Il respira un grand coup lorsqu’enfin, Céliane avala entièrement son gland. Elle ne pouvait pas beaucoup plus mais c’était déjà bien plus qu’elle n’aurait dû. J’attrapais la petite culotte et la fit glisser le long des cuisses juvéniles. Céliane, qui nous avait déjà vus faire, se plaça tête-bêche au-dessus de son père et il ne put résister à l’envie de goûter cette petite fente imberbe. Avec mille précautions. C’était sa fille, tout de même ! Je pense que c’est le trop plein d’émotions conjuguées qui l’a fait éjaculer aussi rapidement. Céliane, qui n’était pas préparée à une telle douche, reçut la semence en plein visage, après en avoir avalé une bonne dose. Malgré tout, elle gardait la queue serrée dans ses petites mains et dirigeait le jet vers elle. Son père reçut à son tour la première jouissance de sa fille en plein visage et continua à lécher cette fente infantile jusqu’à ce que la source soit tarie.
Céliane se rallongea ensuite entre nous deux et reprit mes seins en bouche. Jérôme s’était tourné vers moi pour voir ce qu’elle faisait et sa queue redevint toute dure au contact des petites fesses de sa fille chérie. Par contre, il ne pouvait pas, il ne devait pas prendre l’initiative. Si quelque chose devait arriver, c’était à Céliane de prendre la queue de son papa et de la positionner là où elle le souhaitait. En désespoir de cause, il se leva pour faire le tour du lit et c’est dans mon cul qu’il a pénétré. Quand il a fini par jouir intensément dans mes entrailles, il s’est allongé derrière moi et nous lui avons fait une petite place.
Exténué par autant de plaisirs, il s’est endormi rapidement. Comblée comme je l’ai été, je n’ai pas tardé à le rejoindre entre les bras de Morphée. Je me suis réveillée en pleine nuit, j’ignore l’heure qu’il était. Céliane n’était toujours pas rassasiée et elle était allongée sur moi et frottait son pubis contre le mien. J’ai posé mes mains sur ses petites fesses et, bien serrée contre moi, nous avons réussi à jouir en même temps. Elle s’est endormie, enfin calmée et repue de plaisirs. Mais elle était la première réveillée et elle était en train de me téter amoureusement lorsque je me suis réveillée à mon tour. Je l’ai serrée contre moi en posant ma main sur ses petites fesses. Le mâle qui dormait derrière moi n’a pas tardé à se durcir et sa queue s’est tout naturellement logée entre mes fesses. Il n’a pas eu à forcer énormément pour me pénétrer à nouveau. Prise en sandwich entre le père et sa fille, j’étais au paradis, surtout que Céliane avait glissé sa main entre nos corps et me doigtait habilement. J’ai joui intensément de cette double sollicitation et il me fallait impérativement prendre une douche juste après. Le père et sa fille m’ont rejointe sous la douche et nous nous sommes caressés, tout en nous lavant mutuellement. C’est totalement nus que nous avons pris notre petit déjeuner.
Jérôme a appelé sa femme pour la rassurer et lui dire qu’il se préparait à partir. Lorsque j’ai senti une hésitation dans sa voix, je me suis penchée sous la table. Céliane avait attrapé la queue paternelle et elle branlait son père comme si de rien n’était. Excitée à cette vision, je me glissais sous la table et je le pris en bouche. Il était toujours au téléphone avec Ingrid mais il ne parlait plus que par onomatopées. Il m’a tapissé le palais avant de raccrocher finalement, un dernier bisou à sa femme chérie. Il a sauté de sa chaise pour me relever.
Il semblait en colère mais il n’en était rien. Il m’allongea sur la table de la cuisine et commença à me donner une bonne fessée. Mais très vite, ce ne furent que caresses et doigtages habiles combinés. Sa queue avait retrouvé toute sa vigueur et il m’a empalée sans ménagement. J’étais sur mon petit nuage, profitant pleinement de cet instant magique. Je devais avoir un visage complètement hébété car Céliane me regardait bizarrement. Un étrange sourire éclairait son visage. Mais ça, je n’en suis pas trop sûre, je l’ai sans doute imaginé. Jérôme est reparti après une légère toilette, nous laissant nues toutes les deux. Céliane m’a presque poussée jusqu’à ma chambre et elle a profité de mon corps jusqu’à midi passé. Elle avait sorti tous mes jouets et s’en servait avec beaucoup d’assurance, pour une jeune femme de 13 ans. J’ai bien écrit « jeune femme » car c’est ainsi qu’elle se voit et elle n’accepte plus que je dise » jeune fille « . Elle est une femme, ou elle le deviendra très bientôt. Nous avons passé l’après-midi sur mon canapé, devant la télé. J’avais sorti un DVD que j’avais envie de visionner à nouveau. Elle continuait à jouer machinalement avec mon corps que je lui abandonnais volontiers. Par contre, j’avais encore un peu de mal à prendre des initiatives, pour la caresser notamment. Je savais qu’elle attendait des gestes plus directs mais je n’osais pas encore.
Nous étions en Juillet et c’était la pleine période des soldes. Ce lundi, j’avais prévu de l’emmener faire les magasins du centre-ville. Des boutiques sympas pour les jeunes femmes comme elle. Habillées léger, nous avons marché jusqu’à la place du ralliement avant de redescendre vers le centre commercial Fleur d’eau. Ballade dans les rues élargies pour le passage du tramway, c’est en sortant d’une grande enseigne de vêtements que je retrouvais face à l’autre grande enseigne, française celle-ci, où m’avait entraînée Clothilde l’an passé.
C’est avec une certaine émotion que j’entrainais Céliane à me suivre dans les étages de ce grand magasin. Pas vraiment aux goûts de ma petite princesse, les vêtements proposés. J’avais noté, par contre, que les sous-vêtements de ma nièce étaient beaucoup trop sages pour une jeune femme au tempérament de feu. Elle me suivit dans le dédale des allées et j’arrivais enfin au but. Aurore, la vendeuse, était bien là à son poste. Elle me sourit en me voyant, puis sembla surprise par la présence de Céliane.