Morena était occupée avec les jeunes encore toute cette journée. C’est Rosaria, la mamma, qui m’ouvrit la porte. Elle m’invita à la suivre au salon où elle me proposa un café. On s’installa toutes deux sur le canapé et elle appela Giulietta pour qu’elle nous vienne nous servir. On discuta un moment, de choses et d’autres, surtout du mariage de mon grand frère. Elle répétait sans arrêt qu’elle le trouvait très beau et qu’elle aimerait en trouver un aussi beau pour sa fille. Un aussi beau parti, je pense, mais elle n’osa l’avouer. Mais en même temps, elle se plaignait que si Giulietta se mariait, elle se retrouverait toute seule, désemparée. Et moitié moins de ressources puisque sa fille lui laissait tout gérer. Je lui demandais si je pouvais lui enlever sa fille pour l’après-midi. Elle accepta bien évidemment, comme si je lui faisais un immense honneur de poser mes yeux sur sa fille. Pas sûr qu’elle aurait accepté si elle s’était douté que je posais aussi mes mains sur sa fille, et sous sa robe. Hihihi. Encore que. Je crois qu’elle est tellement servile qu’elle verrait ça comme un honneur supplémentaire. Une fois dehors, j’invitais Giulietta à m’emmener dans un magasin de vêtements. Je souhaitais lui acheter un joli maillot de bain avant de l’amener sur notre plage secrète. Évidemment, elle choisit un modèle une pièce, que je remettais aussitôt en rayon pour lui choisir deux bikinis, un rose fluo très flashy et un vert émeraude, plus classique. J’avais volontairement choisi une taille en-dessous, pour bien faire ressortir ses formes voluptueuses. Ensuite, direction la cabine. Je m’imposais et rentrais d’office derrière elle dans la cabine. La vieille femme à la caisse avait replongé son nez dans son magazine people, ne se préoccupant plus de nous.
Giulietta hésita un moment puis ôta sa robe. Je me collais contre elle pour lui enlever ses sous-vêtements, soutif et culotte. Je lui enfilais le bas du maillot vert, difficilement. Elle sentait bien qu’il était trop serré mais elle pensa qu’elle avait encore grossi. Elle comprit rapidement que non quand je lui mettais le haut. Ses grosses mamelles débordaient de tous les côtés. Elle était gênée, se sentant horrible, mais elle ne se voyait pas encore, la cabine n’ayant pas de miroir. Elle devait sortir pour s’admirer dans la glace. Je la suivais de près. En apercevant sa silhouette, elle voulut se cacher. Je le lui interdisais formellement. J’ajoutais.
« Regarde le miroir. Fixe attentivement mes yeux et dis-moi si tu y vois du dégoût ou bien de l’envie ? »
Elle me fixa et baissa les yeux. Elle devait ressentir à quel point j’avais envie de lui faire l’amour, là, tout de suite, au risque de se faire surprendre. Elle en frissonna et elle ne m’empêcha pas de caresser ses gros seins, sous prétexte de les rentrer dans les bonnets, trop petits pour les contenir. Je la raccompagnais dans la cabine d’essayage pour lui passer le second maillot, tout aussi petit. Je lui ôtais tout et la laissais nue, le temps que j’aille trouver la bonne taille, cette fois. Mais je lui interdis de refermer le rideau. D’où elle était, la vieille vendeuse ne pouvait pas la voir. Mais de la rue, une personne qui s’attarderait devant la vitrine, pourrait parfaitement la voir, et l’admirer. Pareil si une cliente entrait, ou un client. Lol. Giulietta était tétanisée mais restait bien droite, sans se cacher. Elle savait que je l’admirais de loin, tout en cherchant des maillots à sa taille. Je revins vers la cabine et entrais juste au moment où une cliente entrait dans la boutique. Je fis semblant de ressortir pour qu’elle puisse admirer les formes de ma jeune soumise. Elle s’accrocha à moi, m’empêchant de reculer. Et ferma le rideau. Je sentais son corps nu contre le mien, sa chaleur. Et son cœur qui battait la chamade contre ma poitrine. Je m’accrochais à ses fesses et lui roulais une pelle. Amoureusement. Baiser qu’elle me rendit. Elle essaya les deux maillots qui lui allaient parfaitement cette fois. Le fluo surtout faisait ressortir ses formes voluptueuses. La cliente regardait et semblait apprécier elle aussi. Profitant qu’elle nous regardait, je baissais le haut du maillot, dévoilant la magnifique poitrine de Giulietta. Elle s’approcha sur un signe de ma part et commenta ce qu’elle voyait de près maintenant. Giulietta ne bougeait pas, étonnée de voir cette femme, qu’elle ne connaissait pas, parler de sa poitrine et même commencer à la caresser.
Tant de désinvolture de sa part, mais elle-même qui se laissait faire, lui donnant implicitement l’autorisation de continuer. Voyant que les tétons réagissaient à ses caresses, elle se pencha un peu pour les prendre en bouche. Dans la manœuvre, ses fesses s’étaient collées contre moi. Je posai alors mes mains sur ses hanches, remontais sur son ventre, sa poitrine. Puis je redescendais entre ses cuisses, soulevais sa jupe pour glisser mes doigts dans sa culotte. Elle était déjà excitée et je laissais glisser la culotte sur ses chevilles. Je la doigtais tandis qu’elle suçait amoureusement les seins de Giulietta. Celle-ci semblait en transes, possédée. Du regard, je lui donnais l’ordre de s’agenouiller devant cette femme. Je soulevais la jupe au niveau de la taille. La bouche de Giulietta entra en action et la jupe la recouvrit. Je pelotais maintenant la poitrine de cette cliente qui, ayant tourné la tête vers moi pour me remercier, me tendait ses lèvres appétissantes. Je sentis l’orgasme qui montait en elle, l’envahissant toute entière. Je la maintenais pour ne pas qu’elle tombe car ses jambes ne la portaient plus. Giulietta s’activait de plus en plus pour l’envoyer au paradis. Elle était heureuse, comblée. Elle me griffonna son nom et son adresse. Au cas où nous voudrions la revoir.
Elle s’appelait Sylvia. Giulietta et moi sommes sorties de la boutique après avoir réglé les achats. La caissière n’avait rien vu, ni rien entendu. Trop plongée qu’elle était dans son magazine people. J’emmenais la jeune fille sur notre plage « privée ». Même elle qui avait toujours vécu à Sassari ne connaissait pas cette crique. Elle avait tenu à se rhabiller avec ses sous-vêtements en sortant de la boutique, sans penser qu’elle devrait tout ôter devant moi pour se changer.