Je me faisais de nouveau peloter par ma mère et j’adorais ça. Elle aussi, semble-t-il, je voyais ça à la fébrilité de ses gestes. Ce qui changea, ce matin-là, c’est quand elle me donna le gel douche à son tour. Je n’osais comprendre. Cette fois-ci, ce sont mes mains qui sont devenues fébriles en caressant les mamelles qui m’étaient ainsi offertes. Nous n’étions plus que deux adolescentes qui se découvraient mutuellement. Ce n’était que caresses et bisous. Un moment fort qui restera à jamais gravé dans ma mémoire. On a fini par se laver et se sécher l’une l’autre avant un petit déj copieux.
C’était la deuxième semaine après le déconfinement, j’avais fini les cours et maman était en télétravail. Pour le petit déj, et même après, elle avait gardé sa chemise de nuit assez courte et toujours rien dessous. Quand elle passait près de moi, son téléphone portable à l’oreille, j’en profitais parfois pour glisser une main indiscrète sous son vêtement. Elle me grondait gentiment du regard, mais n’esquivait pas les caresses que je lui prodiguais. C’était le plus souvent sa poitrine qui m’attirait mais je n’ignorais ni ses fesses rebondies, ni sa fente juteuse à souhait. Car je dois dire qu’elle était dans un état d’excitation extrême et permanent. Et j’adorais ça. Les deux jours, et surtout les deux nuits, qui ont suivis ont été merveilleux. Jusqu’à notre séparation, ce matin.
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Rosalie m’avait raconté tout cela sans s’arrêter. Jérôme revenait tranquillement avec sa fille. On allait très vite reprendre la route. Je voyais parfaitement que Rosalie était très excitée après son récit. Je prévins mon frère que je devais aller aux toilettes avant de partir. Un clin d’œil à Rosalie qui me rattrapa avant la porte des WC. Elle s’engouffra dans la cabine « handicapé » et m’attira derrière elle. Je baissais ses leggings et string et, accroupie devant elle, je léchais délicatement sa petite chatte odorante et frétillante. Son clito s’érigea immédiatement et je pus lui rendre un tendre hommage. Rosalie avait posé ses deux mains sur ma tête et elle resta immobile jusqu’au moment où l’orgasme la terrassa.
Je me relevais, la bouche encore pleine de sa mouille, et l’embrassais copieusement, partageant avec elle les effluves de son propre plaisir. Nous n’avions pas le temps nécessaire pour qu’elle me rende la pareille mais je savais que ce n’était que partie remise. Nous avons donc repris la route et, après quelques arrêts, nous sommes finalement arrivés au gite que Jérôme avait réservé. Nous avons déjeuné après s’être installés et, dans l’après-midi, nous sommes allés voir notre cousine qui attendait notre venue.
Nous avons donné des nouvelles de nos parents qui n’avaient pas pu venir. Elle nous a annoncé que, le soir-même, une soirée était organisée. Deux soirées distinctes en fait. Une avec tous les hommes invités au mariage, une autre avec seulement les femmes, auxquelles nous étions conviés, bien évidemment. Pas de chichis, juste une soirée entre filles. Jérôme était un peu déçu mais cette soirée lui permettrait d’apprendre à connaître le jeune marié et de se sentir moins isolé le jour du mariage. Pareil pour Rosalie et moi. Céliane s’était déjà fait une amie de son âge et elles jouaient tranquillement dans la pièce voisine. J’aurais bien voulu être une petite souris, juste quelques instants, pour écouter ce qu’elles se disaient.
Des amis du marié sont passés prendre Jérôme qui a dû se résigner à nous quitter. Une des tantes de la jeune mariée, Chantal, est arrivée juste après. C’était, il me semble, la sœur de la mère de la mariée. Elle l’avait presque élevée, n’ayant pas eu d’enfants elle-même. C’était elle principalement qui faisait la babysitter quand les parents travaillaient. Une grande complicité semblait les unir toutes les deux. Un secret aussi, peut-être ? Qui sait ? Chantal, voyant que la jeune mariée était très entourée, se rapprocha un peu plus de nous, et de Rosalie en particulier. Très vite, elle réussit à poser une main sur le genou de la jeune fille. Puis elle remonta sur la cuisse. Je fus appelée à ce moment-là par la mariée et je dus les laisser quelques instants.
La mariée nous entraîna, quelques amies et moi-même, dans sa chambre pour faire quelques essayages. Elle se déshabilla presque entièrement, restant seulement en culotte et soutif, et essaya différentes tenues. Nous devions lui donner notre avis sur chacune des tenues portées. Elle avait un corps splendide et se promenait quasiment nue devant nous sans aucune pudeur. Elle remarqua que nous avions à peu près la même corpulence et que ce qui lui allait pouvait tout aussi bien être porté par moi. Elle me proposa donc d’essayer une robe splendide. Je n’avais pas d’autre choix que de me déshabiller devant elles. Sauf que je ne portais pas de soutif. C’est donc seins nus qu’elles m’ont aidé à m’habiller.
Je compris très vite que cela n’était qu’une excuse pour poser leurs mains sur moi. Et bien soit ! Je me laissais dorloter avec grand plaisir par toutes ces mains avides. Puis ce fut le tout d’une autre jeune femme et je me prêtais au jeu, moi aussi. Caressant chaque partie de son corps que je pouvais atteindre. Tout cela restait bien innocent, mais c’était très excitant. Je trouvais dommage que Rosalie ne soit pas là avec nous. Elle aussi aurait apprécié les caresses, celles reçues et celles données. Prétextant un besoin urgent, je réussis à m’éclipser quelques instants.
Pas de Chantal ni de Rosalie sur le canapé où je les avais laissées. Je me dirigeais donc vers les toilettes quand un bruit bizarre attira mon attention. La porte de la chambre était restée entrouverte et je pouvais voir Rosalie, à genoux devant Chantal qui avait relevé sa robe par-dessus la tête de ma chère cousine. Et elle s’en donnait à cœur joie, léchant cette chatte mature qui semblait habituée à de tels débordements. Je l’imaginais, babysitter, avec la jeune mariée encore jeune fille innocente, lui apprenant les secrets du corps féminin. J’aurais pu interrompre les deux partenaires pour me joindre à elles mais finalement, décidais de les laisser jouer ensemble toutes les deux. Je remontais à l’étage rejoindre le groupe de jeunes filles, sauf que je tournais à droite, en haut de l’escalier, au lieu de tourner à gauche.