Vacances en famille, la suite (17/18)

Je guidais tout d’abord sa bouche vers les traces laissées le long des cuisses de sa patronne, mélange de fluides de ses patrons. Justine sortit timidement sa langue et commença à lécher et à nettoyer les résidus suspects. Je n’appuyais déjà plus sur sa tête qu’elle continuait son nettoyage en règle. Elle passa automatiquement à l’autre cuisse et la nettoya de la même façon. Je vis qu’elle a fait une pause, juste après. Fanny restait inerte, bras ballants. Puis elle écarta ses cuisses au maximum. Justine avait compris ce que l’on attendait de sa part. Elle posa délicatement sa bouche sur le sexe de Fanny. Celle-ci avait cessé de respirer, en attente de ce baiser si intime. Elle reprit sa respiration, profondément. Elle leva ses yeux remplis de reconnaissance vers moi, qui lui permettait de revivre enfin en tant que femme. Je passais derrière elle pour caresser ses seins merveilleux qui ne demandaient qu’un peu plus d’attentions. J’étais en train de peloter ses seins voluptueux lorsque je fus surprise par son geste. D’un mouvement sûr et parfaitement maitrisé, elle souleva légèrement ses fesses et fit descendre sa culotte jusqu’aux genoux. Un peu déboussolée au début, Justine reprit possession de la chatte ainsi offerte. C’est au moment où elle replongeait entre les cuisses ouvertes que je m’aperçus que l’une de ses mains était très occupée entre ses propres cuisses. La coquine prenait son pied et c’était très bien comme ça. Fanny pencha la tête en arrière.

Elle était comme en transe, complètement liquéfiée par l’orgasme qui l’envahissait progressivement. Justine, entre ses cuisses, redoubla d’ardeur pour récolter tout ce qui s’écoulait de son intimité. Une porte grinça légèrement. J’aperçus Joël qui assistait lui aussi à la scène. Il voyait parfaitement avec quelle ardeur la jeune fille se donnait à sa tâche. La porte se referma et il retourna dormir, des images érotiques plein les yeux. Il s’imaginait déjà entre nous trois, profitant de l’une ou de l’autre. Cette nuit-là, ses rêves ont dûs être très cochons. Fanny était épuisée, mais comblée une nouvelle fois. Justine se releva, la bouche encore trempée du nectar de Fanny. Je posais mes lèvres sur les siennes, puis je dirigeais son visage vers celui de Fanny. Elle refusa ce premier contact. J’insistais un peu et elle se résolut à donner ses lèvres à son apprentie. Le baiser fut très chaste, au début. Puis Fanny attrapa la tête de la jeune fille et c’est une véritable furie qui s’empara d’elle. Elle léchait les lèvres recouvertes de son jus intime, les aspirais dans sa bouche avant de replonger sa langue au plus profond de sa bouche. Prise par l’excitation du moment, elle n’a pas résisté lorsque j’ai pris ses mains pour les glisser sous le tee-shirt de Justine, jusqu’à sa poitrine. Et elles n’ont pas tardé à entrer en action. La jeune apprentie se redressa pour chercher à reprendre sa respiration mais j’en profitais pour relever et ôter son tee-shirt. Son soutien-gorge, inutile, rejoignit son tee-shirt sur la chaise voisine.

Fanny prit immédiatement possession de l’un de ses tétons entre ses lèvres. C’était fantastique, elles étaient l’une et l’autre fusionnelles, tous leurs gestes allaient à la rencontre de l’autre. Leurs mains, leurs visages, leurs corps tout entier cherchait, et trouvait, ce contact tant recherché. Elles étaient dans leur monde à elles, où personne d’autre n’avait sa place. Pour le moment. Je me suis simplement écartée pour les laisser à leur bonheur. Ces deux-là s’étaient trouvées, elles n’étaient pas près de se lâcher. J’avais été uniquement le lien entre elles deux, le point de jonction. Le petit coup de pouce du destin, sans quoi rien n’est possible. Avant d’aller m’asseoir sur le canapé, je défis l’attache de la jupe de la jeune apprentie qui glissa doucement au sol. J’admirais ces deux corps qui se déchaînaient, l’un contre l’autre. L’un avec l’autre. Tout n’était que recherche du plaisir de l’autre, et réciproquement. Et c’est là où ce couple était sublime. Ce n’était que partage et amour. Se donner entièrement à l’autre. Justine avait fini par se frotter sur la cuisse de Fanny. Je voyais cette cuisse qui brillait sous les lumières. Elles ont fini par jouir intensément, ensemble. Prodigieusement heureuses l’une et l’autre. Justine embrassait tout le visage de sa patronne. L’une et l’autre avait complètement oublié ma présence. Puis, Justine m’a regardée intensément. Fanny a juste tourné son visage vers moi. Elle s’est levée pour se jeter dans mes bras, m’embrassant à pleine bouche, sans aucune honte, désormais. Avant de s’asseoir près de moi sur le canapé. Justine nous à rejointes mais elle est restée debout, devant nous, nous laissant admirer sa plastique formidable. Jusqu’à ce que Fanny lui fasse signe de s’approcher.

Elle posa tranquillement ses mains sur les hanches de la jeune apprentie et attrapa sa culotte, son dernier rempart. Justine savait ce qu’elle voulait et elle la laissa descendre sa culotte jusqu’aux chevilles. Elle aida ensuite la jeune ingénue à se débarrasser du morceau de tissu qui entravait ses chevilles et l’aida à monter, debout sur le canapé, ses pieds de part et d’autre de ses cuisses. La chatte luisante de Justine était maintenant à portée de bouche et Fanny ne se posa aucune question. Elle embrassa l’objet de ses désirs et Justine se laissa lutiner par sa patronne. Elle posa ses mains sur le mur, face à elle et se laissa porter par le plaisir qui montait en elle. En offrant son palais merveilleux à Fanny, elle offrait en même temps, à qui en voulait bien, son magnifique postérieur. Je me plaçais derrière elle et je lui offris sa première feuille de rose. C’est comme ça que l’on dit. Justine était évidemment très réceptive à nos caresses et se laissa de nouveau emporter par un véritable tsunami. Elle aspergea le visage de Fanny de cyprine odorante. Avant de s’écrouler près d’elle sur le canapé. Le visage de Fanny en était recouvert et je m’empressais de la nettoyer. Avec ma langue, évidemment. Sa poitrine aussi avait reçu le même hommage et je la nettoyais avec le même entrain.

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