« Je dois te dire. J’ai adoré ce que nous avons fait, tout à l’heure et … Ce n’était pas une première fois pour moi. »
Après un aveu comme celui-ci, je ne pouvais que rester et attendre la suite. Car, évidemment, elle avait envie, et besoin, d’en parler. Elle m’avoua également que c’était la première fois qu’elle en parlait à quelqu’un. Seule elle et son initiatrice étaient au courant de cette relation. C’était il y a bien longtemps, lorsqu’elle était encore toute jeune fille. Elle vivait à Chypre et sa meilleure amie se nommait Eleni. Ce qui était super, c’est qu’elles étaient voisines. Si bien que Myriam passait énormément de temps chez Théodora, la maman de son amie. Elles allaient à l’école ensemble et le mercredi, elles jouaient au football. En rentrant à la maison de son amie, c’était douche obligatoire pour les deux jeunes filles. Et Théodora était là pour les savonner. Myriam se laissait laver comme si elle était sa propre mère, bien que, chez elle, elle se lavait toute seule depuis déjà quelques temps. Mais c’était agréable que quelqu’un prenne soin d’elle. Sa mère travaillait beaucoup et n’était pas souvent là. Et Théodora la remplaçait à merveille. Mais, en grandissant, son corps changeait et elle devenait une petite femme, avec des formes opulentes alors qu’Eleni gardait son corps de petite fille bien sage.
Elle faisait parfois la sieste chez son amie, chacune sur un lit, proches l’une de l’autre. C’est donc un de ces fameux après-midi où il faisait si chaud qu’elle s’endormit sur son lit. Un sentiment de bien-être, de béatitude, l’habitait. Elle se réveilla en sueur. Théodora était allongée contre elle. C’était plutôt inhabituel et c’était la première fois. Mais, ce qui l’avait réveillée, c’était la main de cette femme qui caressait doucement sa poitrine, directement à même la peau. Elle avait profité qu’elle était endormie pour glisser sa main sous son maillot et atteindre ses seins merveilleux. Myriam était fortement gênée par cette caresse mais elle était incapable de lui dire d’arrêter. D’abord parce qu’elle craignait de réveiller Eleni, et ensuite car cela lui procurait des sensations encore inconnues. Et tellement agréables. Chaque jour, elle revenait voir son amie. Elle savait que l’heure de la sieste approchait. Elle redoutait ce moment-là mais elle était incapable de l’éviter.
Eleni endormie, Théodora venait la rejoindre et il ne lui fallait pas longtemps pour la déshabiller entièrement. Elle la plaçait alors sur son ventre, pouvant ainsi caresser ses fesses et téter sa poitrine qui devenait impressionnante. Myriam avait déjà remarqué que les hommes, les garçons en général, s’adressaient plus facilement à elle qu’à son amie. Elle en avait déduit d’elle-même que c’était justement grâce à son exubérante poitrine qui lui apportait autant de succès.
Son amie n’en était pas jalouse, pas encore, car elle espérait elle aussi avoir une jolie poitrine. D’ailleurs, elle avait remarqué que, lorsqu’elles prenaient leur douche ensemble, Eleni ne pouvait détacher son regard de l’imposante poitrine. À tel point qu’un jour, Myriam prit les poignets de son amie et posa ses petites mains directement sur sa poitrine. Après un bref moment de recul, Eleni reposa ses doigts sur les deux protubérances et commença à les malaxer savamment. Théodora entra dans la salle de bains à ce moment-là et observa sa fille pelotant son amie. Toute à son occupation, celle-ci n’avait pas vu que sa maman était revenue. Myriam, oui, et elle comprenait à quel point sa poitrine faisait des envieux, en voyant le regard exorbité de la maman de sa jeune complice. Une tape dans ses mains et Théodora demanda aux filles de se tourner pour qu’elle puisse laver leur dos, leurs fesses. Eleni eut un petit sursaut lorsqu’elle sentit le bout d’un doigt pénétrer son petit trou. Myriam avait vu et, juste après, eut droit au même traitement. Sous prétexte de propreté, Théodora se permettait des privautés que les deux jeunes filles ne pouvaient refuser.
Même si cela était gênant, ce geste leur apportait une sensation indéfinissable et tellement envoûtante qu’il leur était impensable de s’y refuser. Presque, elles auraient même envie de la réclamer, si jamais Théodora oubliait de la pratiquer. Quand elles en ont parlé ensemble, Eleni trouvait tout cela normal, puisqu’elle n’avait connu rien d’autre. Myriam savait que les autres filles de son âge se lavaient toutes seules et que ce geste, si agréable soit-il, n’était guère approprié entre une mère et sa fille, ou même l’amie de sa fille. Il faisait très chaud cet été-là et, chaque jour, après la douche, c’était l’heure de la sieste. Théodora avait placé un paravent, plutôt bas, entre les lits des deux filles pour éviter qu’elles ne discutent. Une fois Eleni endormie, ce qui arrivait très vite, Théodora venait se blottir contre Myriam qui l’attendait patiemment. Au bout de quelques jours, elle avait fini par ôter son grand tee-shirt et se retrouvait presque nue contre le corps de Théodora. Celle-ci apprécia l’initiative et remontait sa jupe à son tour, si bien que son pubis fourni se frottait sur la petite chatte imberbe de Myriam, avec seulement deux petites épaisseurs de tissu.
Voyant que la jeune fille était très réceptive à ses caresses, Théodora poursuivit l’éducation de celle-ci. Après lui avoir ôté son dernier rempart, elle l’a plaça tête-bêche au-dessus d’elle. Les premières fois, c’était elle uniquement qui léchait la jeune fente. Puis, le désir devint plus fort et elle releva sa propre jupe, permettant à la jeune fille de découvrir sa culotte, des dessous, son odeur toute particulière. Myriam était encore jeune et inexpérimentée, elle posa simplement sa joue sur le pubis. La femme, excédée par son attentisme, finit par baisser elle-même sa culotte et força la petite bouche entre ses cuisses. Le message était on ne peut plus clair et Myriam tenta, et réussit au bout de quelques essais, de reproduire ce que Théodora lui faisait. Très vite, elle y prit goût et elle attendait avec impatience le moment de la sieste. Elle avait très bien compris que cela n’était pas habituel, entre une mère et sa fille.