Weekend en famille (07/10)

Pour le plus grand bonheur de sa propriétaire. Je continuais tant que je pouvais à lui lécher le cul, jusqu’à ce qu’elle explose finalement. Nous sommes allées ensemble prendre notre douche, comme deux grandes. Les petits dormaient encore. Quand ils se réveillèrent, ils nous trouvèrent dans la cuisine en train de déjeuner. Tout le monde était content de ce week-end passé chez moi. Jérôme arriva peu avant midi et nous avons pris notre repas tous ensemble.

Après manger, ils se retrouvèrent tous devant la télé. Pas besoin d’insister pour attirer Jérôme dans ma chambre. À peine entrée, il me poussa sur le lit, releva ma jupe et ‘enfonça en moi sans préparatifs, il me baisa à la hussarde, et j’adorais ça. J’étais à lui, sa chose, son jouet. Il me remit à genoux à ses pieds pour éjaculer dans ma bouche.

Par la porte, restée entrouverte, j’aperçus Céliane qui nous observait. Elle avait un regard noir, lourd de menaces. Qu’allait-elle faire ? Jérôme se fit beaucoup plus tendre maintenant qu’il avait bien joui et se chargea de me faire jouir à mon tour. Il était vraiment doué, le frangin, mais il faut dire que j’étais ultra réceptive.

Céliane m’embrassa sèchement au moment de partir mais les deux petits se jetèrent dans mes bras, me faisant tomber au sol. J’étais désormais allongée sur le sol, jupe relevée, sans culotte. Les petits ne s’en rendirent pas compte, mais Jérôme apprécia le spectacle, Céliane un peu moins semble-t-il.

Comme convenu, Jérôme me rappela le soir pour me dire qu’ils étaient bien rentrés, tous. Il m’affirma que les enfants avaient beaucoup aimé ce week-end chez moi et demandaient déjà quand ils reviendraient. Je ne pus m’empêcher de poser une question.

« Les enfants ? Tous les enfants ? »

Il me confirma que oui, tous les trois étaient pressés de revenir chez moi. Ce que j’appris beaucoup plus tard, c’est que quelques jours après, Céliane avait réussi à raconter à son père qu’elle nous avait vus, en train de baiser. Jérôme avait pâli mais la petite ne souhaitait qu’une chose : revenir très vite chez moi. Les vacances de février approchaient et elle ne voulait pas aller à la montagne, mais rester chez sa tante. Aucune menace énoncée mais le danger était grand qu’elle ne parle à sa mère. Jérôme accepta, puisque cela lui faisait plaisir, et se chargea de convaincre Ingrid. Dans quelques semaines, elle serait donc de nouveau dans mon lit.

Ce que je retiens de ce week-end, c’est tout d’abord que Jérôme m’a enfin baisée, et ça, c’est une énorme satisfaction. La nuit avec Céliane était merveilleuse aussi, et cela devait être réciproque puisqu’elle insistait pour revenir.

 

Après ce fabuleux weekend avec les enfants, j’avais hâte de revoir Céliane, et Jérôme surtout. J’avais préparé le matelas d’appoint dans ma chambre, même si je savais qu’il ne servirait que très peu, voire pas du tout. Mais j’ignorais si Ingrid serait du voyage, cette fois. Mais elle devait finir les préparatifs pour le grand départ.

Céliane était visiblement très heureuse de me revoir. Elle me serra longuement dans ses bras. Puis, elle alla s’installer devant la télé pour nous laisser seuls, son père et moi. C’est à ce moment que j’appris qu’elle savait tout, ou presque, pour nous deux. Qu’elle l’acceptait aussi puisqu’elle avait la présence d’esprit de quitter la chambre d’où elle venait de poser son sac.

Nul doute qu’elle savait pertinemment ce qui allait se passer. Jérôme, tout autant que moi, semblait encore plus déchainé que d’habitude. Savoir que sa petite fille avait insisté pour revenir chez moi et qu’elle nous laissait faire ce que nous avions envie tous les deux, tout cela semblait lui donner une fougue toute particulière. Il me baisa donc copieusement et j’en redemandais encore.

J’étais à genoux sur le lit pendant qu’il me prenait de nouveau, en levrette cette fois, quand j’aperçus Céliane qui nous observait. Aucune colère dans ses yeux, juste de la curiosité. Elle voulait voir, apprendre. D’un geste, je l’invitais à s’approcher. Jérôme fut tout surpris de la voir près de nous mais il était arrivé au point de non-retour et rien ne pouvait plus l’arrêter. Heureusement pour moi.

Il se répandit finalement en moi et sa queue fit un flop plutôt très drôle quand elle sortit de ma chatte dégoulinante. Elle ne bandait plus vraiment, une demi-molle, comme on dit. Mais la taille était encore très appréciable. Céliane n’hésita pas et tendit sa petite main vers le sexe qui lui avait donné la vie. Un homme reste un homme et Jérôme ne pouvait pas empêcher sa petite fille de venir caresser sa queue.

Il avait sa conscience pour lui puisqu’il ne la forçait pas, bien au contraire. La demi-molle reprit aussitôt de la vigueur et deux petits jets de sperme en sortirent encore, arrosant mes fesses. Céliane devenait complice de notre aventure. Elle resta près de moi quand son père alla prendre une douche, rapidement, avant de nous laisser. Céliane me suivit dans la salle de bain quand j’allais me laver à mon tour. Elle se mit nue, comme moi, et nous nous sommes retrouvées, tout comme le dernier week-end ensemble, en train de se cajoler sous l’eau bienfaisante. Prémices à une semaine de délices entre filles.

Je vous passe les jours, et surtout les nuits, que nous avons passées à se faire du bien mutuellement. Je l’ai laissée explorer mon corps de fond en comble, et elle ne s’est nullement privée. Elle a utilisé mes godes sur moi, devant et derrière, puis les deux en même temps. Elle est même allée jusqu’à essayer de me fister, mais sa petite main était vraiment trop grosse, ou moi, pas encore prête.

Je suis certaine que cela reviendra un jour et qu’elle y parviendra. Quand son père est venu la chercher, le dimanche suivant, elle nous a laissés seuls, encore une fois. Juste quelques minutes. Elle est ensuite venue nous rejoindre et a assisté au spectacle : son père qui me défonçait. Jérôme n’a bien sûr pas essayé de la toucher, en aucune manière. C’est bien elle qui parfois, venait caresser sa queue. Mais c’est moi qu’elle préférait caresser, mes seins d’abord, mais aussi mon clito. Pour finir, pour la première fois, elle a positionné sa chatte sur ma bouche et je l’ai léchée jusqu’à l’extase. Son père découvrait sa fille qui devenait une petite femme.

C’est tous les trois ensemble que nous avons pris notre dernière douche. La dernière du week-end. Céliane adorait me laver et elle a, semble-t-il, pris beaucoup de plaisir à nettoyer son propre père. Ils sont repartis en me promettant de revenir le plus vite possible.

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