La chaleur du feu de cheminée, tout comme ses caresses, eurent tôt fait de me réchauffer totalement. Il me tourna, face à lui, ma tête retrouva son torse musclé, et ses mains retrouvèrent mes fesses. Je le laissais me peloter un moment avant de lui demander si on pouvait s’asseoir. Il me guida vers son fauteuil, s’installa et m’attira sur ses genoux. Ses mains reprirent aussitôt possession de mes seins, par-dessus mon pull. Je sentais pertinemment qu’il bandait, contre mes fesses, mais je n’en tenais aucun compte. Il devait toujours se demander pourquoi j’étais venu chez lui, ce n’était certainement pas uniquement pour me laisser peloter par lui. Il savait bien sûr que j’étais encore mineure, et les risques qu’il encourait s’il voulait aller trop loin. Il profitait donc de ce que je lui offrais, complaisamment, sans demander beaucoup plus. Dans la torpeur qui commençait à m’envahir, je réussis enfin à m’expliquer sur le but de ma visite, aujourd’hui.
« Jessica, ma meilleure amie, tu la connais ? C’est bientôt son anniversaire, elle va fêter ses 17 ans, et je cherchais ce que je pouvais lui offrir pour fêter ça dignement. Quand j’ai entendu parler de « La Grange », je me suis dit que c’était l’endroit idéal. Je sais que ce lieu est fermé depuis longtemps et qu’il va falloir passer du temps pour le nettoyer. Mais ma mère et ma petite sœur ont proposé de m’aider. Si tu es d’accord pour que j’y organise cette fête que je veux inoubliable pour Jessica ».
Il avait cessé ses caresses et semblait réfléchir. Puis, ses mains cherchèrent à s’engouffrer sous mon pull. Je laissais faire, encore une fois, tant qu’elles se dirigeaient vers ma poitrine. Il semblait réfléchir encore, ou bien voulait-il simplement faire durer le suspense, et le plaisir. Ses mains atteignirent leur but et recommencèrent leurs caresses, plus précises, seulement bloquées par l’épaisseur de mon maillot de corps et le soutif. Il faisait rouler mes tétons entre ses doigts, ou dans sa paume, ils devenaient très durs sous les caresses. Il y prenait vraisemblablement énormément de plaisir, si je me fiais à la bosse qui grossissait contre mes fesses. Il se mit à écarter ses genoux, m’obligeant moi-même à écarter mes cuisses au maximum. J’étais complètement écartelée, entièrement à sa merci, mais il resta correct envers moi. Il ne chercha pas à prendre plus que je ne voulais donner. Sa réflexion venait, semble-t-il, d’aboutir. Il lui faudrait évidemment faire quelques travaux d’aménagement pour remettre l’électricité aux normes de sécurité, et tout nettoyer, repeindre les murs à la chaux. Je réagis à ses propos en lui affirmant que je pourrais venir aider, pour le nettoyage et la peinture. J’en avais parlé à ma mère et elle aussi viendrait m’aider, ainsi que ma petite sœur. Il n’avait plus d’objections à formuler et me proposa, à regret, d’aller visiter cet antre.
Il se saisit d’une clé, accrochée au tableau, près de la porte d’entrée et nous sommes allés directement jusqu’à la grange. J’étais si pressée que j’étais sortie sans mon manteau. Il ne faisait pas trop froid mais l’humidité me fit frissonner. La chaleur du feu de cheminée et les effets des caresses venaient de s’estomper. La grande pièce de vie pouvait allégrement contenir une quarantaine de personnes, une estrade était disposée dans un angle pour la sono et le DJ. La seconde pièce, plus petite, sans doute une chambre transformée en bar, devait elle aussi être nettoyée, et repeinte. Ce n’est que dans le bar que Roland remarqua que je frissonnais. Il posa ses grosses mains sur mes hanches et me souleva facilement, me déposant sur le bar. Il s’avança entre mes cuisses, que je dus écarter, avant de commencer à soulever mon pull. J’avais froid mais à l’idée qu’il allait enfin voir mes seins, que peu de personnes avaient vu jusque-là, me donna une bouffée de chaleur. Il avait glissé ses doigts sous le maillot et il progressait lentement sur mon ventre. Ses mains arrivèrent à leur but mais il en voulait visiblement plus. C’est moi-même qui pris l’initiative d’ôter pull et maillot, lui offrant la vue de mes seins, emprisonnés dans le soutif. Ses lèvres vinrent embrasser le peu de peau qui était visible mais ses mains étaient déjà dans mon dos, s’attaquant à l’attache de mon dernier rempart. Il fit glisser tendrement les bretelles le long de mes bras tandis que sa bouche gourmande prenait possession de ma poitrine, ainsi exposée. Pendant de longues minutes, ce ne furent que gémissements et soupirs, des bruits de succion emplirent la pièce. Il s’écarta de moi un petit instant très court, histoire de se remplir les mirettes du spectacle que je devais lui offrir.
Il remonta ma jupe, jusqu’à la taille et put enfin apercevoir ma petite culotte, et les traces d »humidité sur le devant que je ne pouvais cacher. Il me contempla quelques instants, avant de reprendre mes tétons en bouche. J’avais désormais tout loisir de me doigter librement, et je ne me fis pas prier. Mon plaisir arriva à son paroxysme lorsqu’il serra ses dents sur l’un de mes tétons. La peur d’être mutilée se mélangea à un plaisir malsain et je jouis abondamment, comme rarement avant cela. Ses mains continuaient à martyriser mes tétons mais sa bouche vint récolter mes effluves, en léchant le devant de ma culotte. Je ne lui en donnais pas plus mais il était au bord des larmes lorsqu’il leva à nouveau les yeux sur moi. Je venais, en quelques heures, de lui offrir plus de plaisir qu’il n’en avait eu en quelques années. Il avait certainement eu des rapports intimes avec des femmes du village, mais ce que je venais de lui offrir dépassait toutes ses espérances. Il m’aida à redescendre du bar, trop haut pour moi pour que je saute sans risque de me faire mal. Je remis mon soutien-gorge, mon maillot de corps et j’enfilais finalement mon pull-over sous son regard satisfait. De retour dans sa maison, je repris mon manteau avant de monter sur mon vélo. Je lui promis de revenir très vite pour le nettoyage et les travaux, et je le quittais en lui disant : « à lundi, dans le bus ».