La main gauche de Gaby restait coincée entre les cuisses de Josette qui la laissait introduire quatre doigts dans sa chatte ouverte. Et quand enfin l’orgasme la submergea, je pus me repaitre de son jus d’amour délicieux, abondant. Boire à la source du plaisir me comblait de joie. De la voir se pâmer ainsi, Josette se plaça au-dessus d’elle, en 69, et vint y récolter le fruit de sa jouissance. Et se faire dévorer la chatte à son tour par une Gaby, certes, pas très experte mais délicieusement avide de nouvelles expériences. Tout en les regardant se donner du plaisir mutuellement, je caressais les seins de l’une, ou de l’autre, et jouais avec les tétons tous durs. Cette fois-ci, c’est Josette qui jouit la première, suivie de peu par Gaby. Descendue de la table, elle vint entre les cuisses de son amie récolter le reste de nectar qui coulait encore. Si près de moi, ses seins magnifiques qui se balançaient attirèrent mes mains. Gaby se releva enfin, remise de ses deux orgasmes, mais resta appuyée les fesses contre la table. Sa généreuse poitrine à portée de ma bouche gourmande. Je pris un téton en bouche et je le suçais très fort, tirant dessus. Josette prit le second en bouche et m’imita. Mes mains caressaient doucement son clito, juste pour garder l’excitation à un niveau élevé.
« Quand je pense à mon Victor, (son mari), qui rêve de te voir à poil depuis si longtemps. Il va être déçu de n’avoir pas pu venir. »
« Mais, je reviendrais avec lui, et tu te laisseras déshabiller, comme aujourd’hui. N’est-ce-pas, Josette ? »
Elle avait pris le menton de son amie entre ses doigts et l’interrogeait du regard.
« Mais oui, elle sera bien docile. Pas vrai, Josette ! »
On entendit un faible :
« Oui, Steffie. »
Gaby descendit sa main sur la chatte de Josette qu’elle agrippa.
« Dis-le plus fort. »
Et Josette réaffirma haut et fort qu’elle serait docile. Cet aveu de soumission, et les caresses que je lui prodiguais toujours, l’amenèrent à son troisième orgasme de l’après-midi. Elle se rhabilla rapidement pour retourner chez elle, se reposer un peu en attendant le retour de son Victor pour lui raconter son aventure. Josette s’accroupit entre mes cuisses pour me faire jouir enfin sous ses caresses. Je rentrais chez moi heureuse, et ravie d’avoir pu rapprocher deux femmes qui n’attendaient qu’un signe pour être vraiment comblées. Josette me rappela le soir même pour me dire que Gaby était revenue, avec Victor cette fois, et qu’ils avaient joui au moins deux fois chacun. Et la vie reprit son cours, Amélie de retour, toujours aussi docile. Les discussions interminables avec Julie, ma voisine et amie. Une visite éclair chez Murielle pour lui demander si elle accepterait une jeune étudiante en sous location chez elle. Elle refusa aussitôt, préférant se consacrer à sa nièce, Sybille. Mais elle me redirigea vers Nicole qui, elle, acceptera certainement. Justement, elles en avaient parlé récemment entre elles. À la demande d’Helen, j’avais prospecté quelques galeries d’art, ici à Rennes, susceptibles d’accueillir ses œuvres.
Vendredi 16 Janvier 2015
Helen prépara son chargement et partit rejoindre Corinne chez elle pour prendre leur petit déj ensemble. Puis, direction Rennes. Francis était content qu’elle sorte un peu de son rôle de mère de famille / femme au foyer. Depuis l’épisode de la buanderie, jamais elles ne s’étaient retrouvées seules toutes les deux. Helen était vraiment stressée de présenter son travail à des professionnels. Et s’ils n’aimaient pas ? Corinne se chargeait de lui remonter le moral en lui affirmant que ce ne serait pas la fin du monde si des débiles ne voyaient pas le talent caché en elle. Elle lui prit la main pour y poser un baiser en remerciement de l’avoir réconfortée. Puis, elle posa cette main sur sa cuisse, à la limite de sa robe. Une tension fut très vite perceptible entre les deux femmes. Une chaleur incontrôlée montait du bas ventre d’Helen. Même Corinne sentit cette chaleur sous ses doigts. Imperceptiblement, elle remua ses doigts, caressant cette cuisse amie. Sur le tissu. Mais rapidement dessous. À même la peau.
Pas un bruit, pas une parole. Juste les bruits ambiants. Le moteur, la circulation. Que pouvait-il se passer de plus, au juste ? Pourtant, l’une comme l’autre attendait un je-ne-sais-quoi, un signe, un mot …
Helen, la première, craqua.
« Tu ne … Voudrais pas … ? »
Inutile d’en dire plus, elles s’étaient comprises. Et lentement, Corinne remonta sa main entre les cuisses fébriles. Qui s’écartaient au fur et à mesure de la progression. Les doigts fureteurs arrivèrent très vite à l’orée du tanga qui, bien évidemment, était déjà trempé de mouille odorante. Et les doigts agiles se lancèrent dans une folle farandole sur sa fente offerte, dégageant le clito gorgé de plaisir. Écartant les lèvres, deux doigts pénétrèrent au plus profond de sa grotte d’amour, obligeant la conductrice à s’arrêter sur une aire de repos pour déguster son orgasme. Des ombres autour de la voiture. Hyper réactive, Corinne bloqua les portières en appuyant sur la fermeture centralisée. Deux hommes, d’une quarantaine d’années, tournaient autour de la voiture. Leur regard plongea entre les cuisses d’Helen qui n’était toujours pas redescendue de son nuage. Corinne rabaissa sa robe et les deux voyeurs repartirent. En en parlant plus tard à leurs maris respectifs, elles apprirent que cette aire accueillait très souvent des prostituées. Le rendez-vous des voyeurs, et des obsédés.
Elles reprirent la route et visitèrent les galeries que j’avais sélectionnées, plus une autre, conseillée par une dame très gentille. C’est d’ailleurs dans celle-ci qu’elles furent les mieux accueillies. Helen, l’artiste, y laissa le reste de ses œuvres et fut invitée à en rapporter d’autres. Puis, après un petit SMS pour m’avertir de leur arrivée, direction mon petit appart. J’avais prévu de prendre mon après-midi pour être disponible quand elles arriveraient. J’avais demandé à Amélie de prendre des notes, et à une autres fille aussi, pour comparer. Helen et Corinne sont arrivées un peu après 15 heures. Je les ai installées sur le sofa avant de leur servir un café pour Corinne, thé pour Helen et moi. Assise dans le fauteuil, face à elles, je les écoutais me raconter les visites des galeries.