Fanny avait attrapé sa queue et elle le branlait doucement, sans se préoccuper de ma présence. Car elle savait que son mari serait rassuré que je sois près d’elle. Elle se tourna vers moi, sur le côté, pour donner ses fesses à son mari. Il était plus que prêt et c’est moi qui le guida en elle. Il me regardait fixement, au début, comme pour me remercier encore une fois. Mais, très vite, il ne s’occupa plus que de sa femme et de leur plaisir à tous les deux. Il restait doux, et tendre, mais efficace. Elle finit par jouir intensément les yeux dans les miens. J’avais continué à caresser sa voluptueuse poitrine pendant qu’il la prenait. Fanny avait besoin de se ressourcer un peu et elle m’attira sur le lit, entre eux deux. Elle fit ensuite une chose à laquelle je ne m’attendais pas du tout. Elle demanda expressément à Joël de me baiser à son tour, pour me remercier de tout ce que je faisais pour eux. Il ne se fit pas prier et me positionna en levrette, le visage vers Fanny. Il releva légèrement ma mini-jupe et écarta mon string pour me pénétrer violemment, à la hussarde. Je le voulais tellement en moi que je lui pardonnais son empressement. Et Fanny put voir de mes yeux tout le plaisir qu’il me procurait. Dans cette position, qu’il avait choisie, il avait une vue imprenable sur mes fesses et c’est entre elles qu’il décida de se finir. Il prit beaucoup plus de précautions pour m’enculer mais, une fois bien entré, il se déchaina dans mon cul, m’arrachant des râles de plaisir intenses. Je finis par jouir, la tête entre les seins de Fanny. S’en suivit un long moment de tendresse entre femmes, sous les yeux émerveillés de Joël.
Quand il eut bien récupéré, il me reprit mais de façon plus classique, en missionnaire, et plus calmement que la première fois. Fanny me doigtait en même temps et caressait parfois la queue de son homme, qui allait et venait en moi. Plus tard dans la nuit, elle lui demanda de l’enculer à son tour. Il me regarda, effrayé par cette envie qu’elle avait, mais je le rassurais immédiatement d’un regard. Aucune crainte à avoir pour elle ou le bébé. Elle se mit elle aussi à quatre pattes, les genoux au bord du lit, et il la pénétra très doucement. Elle m’avait demandé de me mettre face à elle, cuisses largement écartées, et elle m’a léchée pendant que son mari la prenait par derrière. Elle a fini par s’écrouler, ivre de plaisir et de fatigue. Plus tard dans la nuit, Joël m’a de nouveau enculée, en cuillère. Fanny dormait profondément près de nous, sa respiration était calme et régulière. Joël n’avait toujours pas éjaculé, alors je me suis allongée sur lui pour m’empaler sur son mât dressé. Il ne bougeait pas, c’était moi qui allais et venais sur lui, doucement, lentement. Profondément. Il arrivait toujours à se retenir. Pour le finir définitivement, j’ai dû utiliser ma bouche et il a fini par tapisser ma gorge de sa semence généreuse.
J’ai pu dormir enfin et c’est sous leurs caresses conjuguées que je me suis réveillée. Chacun avait pris un téton entre ses lèvres et me tétait avidement. La main de Fanny était entre mes cuisses. Joël m’a retournée sur le côté, face à sa femme pour me reprendre par derrière, pendant que je jouais de nouveau avec le corps offert de Fanny. Il m’a prise normalement pour commencer, dans la chatte, mais son intérêt principal, c’était mon cul qu’il a repris brutalement. J’étais totalement ouverte et disposée à être prise ainsi. Ce qu’il ne pouvait pas faire avec sa femme, c’était avec moi qu’il osait le faire. Il a fini par se lever pour aller prendre une douche lorsque sa fille Lucie est venue s’allonger près de sa maman. Elle voulait faire un câlin du matin à son petit frère. Quand Fanny lui a dit que ce serait peut-être une petite sœur, elle a été catégorique, c’était un petit frère qu’elle voulait. Quand Joël a été prêt, elle l’a suivi dans la cuisine pour prendre son petit déjeuner avec lui. J’accompagnais Fanny jusqu’à la salle de bains et l’aidais à se laver partout. Elle m’a lavée elle aussi, même si cela ressemblait beaucoup plus à des caresses. Nous sommes descendues pour rejoindre le reste de la famille, Renan déjeunait avec sa petite sœur. Joël lui parlait de son stage de navigation qu’il devait effectuer à partir de demain. En effet, il partait pour trois jours, avec ses copains et deux moniteurs, pour rejoindre le Golfe du Morbihan, en cabotage. Et retour, évidemment. Ils devaient camper sur la plage, ou sur une île. Après le repas du midi, nous sommes tous allés à la plage. Pour y retrouver Jérôme et Ingrid, leurs enfants et Dylan, mon fils. Marie-Rose était là également et je profitais de sa présence pour l’inviter à nous rejoindre pour le dîner. Fanny était ravie de mon initiative, Joël aussi. Mais le plus content, c’était bien Renan qui la suivait dans l’eau dès qu’elle allait se baigner. Céliane aussi était avec eux et je suis certaine que les deux jeunes continuaient à jouer avec Marie-Rose qui adorait ça. Je suis aussi allée me baigner, suivie de mes deux hommes, Jérôme et Joël.
J’avais de l’eau au niveau du cou lorsqu’ils ont commencé à poser leurs mains sur moi. Je me laissais faire, trop heureuse de cette situation. Seules nos têtes dépassaient de la surface de l’océan et personne ne pouvait se douter de ce qui se passait sous l’eau. Joël, derrière moi, avait baissé mon maillot et me prit gentiment. Je caressais le sexe de mon grand frère et, quand Joël investit mon petit cul, Jérôme me pénétra à son tour, par devant. J’étais prise en sandwich entre mes deux amants. J’adorais être prise ainsi et je fus une nouvelle fois comblée lorsqu’ils changèrent leurs places. Jérôme derrière et Joël devant moi. Un peu plus loin, je voyais Marie-Rose, juste sa tête hors de l’eau et les yeux fermés, proche de la jouissance.