Martine, la suite (05/18)

Une fois le catalogue refermé, il m’a fait asseoir sur la table, face à lui, pour m’offrir de nouveau un merveilleux cunnilingus. Il était vraiment très doué dans cette pratique et j’ai appris plus tard qu’il avait eu des démêlés avec son administration lorsqu’il y travaillait encore. Et, depuis sa mise à la retraite, il trouvait toujours une oie blanche pour satisfaire ses besoins. C’est ainsi qu’il avait accepté de prendre des jeunes filles pour faire son ménage. Des jeunes filles qui allaient toutes étudier au foyer rural. Le lendemain, vendredi, c’était le 24 décembre. Fernand était occupé dans le magasin lorsque le livreur arriva. J’avais déjà vu comment procéder et je lui indiquais où déposer les palettes qu’il déchargeait. Vu que nous n’étions que tous les deux, il se permit plusieurs fois de me serrer de très près, de me frôler de sa main. J’aimais sentir son envie, son désir, et surtout voir les effets secondaires. Son pantalon semblait prêt à exploser, tellement il était rempli. Quand tout fut déchargé, j’inspectais les palettes et le bon de commande correspondant. Je ne devais surtout pas faire d’erreur. Vous allez me dire que j’attendais sans doute ce qui devait fatalement se passer, aussi, n’ai-je pas trop été surprise lorsqu’il se colla à moi, dans mon dos.

Vu que je ne réagissais pas négativement, il posa ses mains sur mes hanches, puis les remonta sur mon ventre. Je commençais à respirer difficilement et je n’étais plus du tout attentive à ma mission de contrôle. Quand ses mains englobèrent mes deux seins, j’aurais voulu que ça dure plus longtemps encore. Je sentais sa queue qui grossissait toujours contre mes fesses. J’avais posé les documents pour me consacrer uniquement au plaisir qu’il me donnait. Je ronronnais littéralement sous ses caresses. Il réussit à glisser ses mains sous mon pull et ses doigts pouvaient désormais doigter mes tétons, accessibles et durs comme du bois. Sans vraiment m’en rendre compte, je me suis mise à me frotter contre cette queue gigantesque. Je faisais rouler mes fesses pour l’exciter plus encore. Il avait sorti son monstre et il souleva ma jupe pour frotter sa queue directement sur ma fente. Je mouillais énormément et il a dû d’en apercevoir, évidemment. Mais jamais il ne tenta de me pénétrer. Il savait que j’étais mineure, supposais que j’étais encore vierge et que, de toute façon, j’étais trop jeune pour pouvoir accueillir un tel monstre en moi. Je passais ma langue sur la paume de ma main avant de la glisser entre mes cuisses. Je frottais ma paume sur son gland, forçant sa queue à presque s’imprimer en moi. J’avais ma main devant son méat lorsqu’il éjacula abondamment. Moi aussi, j’avais joui avec cette queue qui se frottait sur mon bouton d’amour. Je me retournais face à lui, il baissa les yeux, légèrement honteux de ce qu’il avait osé faire. Contrairement à lui, je le fixais droit dans les yeux en m’agenouillant devant lui. Il croisa mon regard au moment où ma langue vint goûter à son nectar, je nettoyais ce monstre, du bout de la langue, et je pense qu’il aurait de nouveau éjaculé si Fernand n’était pas arrivé à ce moment-là. Il se rhabilla vite fait et remonta dans son camion.

Fernand semblait très excité par ce qu’il venait de voir et j’étais toujours à genoux. Il avait juste à s’approcher pour obtenir lui aussi une caresse buccale. À la différence du livreur, je pouvais le prendre entièrement en bouche et le pomper comme je faisais avec Mr Renaudin. C’est, je pense, par réflexe qu’il posa sa main sur ma tête au moment crucial. Il ne souhaitait pas que je m’échappe. C’était mon cadeau de Noël et je voulais aller jusqu’au bout. Nous avons contrôlé rapidement les arrivages avant de regagner son bureau. Il m’a offert à son tour un merveilleux cunnilingus. Ce jour-là, nous faisions journée continue, jusqu’à 15 heures. Nous avons donc déjeuné sur place, dans son bureau, moi assise sur ses genoux. Il avait ôté ma petite culotte, trop trempée pour que je la garde sur moi. Il pouvait ainsi librement me doigter et lécher ses doigts, après une bouchée de son sandwich. J’avais pensé, à un moment, lui offrir mon cul, comme avec Mr Renaudin, puis j’ai décidé que c’était encore trop tôt pour ça. Mr Jonathan est revenu juste avant la fermeture du magasin. Il avait certainement mémorisé les horaires. Il n’avait pas énormément d’articles mais, comme je l’ai déjà dit, c’était l’une des routes pour rentrer chez moi. Je l’ai donc raccompagné jusqu’à sa porte.

Je ne suis pas entrée chez lui, cette fois-ci, mais je lui ai souhaité un merveilleux Noël. Il a arboré le sourire d’un clown triste et il s’est penché pour m’embrasser sur les joues. Je ne m’étais pas méfiée mais sa main a réussi à atteindre mes fesses, sous ma jupe. Je l’ai laissé me peloter les fesses à sa guise. Je suis rentrée chez moi pour aider maman à préparer le réveillon. Ce soir, nous recevions nos voisins. Mireille, Germain, son mari, et leurs trois enfants. C’était un repas de fête et maman avait mis les petits plats dans les grands. Elle était très heureuse de se mettre en quatre pour que tout soit parfait. Nous ne recevions jamais et c’était une occasion unique de montrer à tous ses talents de maitresse de maison. Maman ne voyait plus sa famille depuis si longtemps que je ne m’en rappelle même plus. Je n’en ai jamais connu la véritable raison. Mon père avait parfois des nouvelles de sa famille qui étaient tous restés dans l’est de la France. Une carte pour les anniversaires des enfants, oui, même moi, et une carte de vœux pour la nouvelle année. Nous n’avions pas encore le téléphone à la maison et nous n’en voyions pas l’utilité. Et encore moins ce Minitel qui faisait beaucoup parler de lui. Avant de quitter le magasin, Fernand m’avait donné une enveloppe, que je n’ai ouverte qu’une fois dans ma chambre. Il y avait là une somme faramineuse. Mes étrennes pour Noël ou bien un paiement pour tout ce qu’il a osé me faire ?

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