Le lendemain, retour à la normale, Corinne était levée avant moi. Elle me servit mon café et on prit le temps de discuter. Je pris le temps de faire quelques appels, dans la matinée. Je partais un peu avant 11 heures pour aller chez Francine. Corinne était prévenue que je ne rentrais que le soir. J’utilisais Google Maps avant de partir pour savoir où elle vivait. Je fus accueillie par des tonnes de bisous. Comme une reine. Elle me fit asseoir sur le canapé, me servit un thé et commença à me raconter ses nouvelles aventures. Elle avait donc pris ses fonctions d’hôtesse d’accueil au sein de l’Aquarium de Saint-Malo. Dès le lundi après-midi, elle fut convoquée au bureau de la DRH. Arrivée devant la porte, elle vérifia sa tenue et se rappela qu’elle devait ôter ses sous-vêtements. Retour vite fait aux toilettes pour être « présentable ». En entrant dans le bureau, elle se sentit déshabillée du regard. Elle restait debout, attendant qu’on lui dise de s’asseoir.
« Tourne sur toi-même. »
Elle fit un tour complet, mais continua sur un signe de la main. Elle entendit sa responsable lui dire » Stop » alors qu’elle lui tournait le dos.
« Montre-moi à quel point tu es obéissante. »
Sur le coup, elle faillit ne pas comprendre, puis, rougissante, elle remonte sa robe au-dessus de la taille, lui exposant ses fesses nues. Sous l’effet de l’inspection visuelle, elle commençait déjà à mouiller. Fabienne F. s’en aperçut aussitôt. Elle se leva et prit place sur une des deux chaises devant son bureau. Elle la fit pivoter pour voir de près ses lèvres intimes luisantes. Francine posa ses deux mains sur l’assise de l’autre chaise et écarta ses jambes un peu plus. Ça coulait sur ses cuisses, sous le regard de sa patronne, ou plutôt celle qui l’avait choisie pour ce poste, qui ne l’avait pas encore touchée. Puis, enfin, elle sentit les doigts récolter son jus qui coulait. Entre ses cuisses, là où la peau est si douce, presque transparente. Plusieurs fois, elle porta ses doigts à sa bouche avant de revenir récolter encore plus de jus odorant. Puis, elle remonta vers la source du plaisir. Elle plaqua sa main contre la fente humide, elle la frotta un peu avant de remonter son majeur vers la gangue qui cachait encore son clito. Elle se leva ensuite, l’enserrant de ses bras, plaçant sa main droite sur son clito et l’autre caressant sa poitrine. Elle l’aida à se retourner, la fit asseoir sur la chaise, les fesses bien au bord, et s’agenouilla entre les cuisses ouvertes pour un cunni d’anthologie. Francine se laissa emporter par la vague de plaisir qui l’envahit. Elle se laissa faire encore une fois quand Fabienne releva sa robe par-dessus sa tête pour dégager sa jolie poitrine. Elle se laissa téter amoureusement par cette femme à qui elle devait sa place.
Fabienne se massait entre les cuisses depuis un moment et décida qu’elle pouvait utiliser la bouche de son employée. Elle retourna donc dans son fauteuil, entrainant Francine derrière elle, releva sa jupe avant de s’asseoir et fit mettre la jeune femme à ses pieds. Inutile de lui faire un dessin, ni même de la forcer, elle comprit d’elle-même ce qu’on attendait. Et c’est avec plaisir qu’elle s’acquitta de sa tâche, pour le plus grand bonheur de Fabienne. Qui, elle, continuait sa caresse sur les tétons gorgés de sang de la soumise à ses pieds. Elle attrapa sa tête pour bien la plaquer sur ses lèvres intimes au moment suprême. Elle l’aida à se relever, puis l’aida à se coucher sur ses genoux. Elle avait ainsi à sa portée, ses fesses et son sexe encore humide, et ses seins gonflés de plaisir. Elle la caressait machinalement, la maintenant dans un état proche de l’extase, sans l’atteindre. C’était une vraie torture pour Francine, elle qui aimait tellement jouir.
« S’il-vous-plaît, Madame, faites-moi jouir, s’il-vous-plaît. »
Elle avait murmuré sa supplique. Pas de réponse. Elle répéta, plus fort.
Fabienne l’avait entendue cette fois. Elle ouvrit un tiroir à sa portée pour en sortir un petit vibro. Elle le mit en marche et le passa sur la fente, jusqu’à l’anus. Elle tourna autour de la rondelle, sensible, et commença à la pénétrer. Doucement, mais inexorablement, Francine se sentit envahie par un bien-être qui la remplissait. Elle finit par jouir enfin sous les caresses conjuguées. Elle était heureuse et comblée. Je l’avais écoutée tout en la cajolant. Maintenant, j’en voulais plus. Elle avait fini par s’allonger sur le canapé, sa tête sur mes cuisses. En relevant ses genoux, sa robe était redescendue jusqu’à ses fesses. J’avais donc accès à sa culotte avec ma main droite, et à sa poitrine, sa robe fermant par quatre boutons que je défis rapidement, de la main gauche. J’avais profité de son corps à ma guise. Je l’avais maintenue dans un état d’excitation proche de l’extase, mais sans l’atteindre. Je la fis se relever, sa robe glissa doucement de ses épaules. Elle coinça un peu au niveau des fesses mais elle rejoint le sol, tout comme son soutif, et sa culotte, trempée, vous vous en doutez. Je la suivis jusqu’à sa chambre où je la priais de me déshabiller à son tour. Ses doigts caressaient ma peau en me frôlant. Je me serrais ensuite contre elle, sa peau douce et chaude contre la mienne. Je basculais sur le lit, l’entraînant avec moi. Ses lèvres s’approchent enfin des miennes et je peux lui rendre son baiser, passionnément. J’écarte un peu les jambes et elle se glisse entre elles. Je sens maintenant parfaitement sa chatte trempée comme jamais. J’en ai des papillons dans le ventre. C’est clair pour moi, je veux coucher avec elle, et elle aussi. Sans doute même en a-t-elle plus envie que moi. Nous nous caressons mutuellement. Elle rentre sa langue, j’en frémis de plaisir, même si ce n’est pas la première fois. Nos seins sont pressés les uns contre les autres, agréable sensation de sa poitrine plus volumineuse qui écrase la mienne. Je l’écarte un peu pour pouvoir la peloter, je sais si bien lui procurer du plaisir. Je commence à lui sucer un téton, tout en lui caressant les fesses, que je prends un malin plaisir à écarter de mes mains.