon string trempé. Elle me doigta habilement pour me faire jouir très rapidement. Avant de repartir, elle souleva mon débardeur qu’elle me força à maintenir relevé, dans ma bouche. Elle entreprit alors de malaxer mes seins très durement, ce qui m’excita au plus haut point. Elle partit enfin et je la suivais des yeux, jusqu’à ce qu’elle disparaisse. J’étais restée devant la porte, à moitié dénudée. Quand je regagnais la chambre, Fanny dormait profondément et je passais voir Joël. Qui m’accueillit à bras ouverts dans son lit. J’étais entièrement à sa disposition et il m’a baisée tendrement pendant une éternité. Je me suis réveillée bien plus tard, il dormait paisiblement près de moi. Je retournais auprès de Fanny pour finir ma nuit. Inconsciemment, elle a dû sentir ma présence auprès d’elle et elle s’est lovée autour de moi, autant que son gros ventre pouvait le lui permettre. C’est sa bouche gourmande qui me réveilla le lendemain matin. Je devais me lever tôt pour aider Renan à se préparer pour son expédition. Mais je pris le temps de téter sa poitrine à mon tour. J’ai eu l’agréable surprise de boire son lait maternel, pour la première fois. C’était un moment magique. J’allais réveiller son fils et, pendant qu’il prenait sa douche, je préparais un copieux petit déjeuner pour lui. Joël arriva au moment où Renan prenait son petit déjeuner. Il me remercia de m’être occupée de son fils.