Je suis certaine qu’il devait y avoir d’autres salles que la principale car nous entendions parfois des rires et des conversations qui semblaient venir d’ailleurs. Quand la jeune serveuse vint ramasser nos assiettes, après le plat principal, elle nous demanda si nous avions aimé. J’allais répondre quand, soudain, Noémie plaça sa main directement sur ma fente et commença à me doigter, très légèrement. Surprise par cette attaque, je restais bouche ouverte, sans pouvoir dire un mot. La seule chose qui aurait pu sortir de ma bouche à ce moment précis aurait été un soupir de plaisir et je me retenais bien évidemment de gémir ouvertement devant tout le monde.
C’est donc Noémie qui répondit à ma place, précisant que nous reviendrons certainement une prochaine fois. Une fois que la jeune serveuse se fut éloignée, je repoussais gentiment sa main, qui resta pourtant sur mes cuisses, en lui demandant :
« Mais qu’est-ce qui t’a pris ? »
Je n’eus qu’une seule réponse.
« Parce que j’en avais envie ».
Elle ne retenta pas de me toucher dans cet endroit si intime, pourtant je lui gardais ma confiance en laissant mes cuisses grandes ouvertes. Avant le café, je devais aller aux toilettes, satisfaire un besoin on ne peut plus naturel. Nous avions bu pas mal, enfin, surtout moi. Noémie devait ramener la voiture et ne souhaitait pas emporter le reste de la bouteille que j’ai dû boire jusqu’à la dernière goutte. Direction les toilettes donc et, comme à l’accoutumée, une file d’attente devant les toilettes « Dames ».
Sans me démonter, l’alcool aidant sans doute un peu, j’entrais dans les toilettes réservées aux hommes. Il n’y avait pas d’homme présent, juste un jeune homme qui se lavait les mains. J’eus un choc quand il tourna son visage vers moi. C’était le jeune homme qui devait fêter son anniversaire, avec sa famille, dans la salle contigüe. Le même jeune homme rencontré ce matin même sur le circuit. Je m’excusais d’un signe de la tête et lui montrais une cabine. Il comprit immédiatement que j’avais une envie pressante, très pressante.
C’est lui-même qui m’ouvrit la cabine réservée aux personnes handicapées et, surprise, il entra derrière moi. Je dois avouer que tout ce qui s’est passé après, je n’étais plus vraiment moi-même. J’avais très envie de me satisfaire et je sentais l’envie de ce jeune homme de revoir ce qu’il n’avait fait qu’apercevoir, au travers d’une vidéo, de bonne qualité, soit-dit en passant. Je me tenais debout, les genoux serrés pour tenter de retenir l’envie qui me tenaillait. Il s’est approché lentement et il a soulevé ma jupe, me donnant le bas pour que je la maintienne bien haut.
Il s’est ensuite reculé pour mieux admirer le spectacle que je lui offrais. D’un geste rapide, je me suis assise sur le siège des toilettes, après avoir baissé ma culotte sur mes genoux. Il n’a rien pu faire d’autre que de me regarder en train de me satisfaire. Les yeux hagards, il m’a vue en train de m’essuyer, puis remonter ma culotte. Je pensais en avoir fini avec lui. Mais il m’a fait signe de me retourner, les deux mains au mur. Il m’a forcée à m’abaisser, presqu’à l’équerre avant de relever ma jupe au-dessus de ma taille.
Il avait désormais une vue imprenable sur mon cul offert dans son bel habillage rouge satin. Il ne disait rien, ne bougeait plus. Au bout d’un moment, je me suis retournée pour m’apercevoir qu’il avait disparu, la porte était restée entrouverte. Je suis allée me laver les mains et, comme je sortais, un vieil homme entra dans la pièce. Il fit un pas en arrière pour vérifier qu’il n’avait pas fait d’erreur, puis il me laissa passer et je regagnais ma table. Je n’ai jamais revu ce jeune homme.
J’insistais pour payer la note du restaurant, même si j’avais été invitée, mais elle avait déjà payé pour le « Taxi Drift ». Retour à Angoulême dans sa voiture et même scénario, elle a insisté pour remonter ma jupe très haut sur mes cuisses, simplement pour admirer la vue à sa guise. Tant qu’elle ne me touchait pas, je voulais bien subir son petit caprice. D’ailleurs, comme la première fois, je fermais les yeux pour ne pas voir son regard satisfait. J’étais à sa merci et elle le savait, mais elle n’en profitait pas pour autant. Pas vraiment.
J’étais en train de rêvasser à tout ce qui aurait pu se passer dans les toilettes, s’il avait baissé son pantalon, s’il avait voulu que je le suce, ou pire, me faire l’amour, aurais-je eu la force de refuser ? Je pensais à tout ça quand je fus « réveillée » par un coup de corne tonitruant. Noémie était en train de doubler un poids-lourd et nous étions juste à la hauteur de la cabine. Le chauffeur, sûrement un habitué de la chose, avait observé ce qui se passait dans l’habitacle et avait vu ma position, jambes écartées, et la petite culotte rouge que j’exposais à qui voulait bien la voir.
J’aurais dû, à ce moment-là, refermer mes cuisses et rouspéter contre Noémie qui ne m’avait pas prévenue. Mais je vis, à son sourire, que tout était voulu et manigancé. Elle avait profité de cette portion de 2×2 voies pour doubler un camion et rester à sa hauteur. J’aurais voulu disparaitre sous terre et mon seul réflexe, encore une fois, a été de fermer les yeux. Nous devions arriver à la fin de cette portion de route car j’ai senti que la voiture accélérait et se rabattait sur la droite. Je n’avais toujours pas refermé mes cuisses.
Le comble de la situation, c’est que cette exhibition bien involontaire a eu des effets secondaires. Et surtout, que Noémie s’en est aperçue. Une tache humide venait de décorer le devant de ma culotte. Impossible pour elle de résister, elle posa sa main sur ma fente et me massa allégrement, faisant grandir cette tache, et le plaisir qui allait avec. J’étais horrifiée de ce qui se passait et pourtant, je la laissais me doigter fougueusement.