Je n’osais rien dire, et, pour être franche, cela m’excitait encore plus que mon papa puisse voir mes cuisses, et ma culotte. Le contact du réservoir, froid, contre ma culotte trempée me fit un bien fou. Ma robe était relevée très haut et les mains de mon père se trouvaient juste en-dessous de mes seins. Il aurait pu faire un geste, je l’aurais laissé faire. Mais il n’osait pas. Dans cette position, je sentais parfaitement sa queue qui gonflait inexorablement contre mes fesses.
Je lui faisais donc de l’effet ? Je posais calmement mes mains sur ses poignets. Je pouvais au choix baisser ses mains ou bien les laisser remonter. Je m’enhardissais à lui poser enfin la question qui me taraudait l’esprit depuis ce matin. Depuis que j’avais respiré de près son eau de toilette.
« Papa, dis-moi franchement. Dans la cabane de pêche, c’était bien toi ? ».
Je l’ai senti frémir immédiatement. Je n’avais plus besoin de mots, son corps m’avait répondu. Je remontais alors doucement ses mains sur ma poitrine et le laissait me peloter à sa guise. Je m’appuyais contre son torse, me livrant totalement à lui, à ses mains habiles, chaudes. J’oubliais complètement qui j’étais, où j’étais et surtout avec qui j’étais. Mon propre père était en train de me peloter habilement. Je n’étais plus qu’une femme entre les bras d’un homme. Je sentais sa queue vibrer contre mes fesses. Il aurait pu me soulever et m’embrocher d’un coup, j’étais prête à tout. J’aurais aimé qu’il ose glisser sa main dans ma culotte, mais un bruit, au-dessus de nous, le charme était rompu.
Il se redressa promptement et m’aida à descendre également. Je relevais mon top, glissais mes mains dans mon soutif pour remettre mes seins bien en place avant de me réajuster. En relevant les yeux, j’aperçus mon père qui n’avait cessé de m’observer. Son regard était éloquent, mais, plus que tout, la bosse qui déformait son pantalon était un hommage que je ne pouvais ignorer. Je ne pouvais décemment pas le laisser ainsi, il lui aurait été difficile d’expliquer ce qui l’avait mis dans cet état. Je m’accroupis face à lui, baissais la fermeture de son pantalon pour enfin sortir sa queue. Elle était vraiment merveilleuse, impressionnante. Cette queue qui m’avait donné la vie, je la portais à ma bouche. Pour la sentir vibrer plus encore.
Lui redonner plus de vigueur.
La situation, la peur d’être découverts, il ne lui a pas fallu longtemps pour me tapisser la gorge. Avec mon regard de biche effarouchée, je le regardais droit dans les yeux en avalant sa semence. Je nettoyais ensuite parfaitement la queue paternelle avant de la remettre dans le pantalon. Je me dirigeais ensuite vers l’escalier, pour rejoindre les autres, mon père me suivait de très près. Arrivée à mi-hauteur de l’escalier, il me fit stopper, glissa ses mains sous ma jupe pour tirer sur ma culotte. Il la garda comme un trophée. Je pensais à Jérôme qui serait très surpris s’il trouvait à nouveau l’occasion de me doigter. Personne n’avait semblé s’apercevoir de mon absence. Après un court moment, je me rendais dans la salle de bains pour satisfaire à un besoin naturel.
Ingrid était déjà dans la pièce, en train de se refaire une beauté. Je suppose que son mari l’avait entraînée dans leur chambre pour lui faire l’amour. Je le voyais dans son regard. C’était celui d’une femme comblée. Je m’apprêtais à m’asseoir sur les toilettes quand elle me dit.
« Attends, je vais te laisser seule ».
« Tu ne me gênes pas du tout » lui répondis-je en relevant ma jupe bien haut avant de prendre place.
Elle me regarda, un instant interloquée. Puis, elle osa poser la question qui lui brûlait les lèvres.
« Mais, ça t’arrive souvent de sortir sans culotte ? Pour ma part, je ne l’ai jamais fait. Et jamais je n’oserais ».
« Oui, cela m’arrive, parfois. Suivant mes envies. Tu devrais essayer. Cela procure un grand sentiment de liberté. Et surtout, énormément de sensations ».
Je la laissais perplexe. J’avais fini ce pour quoi j’étais là, je décidais de pousser mon avantage. Avant de me relever, je posais les mains sur ses genoux. Pas de réaction contre cette intrusion. Je remontais mes mains jusqu’à sa culotte en lui murmurant.
« Tu devrais vraiment essayer, et même maintenant. Qu’est-ce que tu risques, en somme ? Nous sommes en famille, ton mari est là, personne ne le saura. Juste toi, et moi. Et Jérôme, s’il glisse sa main sous ta robe ».
Je l’ai sentie frissonner à l’évocation d’une telle situation. Imaginer la tête de son mari s’il glissait la main sous sa robe pour la trouver nue la fit sourire. Tout en lui disant cela, j’avais commencé à descendre sa culotte, qui se trouvait désormais à mi-cuisses. Elle fit alors inconsciemment un mouvement de pied pour écarter les cuisses et laisser le tissu glisser jusqu’aux genoux. Je n’avais plus qu’à le tirer vers le bas pour qu’il se retrouve sur ses chevilles.
Instinctivement, elle leva un pied, puis l’autre, pour dégager sa culotte. Une bien jolie lingerie, soit-dit en passant. J’étais accroupie devant elle, mes mains remontant derrière ses jolies cuisses. Je continuais à lui murmurer, tout en caressant son merveilleux popotin.
« Tu sens l’air qui s’engouffre sous ta robe ? Tu ressens ce sentiment de liberté, de ne plus être prisonnière de ta lingerie, aussi jolie soit elle ? Tu dois également sentir ta toison frémir au contact de ce petit courant d’air indiscret. Car j’imagine que tu as une bien jolie toison, bien entretenue. Relève ta robe et montre-moi. S’il te plaît ».
J’étais toujours en train de caresser ses fesses et, malgré cela, je n’imaginais pas possible qu’elle accepte de m’obéir. J’allais renoncer et me relever quand ses mains se portèrent sur les côtés de sa robe. Imperceptiblement, les doigts pincèrent le tissu pour me dévoiler entièrement ses cuisses, puis enfin une magnifique toison. J’étais totalement sous le charme de cette femme, si fragile, tellement docile. Terriblement sexy. Je ne pus m’empêcher de souffler sur ses jolis poils, bien ordonnés.