WENDY (01/04)

Jenny repartie, je commençais à repenser à la proposition de ma petite sœur, et de son amie Marielle. Je m’organisais dans mon planning pour ne pas travailler ce mercredi après-midi afin de les recevoir. Plus leur venue approchait, plus je me sentais fébrile. Autant Jenny et Fanny étaient des jeunes femmes, elles, elles n’étaient que des enfants, enfin, des jeunes filles qui ne demandaient qu’à apprendre. Et ce petit parfum d’inceste, cet interdit par la morale.

Je devrais me contenter d’être leur guide, leur professeur. Elles pourraient me toucher autant qu’elles veulent, mais moi, oserais-je les toucher aussi ? Toutes ces questions qui me trottaient dans la tête. Pas trop eu le temps pour jouer les Maîtresses avec Fanny non plus, trop préoccupée. Je quittais donc à midi pile ce mercredi pour rentrer prendre une douche avant l’arrivée des deux jeunes filles.

Elles arrivèrent ensemble vers 13 h 30. Je leur proposais une boisson rafraîchissante que nous prîmes dans le salon. Je leur demandais de poser leur affaires près de la table et d’étaler un peu leurs cahiers, au cas où, vu qu’elles étaient sensées venir pour réviser leurs cours.

Wendy, d’habitude si volubile, ne disait rien. Marielle de même. Angoissées de faire le premier pas. C’est donc moi qui devais lancer le sujet.

« Marielle, Wendy m’a raconté, succinctement, que vous aimiez vous caresser l’une face à l’autre. C’est exact? »

Elle acquiesça en baissant la tête. Wendy aussi était mal à l’aise.

« Oh! Les filles. Il n’y a aucun mal à cela. Se faire du bien, se donner du plaisir, c’est quelque chose de naturel ».

 » Le faire face à sa meilleure amie, c’est normal aussi. Moi-même, je l’ai fait avec ma meilleure amie de l’époque, avant qu’elle ne parte loin de Nice ».

« Et nous sommes allées un peu plus loin que vous. Elle me doigtait pendant que je lui rendais la pareille ».

 » Et nous avons été très heureuses ensemble « .

 » Vous voulez bien me montrer comment vous vous caressez? ».

« Marielle, tu m’as l’air plus délurée, tu veux bien commencer? Et Wendy fera comme toi, évidemment ».

 » Mettez-vous face à face sur le canapé. Marielle, rentre ta main dans ton leggings et caresses toi. Wendy, relève ta jupe et fais comme ton amie « .

Et elles oublièrent ma présence et, les yeux dans les yeux, elles se doigtèrent passionnément. Excédée, Wendy fut la première à mettre sa main directement dans sa culotte. Bien jolie culotte d’ailleurs. Marielle allait faire de même quand je proposais de changer de pièce et de rejoindre ma chambre. Les deux filles se levèrent et Wendy guida son amie. Je la suivais de près et j’osais poser ma main sur ses fesses appétissantes. Malgré les leggings, je sentais parfaitement sa chaleur, son désir. Elle fit une pause pour bien me montrer qu’elle acceptait cette caresse.

 » Wendy, avant de t’asseoir sur le lit, tu peux ôter ta jupe. Je pense qu’elle te gêne un peu. Marielle, si je peux me permettre, j’aimerais ôter moi-même ton leggings « .

Incapable de répondre, elle me fit un signe de tête, tandis que la jupe de Wendy tombait sur le sol. Accroupie derrière la jeune fille, je dévoilais ses charmes et son string. J’avais ma joue sur ses fesses quand elle leva les pieds pour se libérer du vêtement. Mes mains caressantes remontèrent jusqu’au string pour l’attraper entre mes doigts, prête à le descendre.

Sans réaction de Marielle, je pris cela pour un oui et lui ôtais son dernier rempart. Elle s’assit en tailleur sur mon lit, face à Wendy et reprit son doigtage. Elle était vraiment humide, maintenant.

La séance de déshabillage l’avait excitée. Et Wendy se lâcha elle aussi, retirant elle-même sa culotte fleurie pour faire comme sa copine. L’une face à l’autre, elles se caressaient en cadence. Marielle fut la première à lâcher prise et exulta son plaisir. J’étais juste derrière elle et je la pris dans mes bras. Wendy jouit à son tour juste après.

Pas plus de résistance quand je soulevais le pull de la jeune fille, caressant au passage une poitrine délicieuse. Puis, je l’allongeais en travers du lit. Je m’approchais de ma petite sœur pour dégrafer son corsage et découvrir le soutif assorti à sa culotte. Je l’allongeais à son tour, collée à son amie.  Les jambes pendantes hors du lit. Légèrement écartées.

Leurs mains retrouvèrent très vite le chemin vers leur intimité. Et le doigtage reprit, moins intense. Juste pour maintenir la chaleur provoquée par cette première jouissance. Les deux filles se regardaient droit dans les yeux.

À genoux devant elles, j’admirais les petites chattes imberbes, vierges certainement. Luisantes l’une comme l’autre. Malicieusement, j’inversais leurs mains, posant celle de Wendy sur la chatte de Marielle et inversement.

Après un court moment de surprise, les doigts recommencèrent à bouger, à la découverte de cette nouvelle intimité qu’ils ne connaissaient pas encore. Leurs bouches s’approchèrent pour s’unir enfin par un tendre baiser. Les doigts accéléraient encore, dans l’attente de l’inéluctable plaisir qui allait en découler. Délicieuses petites salopes, et moi qui m’emplissais les narines de leurs parfums respectifs.

Elles jouirent en même temps, cette fois-ci, et le tendre baiser devint beaucoup plus passionné. Plus intense. Et les mains parcouraient le corps inconnu jusqu’alors. Découvraient cette poitrine aperçue plusieurs fois lors des douches collectives, à la piscine par exemple.

Je dégrafais le soutif de Marielle, qui se tourna pour me présenter le dos de Wendy, dont je dégrafais également le soutif. Les deux filles se retrouvaient donc entièrement nues. C’est Wendy qui prit l’initiative cette fois et la première descendit vers la poitrine de son amie. Elle joua avec un moment tout en lui caressant le clito.

Quand sa bouche se retrouva entre ses cuisses, je m’approchais de Marielle, de l’autre côté du lit et l’embrassais tendrement, tout en jouant avec ses tétons bien érigés. Elle avait une poitrine magnifique, je l’ai déjà dit, je crois, et je me mis à la téter à mon tour. Entre Wendy entre ses cuisses et moi sur ses seins, elle ne tarda pas à jouir intensément.

Wendy lapa tout le nectar qui s’échappait de sa grotte. En face, dans le miroir, je voyais son petit cul qui se dandinait de plaisir. Elle se redressa après avoir tout bien léché. Marielle l’attira sur elle pour la remercier. Juste un baiser au coin des lèvres et elle prit les tétons en bouche. Elle les titilla un peu et força sa meilleure amie à remonter encore pour que sa chatte se trouve au-dessus de sa bouche, enfin.

Wendy était là, devant moi, assise sur son amie qui lui bouffait la chatte, la poitrine arrogante et le visage encore recouvert du nectar de Marielle. J’en récoltais le plus possible avec ma langue puis, laissant ma petite sœur à son plaisir, je reprenais sa place entre les cuisses de son amie. Retourner chercher à la source ce que j’avais récolté sur ses lèvres.

Je me régalais véritablement en découvrant cette petite chatte. Les petites lèvres d’un rose très pâle contrastaient avec sa peau cuivrée par le soleil. Elle s’était certainement déjà fait bronzer et, ne remarquant aucune marque de maillot, elle devait pratiquer le bronzage intégral. Relevant les yeux, je constatais la même chose avec Wendy. C’est donc ensemble, et certainement chez mon père qui avait une magnifique piscine couverte et chauffée pour l’arrière-saison, qu’elles avaient dû lézarder. Sous le regard de Fabiola qui, d’après Wendy, la surveillait constamment.

Je ne sais pourquoi j’imaginais ma belle-mère en train de mater les jeunes filles complètement nues, et offertes aux rayons du soleil près de la piscine. Je la voyais même clairement en train de se caresser, une main sous sa jupe. Ma main trouva rapidement le chemin de mon intimité et je me doigtais en continuant à lécher Marielle. Elle avait empaumé les seins de son amie et en triturait les bouts sensibles. Coincée entre sa bouche et ses doigts agiles, Wendy fut la première à jouir, juste avant Marielle qui, pour autant, n’arrêta pas de récolter le nectar qui s’écoulait abondamment.

Les deux filles s’écroulèrent enfin, ivres du plaisir qu’elles avaient partagé. Elles restèrent un bon moment ainsi, allongées l’une contre l’autre. Se cajolant encore et encore. Elles n’avaient pas fini de se découvrir, d’expérimenter tous les plaisirs qu’elles pouvaient partager. Elles étaient belles ainsi, nues et impudiques, mais tellement heureuses. Puis, d’un coup, sans se concerter, elles se levèrent, se jetèrent sur moi pour me coucher sur le lit.

Aussitôt, elles me déshabillèrent complètement. Je ne résistais plus à leurs caresses. Elles s’attaquèrent à mes petits seins, hypersensibles tout en caressant l’intérieur de mes cuisses. C’est Marielle qui prit place entre mes cuisses pour pouvoir goûter enfin mon abricot bien mûr. Pour une première fois, elle se débrouillait vraiment très bien et rapidement m’amena à l’extase avec l’aide de Wendy qui me tétait toujours amoureusement.

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