Isabelle (03/16)

Une porte qui s’ouvre en craquant un peu. Juste un peu. Charlène, dans un demi-sommeil, fut certaine que quelqu’un était entré dans la chambre. Elle se redressa un peu et ses yeux s’habituèrent à l’obscurité. Elle vit bien une forme s’approcher d’elle. Elle allait crier quand elle reconnut le parfum. Anne. Elle était tout près.

« Chuttttt ».

« Tu me fais une petite place? ».

Charlène se resserra près de Lucie pour la laisser entrer sous la couette.

« Tu m’as tellement bien faite jouir tout à l’heure que je voulais te remercier, à ma manière ».

« Et je suis sûre que tu n’attends que ça ».

Elle joignit le geste à la parole et, comme elle s’en doutait, Charlène se laissa faire, entièrement offerte. Elle commença par lui ôter sa culotte, puis son tee-shirt. Puis elle plongea sur la poitrine menue de la jeune fille. Elle téta les petits seins, sentant les tétons durcir sous sa langue. Les jambes bien écartées accueillirent la main fouineuse. Instinctivement, sa main gauche s’engouffra sous la culotte de Lucie et tenta de reproduire les caresses que la jolie Anne lui prodiguait. Rapidement humide, Lucie voulut lui rendre la pareille et sentit une main étrangère. Anne, voyant qu’elle était réveillée elle aussi se plaça entre les deux filles. Mais continua ses caresses sur les seins de Charlène. Lucie, se mêlant à la fête, défit le soutif d’Anne et commença à lui peloter les seins. Elle ne mit pas longtemps pour gémir sous les caresses. Puis, elle descendit sa culotte avant de l’ôter entièrement. Elle se mit complètement nue à son tour. Elle se leva, jeta la couette sur le sol avant de plonger entre les cuisses d’Anne. Elle rapprocha les pieds de ses fesses, lui écartant les cuisses au maximum.

Allongée sur le dos, totalement offerte, Anne gémissait sous la langue de Lucie. Charlène, elle, s’attaqua à la poitrine de la jeune coquine. Elle ne tarda pas à jouir sous les caresses cumulées. Charlène se plaça au-dessus de sa bouche, lui offrant sa chatte à lécher. Anne ne se fit pas prier pour rendre à Charlène ce que Lucie lui avait donné. Puis, c’est Lucie qui vint prendre la place et Charlène entre les cuisses toujours grandes ouvertes d’Anne. Elle jouit une nouvelle fois sous la bouche gourmande de la jeune fille. Lucie jouit à son tour sur le visage d’Anne et s’écroula sur le lit. Charlène plongea direct entre ses cuisses et la fit jouir à nouveau en quelques minutes. Seule Charlène n’avait pas jouit encore. Elle fut très rapidement comblée par Anne, déchainée entre ses cuisses. Enfin un peu de repos pour les trois coquines. Anne au centre du lit, toutes s’endormirent très vite.

Il faisait déjà jour quand Lucie se réveilla. Elle put admirer le corps parfait d’Anne, tout contre elle. Elle promena ses doigts autour du galbe de ses seins sublimes. Sa langue repartit à la découverte de sa fente, son bouton d’amour qui pointait déjà. Elle mouillait dans son sommeil, la coquine. La langue écarta les lèvres intimes pour y récolter le jus du plaisir. Charlène se réveilla à son tour et accompagna sa complice dans un cunnilingus à deux langues.  Anne se réveilla enfin  pour profiter pleinement du plaisir que lui donnaient les deux coquines. Elle ne put s’empêcher de crier quand la vague la submergea. Mais elle récupéra aussitôt pour plonger entre les cuisses de Charlène qui les écarta au maximum. Voyant son petit cul bien relevé, Lucie lui caressa les fesses, tournant autour de sa rosette qui frémissait. Puis ce furent des baisers humides sur les fesses offertes, avant que la langue ne s’approche de son trou du cul. Anne voulut se dégager, refusant cette caresse qu’elle trouvait sale. Mais Lucie la tenait bien et la langue s’engouffra dans l’anus de la belle Anne. Dès que les va et vient commencèrent, Anne lâcha prise et se laissa emporter par ce nouveau plaisir.

Lucie lapait aussi bien la chatte que l’anus, passant de l’un à l’autre. D’une main habile, elle réussit à attraper son gode dans son sac. Tout en la doigtant d’une main, elle approcha le gode du trou du cul qui semblait attendre d’être rempli enfin. Lucie, coquine, le plaça juste à l’entrée. Et attendit. C’est Anne, par ses mouvements, qui finit par le faire entrer. Il fut comme aspiré jusqu’à mi longueur. Lucie continua la progression doucement, sortant un peu pour rentrer plus loin. Arrivée au bout, elle ne bougea plus, laissant la jeune fille s’habituer à cet intrus. Puis elle entama de lents va et vient dans l’anus en feu. Puis accélérera, jusqu’au feu d’artifice final. Aucun son ne put sortir de sa gorge, tellement l’orgasme fut violent. Ah, elle s’en souviendra longtemps de ses 20 ans.

Elle s’écroula sur le lit, inerte. Les deux filles la cajolèrent encore un peu, profitant de ce sublime corps offert. Puis, ensemble, elles prirent une douche bien méritée. Encore des caresses en se lavant l’une l’autre, ou en s’essuyant. Puis, elles rejoignirent les autres pour un petit déjeuner réparateur. Après le chargement de la voiture, c’est la maman d’Anne qui raccompagna les deux filles. Embrassades en se quittant et échange de numéros de téléphone. Et une dernière fois, une main baladeuse d’Anne sur les fesses de Charlène. C’est Charlène qui prit le temps de tout me raconter en détails en rentrant chez elle et, pour valider ce que j’ai écrit, je lui ai demandé de me relire ensuite. Ce qu’elle fit, comme vous je suppose, une main dans sa culotte. Je vous rassure, je suis pareille. Et j’ai eu autant de plaisir à l’écrire, qu’à le relire avec elle. Elle me demanda d’intervenir auprès de la mère de Lucie ou, du moins, d’être présente quand elle ferait elle-aussi son coming out. J’acceptais, bien évidemment. Elle avait attendu le soir pour me raconter sa soirée, couchées toutes les deux dans son grand lit. Mais je sentais bien que quelque chose la chagrinait. Pensant que cela avait un rapport avec ce qu’elle venait de me raconter, je vins au-devant de ses questions en la rassurant.