Il remonta les bras au-dessus de ma tête. Je compris que je devais rester ainsi, inactive, mais totalement accessible. J’étais donc pratiquement nue devant mon cher papa. Des souvenirs, enfouis profondément dans ma mémoire, remontèrent alors. Cet homme, qui m’avait fait l’amour alors que mon visage était caché, j’étais désormais certaine que c’était mon papa. Je reconnaissais son odeur, ses caresses. Je me rappelais parfaitement que cet homme inconnu m’avait faite jouir magnifiquement. Les autres, qui étaient passés avant lui, n’avaient fait que se vider en moi. J’avais même gardé le souvenir de sa queue qui m’avait semblée incroyablement grosse. Rien qu’à l’idée de retrouver ce mandrin en moi me fit presque jouir. Papa devait voir que je mouillais énormément, même s’il s’occupait parfaitement de mes seins. Quand je sentis enfin son gland venir au contact de mes lèvres intimes, il fut littéralement aspiré en moi. Il était enfin de nouveau enfoui au plus profond de moi et j’étais la plus heureuse des femmes. Je passais aussitôt mes jambes derrière son dos pour l’empêcher de reculer. Je voulais le garder en moi le plus longtemps possible.
Il commença à aller et venir en moi, doucement au début, il avait sans doute peur de me faire mal. Mais très vite, ses coups s’accélérèrent jusqu’à un rythme infernal. J’avais été obligée de desserrer l’étau de mes jambes et il sortait intégralement, pour replonger en moi immédiatement. Ses coups brusques et violents n’étaient pas toujours très contrôlés. Parfois, sa queue venait titiller mon anus. Il se reprenait alors en main pour retrouver ma chatte béante et accueillante à souhait. Il me laboura ainsi de longues minutes, j’ai joui plus d’une fois sous ses coups répétés. Et lui était toujours bien dur, son mât bien raide s’enfonçant en moi. Dans son empressement à venir m’empaler, papa avait juste oublié de mettre un préservatif. Et moi, je ne m’en suis rendu compte que lorsqu’il a commencé à me remplir de sa chaude semence. J’avais l’impression qu’il pénétrait encore plus profondément en moi et mon bonheur était immense. Il s’allongea ensuite près de moi, besoin de souffler un peu, de se reposer. Avant un second round.
Depuis que nous avions pris place sur le canapé, devant la télévision, aucun mot n’avait été prononcé, ni par l’un, ni par l’autre. Seuls nos yeux parlaient, et encore, jusqu’à ce que mon visage soit caché. Avant cela, je n’étais que sa fille. Désormais, j’étais SA chose, SON jouet. Il pouvait faire de moi ce qu’il désirait. Et il avait compris tout ça, sans qu’un seul mot ne soit prononcé. C’est devenu une évidence, pour lui comme pour moi. J’étais à LUI. J’étais sa soumise et il était mon Maître. Je ferais absolument tout ce qu’il me demanderait de faire, même si cela impliquait de retourner dans cette cabane de pêche avec lui et Roger. J’étais prête à TOUT et il me comprenait. J’étais toute à LUI et il devait investir tous mes orifices. J’ôtais mon tee-shirt avant de m’agenouiller sur le lit. Je le pris délicatement en bouche pour lui offrir le meilleur de moi-même. Une fois bien propre, et bien raide, je lui demandais.
« Encule-moi, papa. Maintenant »
Il y a eu un silence pesant, juste après. Puis, son regard changea. Lui aussi en avait envie. Je me suis positionnée en levrette, seuls mes pieds dépassaient du lit. Il se pencha vers mon cul pour y déposer plusieurs baisers avant de se mettre à me lécher la vulve, puis à remonter vers mon petit trou du cul. Je cambrais encore plus les reins, je sentais ma cyprine couler le long de mes cuisses. Papa posa son pouce sur mon anus et il fit un peu pression pour le faire entrer.
« Défonce-moi ! Défonce-moi ! Je la veux, maintenant. »
Encouragé par mes suppliques et par l’atmosphère de luxure qui régnait dans la pièce, il se résolut à passer à l’action. D’un geste précis, il récolta un peu de mon nectar sur ses doigts pour l’appliquer directement sur mon anus palpitant. Il positionna son gland et commença à pousser lentement.
« Je le sens … Il entre … Hummm … Ouiiiiii. »
Une fois bien engagé, il m’agrippa aux hanches et poussa fortement. Deux poussées plus tard, il était en entier en moi. Il resta un instant immobile, sans doute pour que je m’habitue à cette massive présence, mais, impatiente, c’est moi-même qui commençais à bouger mon bassin pour aller à sa rencontre. Réalisant alors quelle salope j’étais, il ne me ménagea plus, à chaque coup de butoir, je sentais ses couilles venir taper sur mon cul. D’avant en arrière, parfois la ressortant entièrement, puis me l’enfonçant de nouveau avec force. Il y allait si fort qu’il était pratiquement allongé sur mon dos, il me tenait par les seins. À son rythme déjanté, je sentais que la fin était proche. Je devais lui dire que j’étais à lui, qu’il pouvait faire ce qu’il souhaitait.
« Éjacule en moi. Je veux sentir ton jus me remplir les entrailles.
« Salope » fut sa seule réponse, et les premiers mots qu’il disait depuis la fin du repas. Le frottement, les mots crus et vulgaires, la situation, tout cela a fait que j’ai eu mon premier orgasme anal avec mon papa. Je tremblais de tous mes membres tandis qu’il me remplissait les entrailles de son jus. Lorsque j’émergeais à nouveau, j’étais allongée sur le ventre, avec lui allongé sur mon dos et sa queue toujours plantée en moi, mon ventre plein de son jus. Et bizarrement, je voulais rester comme ça, et lui aussi, semble-t-il. Je brisais le silence au bout de quelques minutes, j’avais une question à lui poser.
« Papa, maintenant que je sais que c’était toi, grâce à cette cagoule. J’aimerais que tu me dises combien tu as payé pour avoir le droit de me violer. Je ne te reproche rien, surtout pas à toi. Mais cette question du « Combien » restera toujours dans ma tête. Jusqu’à ce que j’ai la réponse. »
J’ai bien senti mon cher papa qui se raidissait derrière moi.
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