Mon père, mon Maître (22/24)

Je suppose qu’il n’avait pas pu s’empêcher d’en parler à ses copains et eux aussi voulaient voir. Me voir. Je rentrais dans la salle de jeu en faisant semblant de l’ignorer. S’il n’avait pas pu tenir langue, ce serait lui le plus à plaindre. Je dilapidais une grande partie de mes jetons avant que ses copains ne choisissent d’aller jouer plus loin. Il se rapprocha de moi, penaud, murmurant une vague excuse. Je lui tendais le reste de mon gobelet, ce simple geste lui redonna le sourire. Et l’espoir. Je le laissais jouer, comme tout à l’heure, mais j’avais posé ma main entre ses cuisses. Comme j’étais légèrement penchée en avant, il pouvait voir mes seins, libres de toute entrave. Et il gagna bien plus que ce que j’avais déjà perdu. Nous avons changé de machine lorsque les lots n’étaient plus intéressants et c’est cinq petits lingots que j’avais désormais en ma possession. Il était presque prêt à jouir et je ne voulais pas le finir ainsi. Il avait été adorable avec moi et il méritait amplement une bonne récompense. Que je ne pouvais malheureusement pas lui donner en public, malgré son envie, et la mienne. Je lui expliquais que nous devions nous isoler. Il sembla comprendre et laissa tous les jetons restants à son jeune frère qui semblait avoir compris comment jouer, et gagner.

Ses copains étaient bien loin et ils ne nous ont pas vu nous éclipser. Il faisait nuit noire et, en s’éloignant des manèges, nous avons trouvé un coin tranquille. Je le plaquais contre un arbre et je pris ses mains, que je déposais délicatement sur mes seins. Il n’en croyait pas ses yeux, il avait enfin la chance de pouvoir peloter une poitrine de femme. Sans me demander, il glissa ses mains une par une sous mon top pour me caresser à même la peau. Il était aux anges et le bonheur se lisait au plus profond de ses yeux. J’avais bien évidemment repris mon massage entre ses cuisses et ouvert son short. Il sembla énormément déçu lorsque je baissais ses mains et que je lui fis un petit baiser sur le front. Il devait penser que c’était fini. Mais j’en voulais plus, moi aussi. Je suis une vraie salope, quand je veux, et là, j’avais envie de faire des folies. Je me suis accroupie doucement devant lui, sans le quitter du regard. Je baissais légèrement son short pour sortir enfin sa queue juvénile de son slip. Il fermé les yeux lorsque je la pris en bouche. Je lui offrais le meilleur de moi-même et je ne pus m’empêcher de me caresser en même temps. Il a joui intensément dans le fond de la gorge et j’ai pris soin de bien tout nettoyer avant de remettre sa queue à sa place. Je le quittais en lui disant.

« À l’année prochaine.  »

Il ne comprit sans doute pas que, pour moi, il semblait un peu trop jeune et que je préférais attendre une année pour lui offrir beaucoup plus. Et je rejoignais guillerette l’esplanade où ma famille m’attendait. Je croisais Jérôme qui allait acheter des glaces pour les enfants. Il m’indiqua où je pouvais trouver le reste du groupe. J’aperçus maman, près de la rambarde, avec les enfants devant elle. Ingrid essayait de les rejoindre mais la foule commençait à être très dense. Et personne n’était vraiment disposé à la laisser passer devant. Je la rejoignais donc et je restais près d’elle. Je n’avais pas revu papa. Un peu plus tard, je vis Jérôme revenir avec les glaces dans les mains. Pour pouvoir accéder à ses enfants, il cria.

« Attention, devant. Je tâche.  »

Et miraculeusement, les gens s’écartèrent. En arrivant près de maman, il vit immédiatement qu’elle n’était pas vraiment à son aise. Un homme, qui n’était pas notre père, semblait la coller de très près. De trop près. Jérôme bouscula un peu tout le monde qui l’empêchait encore d’approcher, donna leurs glaces aux enfants. Et éjecta cet homme loin de sa mère. Il resta derrière elle, jusqu’à ce que l’homme comprenne qu’il devrait chercher une autre proie. Maman jeta un regard de remerciement vers son fils et ne s’occupa plus de ce qui se passait derrière elle. Jérôme tentait de garder ses distances avec maman mais un mouvement de foule vint le plaquer inexorablement contre les fesses maternelles. Maman se retourna et sembla rassurée que ce soit son fils qui était toujours derrière elle, même s’il était un peu trop collé à elle. Elle préférait que ce soit lui, plutôt qu’un autre pervers. J’étais trop loin d’eux pour voir, et même imaginer ce qui se passait. Jérôme avait fini par poser ses mains sur les hanches de maman, pour se contenir, ne pas trop l’écraser de son poids. Mais il ne put hélas pas résister lorsqu’elle commença à frotter ses fesses sur sa queue durcie. Maman avait toujours les mains posées sur la rambarde, devant elle, et Jérôme n’eut qu’à monter ses mains pour pouvoir enfin accéder à la poitrine maternelle. Je l’ai eue moi aussi entre mes mains et je savais le bonheur qu’il a dû ressentir à ce moment précis. Prendre les seins de sa mère entre ses doigts, pouvoir la peloter impunément tandis qu’elle se frotte contre son sexe bandé à mort. Tout le monde avait les yeux levés au ciel pour admirer le spectacle pyrotechnique. Jérôme, lui, avait relevé la robe de maman et promenait maintenant son sexe impressionnant sur la fente trempée. Un simple mouvement et il était en elle. Une explosion de bonheur pour lui, et pour elle, j’en suis certaine, au moment où le ciel s’illuminait de nouveau de mille étoiles. Il était planté en elle et ne bougeait plus. C’est elle-même qui s’empalait d’avant en arrière sur sa queue. La fureur qui les animait, l’un comme l’autre, fit que cela ne dura qu’un court instant, mais un instant sublime, mémorable. Inoubliable. Il se dégagea à regret et la robe reprit sa place, pas la culotte. Et il avait repris en main ses seins merveilleux, dès qu’il fut de nouveau présentable.

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