Entre une femme adulte et une jeune fille encore innocente. Mais elle avait une telle soif d’apprendre que cela ne la dérangeait pas du tout. De plus, elle recevait autant de plaisirs qu’elle en donnait, tout en apprenant à connaître et à maîtriser son propre corps. Et bien sûr, ce qui devait arriver arriva. Elle se mit à saigner abondamment entre ses cuisses. Théodora prit immédiatement son tee-shirt pour étancher l’écoulement. Elle la rassura en lui précisant que cela arrivait à chaque femme, au moment de la puberté, et que cela continuerait pendant plusieurs années, une fois par mois. Théodora resta avec elle pour un tendre câlin jusqu’au réveil de sa fille. Elle expliqua alors aux deux jeunes filles ce qu’étaient les menstruations et les conséquences qui pouvaient en découler, pour les jeunes filles impatientes, inconscientes ou mal informées. Et, évidemment, Eleni tenait à voir par elle-même cette cicatrice désormais ouverte.
C’était une première expérience d’exhibitionnisme pour Myriam, devant deux personnes qui l’avaient déjà vue entièrement nue. Mais là, elle exposait son sexe aux yeux de son amie qui l’étudiait comme un cobaye. Théodora profita de l’occasion qui lui était donnée pour déshabiller entièrement la jeune fille et caresser ses seins voluptueusement. En même temps, elle expliquait que la poitrine pouvait se développer plus rapidement maintenant qu’elle était formée et que, des caresses régulières seraient nécessaires. C’était la première fois, et la seule fois, à la connaissance de Myriam, qu’Eleni put voir sa maman peloter son amie. Les années passaient et se ressemblaient. Il y eut bien une période où Eleni semblait plus jalouse de la relation entre sa mère et sa meilleure amie. Sans doute espérait-elle encore avoir autant de poitrine que son amie. Puis, vu qu’elle était très jolie, et intelligente, elle comprit que, pour elle, cela aurait été un handicap et elle se consacra plus ardemment à son but ultime, devenir mannequin. Myriam l’accompagnait souvent dans ses castings ou les séances photo. Les différents photographes qu’elles ont rencontrés étaient tous tournés vers le charme et la beauté d’Eleni. Mais les hommes tentaient presque tous de faire poser Myriam et surtout, de l’inciter à se montrer plus sexy, plus …
Plus par défi qu’autre chose, elle a accepté, deux ou trois fois, de poser pour des photos mais n’accepta jamais d’ôter le moindre vêtement, au grand dam de ces messieurs. De me raconter une partie de sa vie lui avait, semble-t-il, échauffé les sens. Elle était restée torse nu, tout comme moi, et ses mains avaient tendance à vouloir caresser ses seins voluptueux. Il était déjà tard mais la chaleur ambiante était encore très élevée. Je proposais, sans trop y croire, de retourner nous baigner dans l’étang. La plage s’était vidée depuis déjà un bon moment. Seules restaient, au loin, les lumières du restaurant encore ouvert. Myriam hésitait à me répondre mais Rena avait entendu et elle supplia sa mère d’accepter et de les accompagner. Myriam ne pouvait rien refuser à son trésor et elle finit par se lever. Elle voulut remettre le haut de son maillot mais je lui fis remarquer que maintenant, nous étions toutes seules. Et que, dans la nuit, personne ne viendrait nous observer. Convaincue, elle prit ma main et me suivit jusque dans l’eau. Le fond de l’étang était presque plat et nous n’avions pas envie de marcher loin dans l’eau pour nous tremper. Quand l’eau nous arriva à la taille, nous nous sommes mises à genoux. Seules mes épaules émergeaient, Myriam, qui était légèrement plus grande, ne pouvait cacher entièrement sa poitrine.
J’étais tout près d’elle et je positionnais ses deux bras juste en-dessous de ses seins. Ainsi, les tétons étaient juste au-dessus de la surface et, en me penchant en avant, je pouvais les gober un à un. Elle se laissait faire et elle en ressentait un immense plaisir, se remémorant les tendres moments passés dans les bras de Théodora. Un coup d’œil vers les filles pour voir que Céliane avait baissé la culotte de sa copine et la doigtait habilement, tout en l’embrassant parfois. Myriam était vraiment docile, et soumise, et cela me plaisait énormément. Je baissais également sa culotte pour atteindre son intimité, elle ouvrit simplement les jambes un peu plus. Mais j’avais envie de jouer avec elle, avec ses nerfs. Je la regardais droit dans les yeux pour lui poser la question.
« Myriam. Est-ce que tu as confiance en moi ? Une totale confiance ? Alors ferme les yeux et garde les fermés jusqu’à ce que je te demande de les rouvrir. Tu veux bien ? »
Elle accepta évidemment et ferma ses yeux, en toute confiance. Je lui demandais de se retourner face à la plage, tout en gardant les yeux fermés. J’avais désormais mes seins qui se frottaient contre son dos. Je continuais à caresser ses seins et sa chatte. Elle était toute à moi et j’en profitais pleinement. Enfin, je mis mon plan à exécution.
« Myriam. Je te demande de bien garder tes yeux fermés. Je crois que quelqu’un nous regarde depuis la plage. Oui, c’est bien ça. Il sait que je l’ai vu et il ne se cache même plus. C’est un jeune homme, un beau jeune homme même je dirais. Il est brun, musclé et plutôt bronzé. Il vient vers nous. Surtout, ne bouge pas. Ne dis rien et, par-dessus tout, garde bien tes yeux fermés. C’est très important. Il ne sait pas qui tu es et toi non plus, et ça doit rester ainsi. Tu me comprends, ma chérie ?
Elle bougea la tête en signe d’acceptation. Je continuais.
« Il est maintenant tout près de nous, de toi. Il regarde ta magnifique poitrine et mes mains qui la malaxent. Il voudrait certainement caresser tes seins lui aussi, mais ne t’inquiète pas, je suis là pour te protéger, pour te défendre. Il est à moins d’un mètre, maintenant. Tu as bien dû sentir l’eau qui bougeait un peu plus que d’habitude ».
Elle acquiesça encore une fois.
» Ne bouge surtout pas la tête, ma chérie. Sa queue est presque à portée de ta bouche. Je lui ai demandé de sortir sa queue du maillot. C’est un très beau membre. Tu aimerais sans doute l’avoir dans ta bouche. Ou bien ailleurs »