CHARLOTTE (04/04)

D’ordinaire, je me serais mise nue mais je craignais de choquer Alice. Et puis, tant pis, je tentais le coup.

 » J’ai très envie de me baigner. Tu viens avec moi, Alice ?  »

« Je n’ai pas de maillot ».

 » Mais moi non plus. On est entre nous ».

Et je me déshabillais entièrement. Une fois nue, je me tournais vers elle, l’invitant à en faire de même. Elle hésita puis se leva, et se mit nue devant nous, sous le regard ébahi de Fabiola qui l’avait connue plus pudique.

On se dirigea vers la piscine, main dans la main, exhibant nos fesses à la maîtresse de maison. Elle se leva à son tour, débarrassa la table et vint nous rejoindre, complètement nue elle aussi. Nous avons joué un moment à nous éclabousser. Alice riait très fort et sa joie était communicative. Puis, Fabiola s’approcha d’elle, les yeux dans les yeux.

Quand elle m’avait parlé de son amie, Fabiola avait fini par m’avouer qu’elle était un peu plus que sa meilleure. C’était aussi sa première. Les essais de baisers, puis les caresses, individuellement d’abord puis l’une caressant l’autre. Et puis un jour, un soir, leur premier cunni. Même quand l’une, ou l’autre, avait un mec, elles continuaient à se voir, à se donner entièrement l’une à l’autre. Jusqu’à ce qu’elles soient en couple toutes les deux. Puis son départ pour Montpellier.

Mais là, elles étaient de nouveau face à face. Et nues. Et libres, enfin, surtout Alice. Fabiola prit les lèvres de son amie qui ne résista que mollement. Un coup d’œil inquiet vers moi mais mon sourire sembla la rassurer. Elle s’abandonna au plaisir d’embrasser à nouveau une femme, son amie, sa meilleure amie. Je m’approchais du couple et je commençais à caresser la voluptueuse poitrine de cette jolie rousse.

Je sentis qu’elle se lâchait complètement, enfin. Un vrai sentiment de liberté l’envahissait. Je me collais à ses fesses pleines et l’entendis murmurer de plaisir. Elle appréciait d’être prise en sandwich, qu’on s’occupe d’elle, enfin. Ma main partit à la découverte de son ventre et rencontra celle de Fabiola qui la doigtait, comme dans leur jeunesse. Je me consacrais donc uniquement à ses tétons, durcis par le plaisir.

Alice tourna la tête vers moi pour m’offrir ses lèvres voluptueuses. Je lui rendis son baiser avec passion. La bouche de Fabiola descendit vers ses tétons et elle la téta jusqu’à l’orgasme. Je la sentis frémir sous mes doigts, le plaisir qui l’envahissait, et la comblait enfin.

Je la regardais dans les yeux, elle était encore plus splendide que tout à l’heure, rendue encore plus belle après l’amour. Je la suivis quand elle retourna sur son transat. Elle me tendit un flacon de crème solaire d’un petit air sournois et s’allongea sur le ventre, me présentant son cul admirable.

« Tu peux me mettre de la crème, Emma ? N’hésite pas et insiste bien partout. Il faut que ça rentre en profondeur. Nous, les rousses, on a la peau plus fragile au soleil ».

Je la badigeonnais partout en faisant bien pénétrer la crème. Ses épaules, le dos, les cuisses et les jambes, puis les fesses. Je m’attardais longtemps sur ses rotondités, si agréables à masser. Il y a un bon moment que l’eau s’était évaporée de sur sa peau. Pourtant, un peu d’humidité suintait entre ses cuisses qu’elle gardait ouvertes. Fabiola s’absenta un instant et, quand elle revint, Alice s’était tournée et nous exhibait son côté face.

Je commençais par les jambes et remontais lentement vers sa toison flamboyante. J’évitais ses lèvres intimes et remontais sur son ventre, ses seins. Fabiola me montra ce qu’elle était allée chercher : un gode vibrant. Elle le mit en marche et l’appliqua sur le clito d’Alice, qui réagit immédiatement. Puis, le gode s’enfonça doucement entre les lèvres intimes. Alice ronronnait comme une chatte.

Tandis que je malaxais sa voluptueuse poitrine, Fabiola, son amie d’enfance, la godait comme dans ses souvenirs, pas si lointains, où elles avaient perdu leur virginité, l’une avec l’autre. Elle se doigtait en même temps et elles jouirent de concert.

Gourmande, j’allais récolter à la source le fruit de leur plaisir. Alice d’abord, et Fabiola ensuite. On resta un moment à discuter ensemble jusqu’à l’arrivée de Wendy. Nous trouvant près de la piscine, en tenue d’Ève, elle se mit nue à son tour et plongea dans l’eau bleutée.

Sous l’œil gourmand d’Alice. Fabiola nous laissa pour préparer le diner et j’entrainais Alice à nouveau dans la piscine. Toutes les trois, nous nous amusions à nous éclabousser. Je voyais le regard avide d’Alice sur la poitrine de Wendy. Qui ne semblait pas indifférente elle non plus aux attributs mammaires de l’amie d’enfance de sa mère. Je m’approchais derrière Alice et lui empaumais les seins comme tout à l’heure. Elle n’osa pas protester devant Wendy.

« Tu vois, Wendy, Alice adore que l’on s’occupe de sa poitrine. Tu ne veux pas essayer à ton tour ? Et je suis certaine qu’elle prendra autant de plaisir à te caresser que toi à le lui faire aussi ».

Je les poussais l’une vers l’autre et laissais les petites mains de Wendy prendre possession de la grosse poitrine d’Alice. Elle ne se gêna pas à la caresser à son tour. Là où elles étaient, personne ne pouvait les voir se donner du plaisir mutuellement. Collée tout contre Alice, mes mains descendirent sur son ventre, sa chatte, et ce fut mon tour de la doigter. Jusqu’à la jouissance ultime. Wendy, prise au jeu, lui offrit ses lèvres et elle jouit à son tour, certainement surexcitée par la situation.

Je ne restais pas dîner avec eux, ce soir-là, j’avais autre chose de prévu.

La nuit du samedi fut torride dans la maison, mais cela fera l’objet d’un autre chapitre. Juste pour vous donner un avant-goût …

Le mercredi suivant, Wendy nous raconta qu’elle avait entendu les deux femmes hurler, dans la chambre parentale. Puis Alice remonta se coucher dans ma chambre qui lui avait été attribuée. C’est là que Wendy l’avait rejointe.

Jusqu’au petit matin …

 

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