CHARLOTTE (01/04)

Retour au calme ce samedi avec une longue promenade à cheval. L’un des moniteurs me plait bien mais il n’ose pas un geste déplacé. Peur de se faire virer, je crois. Pourtant … S’il savait … Le nombre de femmes qui parlent de lui, dans le vestiaire.

Dimanche matin, je suis allée courir avant de me rendre au bureau de vote. Je suis une insoumise et je n’ai pris qu’un seul bulletin, celui de Jean-Luc Mélenchon. Le seul vote possible. En revenant dans la file d’attente devant l’urne de vote, je vis entrer Mélanie avec sa mère. Enfin, je supposais. Elle parut très surprise de me voir là, tout comme moi d’ailleurs. Sa mère entra dans un isoloir et elle me fit signe de l’attendre dehors.

Je l’attendais donc face à la porte. Elle sortit quelques minutes plus tard au bras de sa mère et lui expliqua qu’elle avait vu une amie et qu’elle rentrerait un peu plus tard. Elle vint me rejoindre et m’emmena à l’abri des regards indiscrets. Quand je lui posais la question par rapport à sa présence, elle me répondit qu’elle avait vécu tout près, que sa mère y vivait encore et venait donc voter ici. Tout comme elle, car elle n’avait toujours pas fait son changement d’adresse.

Elle me précisa qu’elle connaissait parfaitement cette école pour y avoir passé quatre ans. Elle m’entraina justement vers une pièce pour que nous soyons tranquilles. Dès la porte refermée, elle se jeta sur moi. Je lui rendais son baiser, trop heureuse de retrouver le goût de ses lèvres. Elle était délicieuse, Mélanie, au sens propre du terme. Et nos mains parcouraient le corps de l’autre.

Sans que je ne le lui demande, elle s’accroupit devant moi, souleva ma minijupe et écarta mon string pour m’offrir un cunni merveilleux. Il était évident qu’elle y prenait du plaisir, maintenant. Rien ni personne n’aurait pu l’interrompre. Je me laissais aller à la volupté sous sa caresse. Je la fis se redresser ensuite, passais derrière elle pour soulever sa jupe et ôter sa culotte. Elle était déjà trempée, s’était-elle caressée pendant son cunni ?

Je rentrais deux doigts directement en elle et la baisais ainsi. Elle jouit rapidement elle aussi et se retourna pour me remercier. Nous avons marché un moment avant de nous séparer. Elle voulait m’expliquer qu’elle n’avait jamais eu aucune attirance pour les autres femmes. Sauf une. Jusqu’à ce qu’on la force un peu. Elle me remercia encore de lui avoir fait découvrir d’autres horizons.

Elle me reparla de Véronique, une jeune vendeuse du rayon fruits et légumes. Chaque fois qu’elle la croisait, dans les vestiaires encore plus, elle ressentait un choc qu’elle n’avait pas pu analyser jusque-là. Elle comprenait maintenant qu’elle avait envie d’elle. De son corps, de ses seins.

Véronique n’était pas pudique et, si on s’y prenait bien, chaque jour, on pouvait apercevoir son soutif sous la blouse. Même un peu plus, la naissance de ses seins. Pareil dans les vestiaires, elle restait très souvent en sous-vêtements à discuter avec l’une ou l’autre des vendeuses présentes. Sans complexe aucun. Mélanie l’enviait pour ça également. On se sépara enfin et chacune rentra chez elle, après un dernier câlin.

Depuis début Avril, Fanny était devenue ma collaboratrice, en plus de ma soumise, et j’avais passé du temps à bien lui expliquer les tâches qu’elle devrait accomplir en mon absence. Et elle le faisait si bien que les clients ne voyaient pas de différence. Cela me permettait de m’absenter presque tous les après-midis de la semaine. Mardis et Jeudis pour accompagner Fabiola en salle de sport, et toujours les mercredis avec Wendy et Marielle.

En arrivant dans le hall, un panneau indiquait les heures des prochaines séances de yoga, de step, de fitness ou autres. Fabiola m’attendait toujours avant d’entrer et nous allions ensemble nous préparer dans les vestiaires. Ce mardi, elle portait déjà son leggings sous sa jupe qu’elle n’avait qu’à ôter. Pour le haut, pareil. Déjà prête, juste à ôter le corsage noué sur le nombril. Moi, je devais me changer entièrement et elle me matait. Cela me donnait des frissons de savoir qu’elle me regardait avec envie.

Nous avions un peu de temps avant la séance de step et nous allons directement dans la salle où tous les agrès nous attendaient. Pas tous, quelques mecs étaient là déjà et notre entrée fut remarquée. Fabiola voulut commencer par un exercice qui travaillait le haut du corps, et les abdos un peu.

Allongée sur un banc, les pieds de chaque côté et donc les jambes légèrement écartées, elle devait retenir une barre munie d’haltères aux extrémités, et la soulever ensuite. Je restais près de sa tête pour l’aider à relever la barre au cas où elle aurait besoin. Je ne remarquais pas tout de suite le manège des mecs présents.

Chacun leur tour, pour une raison quelconque, ils passaient et repassaient devant nous. Devant Fabiola. La salope. Je levais les yeux pour apercevoir ses lèvres intimes, parfaitement dessinées sous le fin tissu des leggings. Pour être plus provocante que jamais, elle ne portait rien dessous et c’est pire que si elle était nue. Terriblement sexy. Quand les mecs se furent bien rincés l’œil, ils retournèrent à leurs exercices.

Fabiola s’exhibait et cela la faisait mouiller, à en croire la petite tache d’humidité qui se créait à cet endroit précis. Je l’aidais à se relever pour nous rendre dans la salle suivante. J’en profitais pour laisser ma main se frotter à son entrejambe. Elle accentua elle-même la pression, me signifiant qu’elle appréciait mon initiative.

Dans la salle suivante, beaucoup de femmes, de tous âges, enfin pas plus que 50 ans je crois. Et quelques rares hommes. Bizarrement, ils restaient toujours au fond de la salle, profitant ainsi de la vue de ces jolis culs qui se déhanchaient devant eux.

Et la séance débuta, doucement pour commencer, pour prendre le rythme, puis de plus en plus vite. Fabiola se démenait comme elle pouvait. À sa droite, une autre femme, Charlotte, semblait avoir elle aussi des difficultés à suivre.

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